Le géant mondial du pétrole Royal Dutch Shell va former des briseurs de grève pour reprendre la pleine production de ses usines au Texas et en Louisiane.
Aamir Farid, vice-président de la fabrication de Shell Amérique, a déclaré que la société passait de son « plan d’urgence » à sa phase de « continuité d’activité », et à la formation de « travailleurs de relève » pour remplacer les 800 travailleurs en grève à sa plus grande raffinerie située dans la banlieue de Deer Park de Houston au Texas. Faisant remarquer que Shell avait « des plans d’urgence en place pour bien plus que les douze mois à venir pour tous les sites où le Syndicat des Métallurgistes unis (United Steelworkers, USW) représentait les travailleurs, Farid a déclaré que la raffinerie fonctionnerait à « plein roulement » au milieu de l’été.
En clair : si les travailleurs ne sont pas d’accord pour accepter les diktats des compagnies pétrolières, ils risquent la perte de leur emploi et la destruction de leur gagne-pain.
L’action provocatrice de Shell – le négociateur en chef pour ExxonMobil, Chevron, BP et d’autres conglomérats énergétiques – confronte les travailleurs avec le besoin urgent de monter une riposte déterminée et agressive. Sans cela, la grève se traduira inévitablement par une défaite amère.
Le géant mondial du pétrole Royal Dutch Shell va former des briseurs de grève pour reprendre la pleine production de ses usines au Texas et en Louisiane.
Aamir Farid, vice-président de la fabrication de Shell Amérique, a déclaré que la société passait de son « plan d’urgence » à sa phase de « continuité d’activité », et à la formation de « travailleurs de relève » pour remplacer les 800 travailleurs en grève à sa plus grande raffinerie située dans la banlieue de Deer Park de Houston au Texas. Faisant remarquer que Shell avait « des plans d’urgence en place pour bien plus que les douze mois à venir pour tous les sites où le Syndicat des Métallurgistes unis (United Steelworkers, USW) représentait les travailleurs, Farid a déclaré que la raffinerie fonctionnerait à « plein roulement » au milieu de l’été.
En clair : si les travailleurs ne sont pas d’accord pour accepter les diktats des compagnies pétrolières, ils risquent la perte de leur emploi et la destruction de leur gagne-pain.
L’action provocatrice de Shell – le négociateur en chef pour ExxonMobil, Chevron, BP et d’autres conglomérats énergétiques – confronte les travailleurs avec le besoin urgent de monter une riposte déterminée et agressive. Sans cela, la grève se traduira inévitablement par une défaite amère.