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8 août 2012, par Robert Paris
Buffon écrit dans "Histoire naturelle - De l’homme"
« quand on les traite mal, ils prennent le chagrin fort à cœur et périssent quelquefois de mélancolie : ils sont donc fort sensibles aux bienfaits et aux outrages, et ils portent une haine mortelle contre ceux qui les ont maltraitez ; lorsqu’au contraire ils s’affectionnent à un maître, il n’y a rien qu’ils ne fussent capables de faire pour lui marquer leur zèle et leur dévouement. Ils sont naturellement compatissans et même tendres pour leurs (...)