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Y a-t-il des sciences exactes ?

9 octobre 2019, 20:15, par JFP/Jean-François POULIQUEN.

JFP¦¦09102019¦¦Nous croyons que nos concepts vont exactement dans le sens de ces particules virtuelles auxquelles tu te rattaches, et qui existent depuis plus de 100 ans et qu’elles soient utilisées à foison pour résoudre des problèmes de physique quantique, et donc de compréhension. Quand nous disons par ce mot "existe", cela n’est même pas une réalité mais une conception de différents physiciens, et qui dure depuis longtemps, car ces particules virtuelles n’ont jamais pu être détectées. Ces particules virtuelles sont une vraie philosophie d’approche à comprendre ce que peut être le très petit, mais nous avons une autre approche différente mais pas moins vraie que sont des grains élémentaires, pour répondre à nos propres questionnements et même remplacer certains concepts ou visions par cette physique quantique, pour expliquer autrement certaine expériences. Nous ne connaissons pas les différents concepts associés avec ces particules virtuelles, comme les expériences réalisées, mais dans cette expérience des fentes de Young nous pouvons largement nous passer de ces particules virtuelles pour expliquer se qui pourrait se passer et pourquoi l’électron ou photon interfère avec lui-même après passage des fentes.
▬Pour le redire encore, le corpuscule de photon comme l’électron, et même d’autres particules, peuvent être conçues comme un assemblage de grains que nous diront élémentaires, ce qui rend le corpuscule comme l’électron, quelque chose de modifiable en forme comme encore quelque chose de souple voir mou, et n’est plus une entité en dur, mais devient une entité déformable et prenant des géométrie différentes. Nous savons déjà que l’électron prend des formes différentes mais aucune interrogation sur sa constitution car qu’est qu’un électron, qu’est qu’une particule virtuelle ... Ɂ Comme nous considérons que ces particules élémentaires comme ces particules virtuelles sont des tas de grains élémentaires calibrés ou pas et distants entre eux, c’est donc une autre philosophie pour comprendre ce que peut être cette petite échelle de la nature. Parler du nuage de polarisation, ne nous donne pas sa constitution, sa composition, son organisation, sa structure, et pourquoi ce nuage accompagnant la particule serait-il plus polariser que le reste du vide Ɂ On nous donne quelques images simples, mais pas vraiment de comportement, pas vraiment de données, pas vraiment de mécanique pour ce nuage de polarisation. Cette quantique reste donc pour nous, une sorte de philosophie floue ne permettant pas vraiment de comprendre les mécanismes. Cette physique quantique, est un langage à part, avec des descriptions généralistes sans détail, sans poids car les masses n’y sont pas, sans parcours et sans trajet car les sauts quantiques remplacent ces notions, avec tantôt des descriptions avec le couple, comme la paire de particules virtuelles de charges opposées et faisant bon ménage, mais sans explication sur cette harmonie des charges. D’ailleurs si ces paires, ces couples se font et se défont, ont se demande pourquoi appeler un nuage de polarisation utilisant ces couples et ces paires, car si le PLUS et le MOINS s’additionnent la charge résultante est nulle, et la polarisation du nuage s’envole, car pour avoir des différences de potentiel, il faudrait justement que ces paires ou ces couples soient disjoint.
▬Autre remarque ¦¦Si un électron ne peut pas être décrit sans son nuage de polarisation qui est un cortège de particules virtuelles, cela veut bien dire que ce complément, cette extension fait bien parti de lui-même, mais est interprété comme si cela était externe à lui-même ‼‼ Ne parler que de la concentration de ses grains potentiels, est une erreur, car son extension son complément, son élargissement est ce nuage flou constitué de la même façon que lui-même, mais la concentration ou densité de grains diffère. C’est comme si on parlait du noyau de la terre comme étant un vrai objet sans lui rattacher le reste de cette terre. Le noyau de la terre n’es pas plus vrai que l’électron nu, car ce noyau ne défini pas une limite ou rupture avec le reste, car il y a forcément un flou ne donnant pas de limites franches.
