En réponse à :
16 janvier 2011 00:09, par max
"Le courage de la jeunesse et de tout le peuple tunisien, qui ont affronté à mains nues les tirs à balles réelles, a eu raison du dictateur. Ben Ali, jusqu’à la dernière minute soutenu par l’ancienne puissance coloniale française, avait commencé à sacrifier ses ministres et un général, par renoncer à se représenter, pour finalement quitter le pouvoir en laissant son premier ministre à sa place."
Bravo à tous les opprimés de l’autre coté de la méditérannée, ceux que les "socialistes" français qualifent "de misère du monde" (M.Rocard dans les années 90 pour dénoncer l’immigration clandestine à côté de Lepen),ces (...)