Enlever à un peuple l’homme qu’il honore comme le plus grand de ses fils n’est pas une chose qu’on entreprend volontiers ou d’un coeur léger, surtout quand on appartient soi-même à ce peuple.
« Enlever à un peuple l’homme qu’il honore comme le plus
grand de ses fils n’est pas une chose qu’on entreprend volontiers ou
d’un cœur léger, surtout quand on appartient soi-même à ce peuple.
Mais on ne s’autorisera d’aucun exemple pour repousser la vérité au
profit d’un hypothétique intérêt national, et l’on est aussi en droit
d’attendre de l’élucidation d’un réseau de circonstances un gain
pour notre connaissance. »
Sigmund Freud
Premières lignes du texte Moïse et la religion monothéiste
Enlever à un peuple l’homme qu’il honore comme le plus grand de ses fils n’est pas une chose qu’on entreprend volontiers ou d’un coeur léger, surtout quand on appartient soi-même à ce peuple.
« Enlever à un peuple l’homme qu’il honore comme le plus
grand de ses fils n’est pas une chose qu’on entreprend volontiers ou
d’un cœur léger, surtout quand on appartient soi-même à ce peuple.
Mais on ne s’autorisera d’aucun exemple pour repousser la vérité au
profit d’un hypothétique intérêt national, et l’on est aussi en droit
d’attendre de l’élucidation d’un réseau de circonstances un gain
pour notre connaissance. »
Sigmund Freud
Premières lignes du texte Moïse et la religion monothéiste