▬Représentation de l’électron¦¦Dans l’article [Questions quantiques] la présentation est une sphère floue, où plus en regarde vers le centre et plus il y a concentration de couleur noire, comme si cela était des touches de couleur noire. Cette représentation se retrouve aussi dans [20- Qu’est-ce que le vide ?]. On retrouve encore cette même représentation dans l’article [Quelle relation entre matière et lumière ?]. Il y a sûrement d’autres articles où cette représentation est présente. Dans l’article [Quelle relation entre matière et énergie ?] une représentation presque identique, mais avec un image supplémentaire correspondant à ces petites sphère floues, et où le noyau est aussi représenté, et on comprend alors que ces sphères floues sont comme en orbite par rapport au noyau. Pour nous cette représentation de l’électron est totalement différente, car on conçoit l’électron comme épousant le noyau ou presque, comme si l’électron était une enveloppe autour du noyau, mais à distance et possédant une certaine épaisseur, et de plus cette enveloppe-couche ne couvrirait pas la totalité du noyau, mais serait comme une calotte ressemblant à une galaxie incurvée où un noyau apparaîtrait dans cette calotte. Ceci pour que d’autres électrons de la même couche électronique puissent aussi être disposés sur cette enveloppe-couche avec épaisseur non uniforme, et donc une concentration de TRUCS formant l’électron comme le halo d’une galaxie où la concentration d’étoiles est plus grande dans le halo que le reste de la galaxie. Donc une image en 3 dimensions moins évidente et plus complexe. Ainsi un électron à une forme très particulière et dépendant même de son noyau atomique, et donc du nombre des autres électrons d’une même couche. Quand on parle de nuage de polarisation autour de l’électron, et on ne comprend pas vraiment, car la polarisation est de pouvoir distinguer des potentiels de charges différentes, et dans la mesure où ce nuage est constitué par paire de particules éphémères ou les charges opposées s’annulent, le potentiel de polarisation devrait disparaître. On voit mal comment des couples de particules et anti-particules virtuelles peuvent donner des potentiel de charges spécifiques. Si chaque couple de particules virtuelles donne une charge neutre, l’ensemble de ces couples formant le nuage donne la même chose. Pour qu’il y ait des différences de potentielles de charge il faudrait que certaines particules virtuelles ne soient plus en couple, mais on nous dit le contraire...
▬Dans l’article [Comprendre les bases de la Physique Quantique sans connaissances mathématiques préalables].
▬Dans la dernière représentation animée, on nous représente l’électron comme changeant de forme et donc de géométrie et ou le potentiel électrique NÉGATIF ce retrouve sur l’extérieur des formes de l’ensemble des formes, et où le potentiel électrique POSITF se retrouve au centre de ces formes. Mais pour cette image aucune explication... En recherchant ce groupe de mots "nuage de polarisation" sur internet, et bien pas grand chose de consistant...
▬Revenons sur la consistance, la teneur, la composition, l’arrangement, la structure, la constitution, la texture et simplement sur le contenu d’une particule élémentaire ou même virtuelle. Est-ce que ces particules au sens large sont d’un bloc ou sont composées, ou est-ce que ces particules sont continues ou discontinues Ɂ Nous pensons que ces particules sont encore discontinues comme tout ce que nous connaissons. L’électron est encore plu particulier que d’autres particules, car il est encore plus flou, et s’étale plus dans l’espace. D’ailleurs rien que de dire il s’étale dans l’espace, cela sous-entend que son volume change, et que sa densité change forcément.
▬Pour le redire encore ce que nous pensons d’un corpuscule ou d’une particule comme photon et électron¦¦ Ces particules ou autres comme électrons ou photons, sont des assemblages de TRUCS où le truc est une base élémentaire faisant partie de la constitution des corpuscules comme des particules. Ceci amène à dire que le corpuscule du photon comme la particule électron, sont des objets en MOU, et non ayant une consistance en DUR. Les TRUCS sont groupés formant le corpuscule ou la particule, mais peut se déformer et même se DIVISER dans certains cas comme dans les expériences des fentes de Young. Dans le cas de DIVISION du corpuscule ou de la particule par les fentes de Young, cette Division donne 2 parties distinctes mais toujours rattachées entre elles, car non vraiment séparées. il faut voir dans cette image une sorte de pâte molle qui commence à traverser les fentes, où une partie après passage se rassemble immédiatement, sachant que le plus gros du reste n’est pas encore passé, et donc que la pâte est reliée avant le passage complet comme aussi après pendant le passe, et donc cette pâte est reliée des deux cotés de la paroi, avant et après passage des fente, et qu’après cela forme deux blocs de pâte mais reliés entre eux, comme si la géométrie de l’entité de départ avait changée. Mais dans cette description la pâte n’est très adéquate, alors il faut voir encore l’entité qui passe au travers des fentes comme un essaim qui se divise en deux et épouse les fentes en les traversant, et le regroupement une fois passé forme deux essaims mais reliés entre eux. Dans l’essaim il n’y a pas de nid mais que des abeilles, et ces abeilles se divisent en deux groupes mais comme c’est la même colonie, il y a échange entre les deux essaims. Difficile de trouver des notions existantes pour expliquer cette façon de vois les choses. après le passages les essaims vibrent comme si ils étaient attirés et repoussés c’est pour nous cela l’interférence. On peut dire que ces deux essaims résultant oscillent comme une vibration.
▬Cela peut être cette vibration entre divisions formant deux d’essaims que l’on constate sur l’écran récepteur en voyant des franges, mais on peut aussi attribuer à cette division la fréquence de la plaque ou il y a les fentes, car après tout il peut y avoir transmission de la résonance de l’atome des bord des fentes à la particule divisée. Dans ces explications il manque toujours les données et les paramètre des résultats, et il est alors difficile de trouver des pistes pour savoir simplement si en changeant de la largeur de fente cela donne les mêmes franges, ou encore si il y a eu des tests avec différents matériaux constituants la plaque et ayant des résonances différentes.
