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3 février 2011 13:47, par Mohamed
En Egypte comme en Tunisie la réponse des classes dirigeantes consiste à faire peur aux citoyens pour que ceux-ci se jettent au cou de l’Etat chargé de les sauver...
Des attaques vraies ou fausses devant différents lycées de la capitale ont fait le sujet de nombreux journaux de la capitale le mercredi 2 février. La veille, la rumeur de l’enlèvement d’un jeune lycéen dans la banlieue de Tunis avait alarmé toutes les mères de famille. Quelques heures plus tard, le ministre de l’Intérieur, Farhat Rajhi, démentait lui-même le kidnapping. Il s’agirait d’un coup monté ou d’une erreur.
Il en est de même avec (...)