Reconnaissons tout d’abord que le mode de pensée dominant (sans même parler de celui qui domine depuis la chute du mur de Berlin), loin de viser à intégrer le concept de révolution sociale dans le mécanisme naturel des sociétés, aurait même tendance à le gommer de l’étude politique, économique et sociale, en somme de l’Histoire. Elles les effacent autant que possible de leurs chronologies, les marginalise, les transformant en accidents malheureux, sans importance, sans signification profonde et sans intérêt. La violence, dont Karl Marx voyait l’accoucheuse de toute nouvelle société, apparaît dans l’idéologie actuelle comme un débordement peu recommandable et sans utilité.
Reconnaissons tout d’abord que le mode de pensée dominant (sans même parler de celui qui domine depuis la chute du mur de Berlin), loin de viser à intégrer le concept de révolution sociale dans le mécanisme naturel des sociétés, aurait même tendance à le gommer de l’étude politique, économique et sociale, en somme de l’Histoire. Elles les effacent autant que possible de leurs chronologies, les marginalise, les transformant en accidents malheureux, sans importance, sans signification profonde et sans intérêt. La violence, dont Karl Marx voyait l’accoucheuse de toute nouvelle société, apparaît dans l’idéologie actuelle comme un débordement peu recommandable et sans utilité.