▬Ces fentes servent un peu comme des accélérateurs de particules et correspondant à des collisions de particules, mais cela n’est pas tout à fait la même chose, car en passant aux traverse des fentes, ces objets se divisent et se reconstituent en même temps, et donc les parties sont liées avant passage complet comme encore pendant le passage et aussi après passage des deux cotés de la plaque ou se trouvent les fentes. Il n’y a donc pas une cassure du corpuscule comme de la particule, mais une déformation engendrant deux parties qui sont de toutes façons rattachées entre elles, mais la géométrie de l’entité initiale se retrouve changée de forme, comme des lobe d’un même objet. Après passage le corpuscule comme la particule est gardé, mais sa forme de reconstitution va faire en sorte que cela oscille ou vibre. C’est cette vibration que l’on retrouve sur l’écran récepteur en tant que corpuscule ou particule, mais la géométrie temporaire du regroupement des TRUCS fait que la reconstitution possède une certaine résonance, et c’est cette résonance qui détermine les franges sur l’écran récepteur.
▬Même si ces parties de corpuscule ou particule sont accompagnées de nuage de polarisation du vide, cela n’est pas ce nuage qui détermine les franges ou qui guide la particule passant soit disant par une seule fente. Quand de l’eau traverse deux fentes, l’eau avant le passage pendant le passage et après le passage reste toujours de l’eau, mais il y a interférence de cette eau avec elle-même, car des mouvements contraires ne vont plus dans une même direction, et dans ce cas ce sont les bords des fentes qui fait changer de direction des molécules d’eau, créant ainsi des courants se contrariants. Pour le corpuscule ou la particule, passant au travers des fentes, cela n’est pas tout à fait cela, car on décompose le corpuscule et la particule en géométrie différente que celle de départ, et cette géométrie fait qu’il y a interférence avec elle-même, donnant une sorte de vibration temporaire. De dire qu’il a deux parties de l’entité de départ est faux, car l’entité reste la même mais c’est sa géométrie déformée qui la fait résonner d’elle même donnant une certaine fréquence et donc une certaine interférence.
▬Peut être que ce concept est faux, mais c’est à toi de nous démontrer que cela ne peut pas fonctionner. En tout cas que cela soit le nuage de polarisation divisé en deux parties passant par les deux fentes et que corpuscule ne passe que part une fente, et bien dans notre concept cela est presque similaire, car le corpuscule est en fait pour nous le nuage qui peut se diviser, car dans notre concept il n’y a pas un corpuscule et un nuage mais un ensemble formant un même objet mais mou et pouvant se déformer comme se diviser. Dans ce que tu avances il n’y a pas d’explication pourquoi ces franges se forment, car même si il y a un nuage de polarisation de départ se trouvant divisé par deux, la mécanique après n’est guère expliquée. Nous, nous émettons que ces franges peuvent être en accord avec le type de matériau de la plaque où il y a des fentes, ce qui fait que les franges sont toujours aux mêmes endroits, même si on envoie un par un des corpuscules ou particules, et donc que cela peut être la résonance de l’atome (fréquence) où se trouve ces fentes. Si la plaque était constituée d’un autre type de matériaux ayant une différence résonance que se passerait-il Ɂ
▬De toutes façons ce concept de grains élémentaires constituants les particules de tous les genres va dans le sens de ces particules virtuelles formant le nuage de polarisation, car que ce nuage soit composé de particules virtuelles ou de paquets de grains élémentaires, cela revient à la même chose, mais dans notre concept nous ne disons pas que ces tas de grains élémentaires sont des particules virtuelles mais simplement des groupements de grains même non calibrés, et même des grains individuels sont être pour autant groupés par paires de charges opposées. C’est donc un mixage d’assemblages pouvant se défaire et se refaire au même titre que ces particules virtuelles, mais sans ce concept les grains sont toujours présent, même si ils ont des sauts comme ces particules virtuelles. Nous n’avons que décomposé les particules virtuelles et donné la composition des particules ou corpuscules. Dans ce concept il n’y a pas différents types de particules virtuelles, mais des paquets de grains élémentaires non calibrés.
▬Ce qui manque dans ces explications, ce sont les renvois sur les tests véritables effectués avec les paramètres et les données et donc des caractéristiques plus précises des tests effectués. Car on peut partir sur es pistes ne servant à rien car déjà effectuées. Ce concept par grains élémentaires permet de dire que les particules et corpuscules ne sont pas des blocs continus mais justement des assemblages et donc des blocs discontinus et peut importe ce qu’est la constitution.
▬Amicalement. Les jumeaux JFP/Jean-François POULIQUEN

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