« Or, je vous en préviens, toute fréquentation exagérée des hommes, alors même qu’elle se borne à de simples conversations de salons, d’académies, de comptoirs, etc., est mauvaise pour la femme, qu’elle déflore, et insensiblement corrompt. Je dis plus, il est impossible qu’une femme, sans fréquenter plus qu’il ne convient des hommes, s’occupe habituellement de choses qui ne sont pas de son sexe, sans que sa grâce naturelle en souffre, et, selon le cas, sans que son imagination s’allume, que ses sens s’enflamment et que la porte du péché ne s’ouvre toute large devant elle. » écrit Proudhon, cet ennemi violent des femmes.
« L’homme et la femme sont égaux au for intérieur, comme personne ; mais, attendu la différence de leurs facultés, l’homme reste supérieur dans le travail et la vie de relation ; — la femme ne recouvre sa dignité que par le mariage et l’accomplissement des devoirs qu’il lui impose. Toute autre égalité est fausse. »
« Or, je vous en préviens, toute fréquentation exagérée des hommes, alors même qu’elle se borne à de simples conversations de salons, d’académies, de comptoirs, etc., est mauvaise pour la femme, qu’elle déflore, et insensiblement corrompt. Je dis plus, il est impossible qu’une femme, sans fréquenter plus qu’il ne convient des hommes, s’occupe habituellement de choses qui ne sont pas de son sexe, sans que sa grâce naturelle en souffre, et, selon le cas, sans que son imagination s’allume, que ses sens s’enflamment et que la porte du péché ne s’ouvre toute large devant elle. » écrit Proudhon, cet ennemi violent des femmes.
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Il rajoute :
« L’homme et la femme sont égaux au for intérieur, comme personne ; mais, attendu la différence de leurs facultés, l’homme reste supérieur dans le travail et la vie de relation ; — la femme ne recouvre sa dignité que par le mariage et l’accomplissement des devoirs qu’il lui impose. Toute autre égalité est fausse. »
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