A mon regretté compatriote, camarade et ami Jacques Tiwa, assassiné en pleine rue, d’un mitraillage à bout portant par l’armée de Paul Biya, le 28 février 2008 à Douala. A tous les autres martyrs de la justice et de la liberté au Cameroun. A tous les prisonniers politiques des geôles saturées du Cameroun.
A mon regretté compatriote, camarade et ami Jacques Tiwa, assassiné en pleine rue, d’un mitraillage à bout portant par l’armée de Paul Biya, le 28 février 2008 à Douala. A tous les autres martyrs de la justice et de la liberté au Cameroun. A tous les prisonniers politiques des geôles saturées du Cameroun.