bonjour ! Je viens de lire votre article sur les grèves en Algérie et je souhaite vous répondre sur cet thème. Cela me donne l’occasion de vous faire part d’une situation au Mali qui, est peut-être semblable à celle de l’Algérie. Les enseignants contractuels du Mali sont en grève depuis le début de l’année scolaire 2008, une grève prenant source dans les revendications suivantes : l’augmentation des salaires, les primes de logement ; en définitive l’ègalité entre ces dites personnes et les enseignants appartenant à la fonction publique. De ce fait les enseignants contractuels ont décidé de ne pas faire de composition, ni d’évaluation dans les établissements, et les syndicats ont reçu la même réponse par le gouvernement qu’en Algérie. Et ce qui est sidérant c’est que le gouvernement évite de dialoguer avec les syndicats. Il prétend qu’il fera composer les élèves sous la surveillance d’autres personnes, différentes des enseignants contractuels. En date du mardi 19 mai, une composition imprévue est commencée au sein des établissements publiques sous la présence des policiers munis d’armes et de gaz lacrymogène. Les élèves, innocents, sont bouleversés par cette situation et sont entrés en classe sous cette menace. J’aimerais alors savoir, dans un pays où les revendications reçoivent une réponse de cette manière, comment et quand l’amélioration verra le jour ? Quels sont les moyens de banir ce genre de situation ? MERCI à la prochaine
bonjour ! Je viens de lire votre article sur les grèves en Algérie et je souhaite vous répondre sur cet thème. Cela me donne l’occasion de vous faire part d’une situation au Mali qui, est peut-être semblable à celle de l’Algérie. Les enseignants contractuels du Mali sont en grève depuis le début de l’année scolaire 2008, une grève prenant source dans les revendications suivantes : l’augmentation des salaires, les primes de logement ; en définitive l’ègalité entre ces dites personnes et les enseignants appartenant à la fonction publique. De ce fait les enseignants contractuels ont décidé de ne pas faire de composition, ni d’évaluation dans les établissements, et les syndicats ont reçu la même réponse par le gouvernement qu’en Algérie. Et ce qui est sidérant c’est que le gouvernement évite de dialoguer avec les syndicats. Il prétend qu’il fera composer les élèves sous la surveillance d’autres personnes, différentes des enseignants contractuels. En date du mardi 19 mai, une composition imprévue est commencée au sein des établissements publiques sous la présence des policiers munis d’armes et de gaz lacrymogène. Les élèves, innocents, sont bouleversés par cette situation et sont entrés en classe sous cette menace. J’aimerais alors savoir, dans un pays où les revendications reçoivent une réponse de cette manière, comment et quand l’amélioration verra le jour ? Quels sont les moyens de banir ce genre de situation ? MERCI à la prochaine
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