Editorial - Ce n’est pas Sarkozy qui nous a battus : c’est l’Intersyndicale !
29 octobre 2010, 20:14, par Robert
Les syndicats qui ont une vie bureaucratique et légale propre, n’ont besoin de la classe ouvrière que comme élément docile de manœuvre, et, précisément, dans le but de se pousser en tant qu’institution légale de la société où nous vivons. Syndicats et masses prolétaires ont une vie quotidienne et des mobiles entièrement différents et tout travail « tactique » intérieur, même guidé par les intentions les plus pures, entravera l’activité et la vie propres des exploités, en détruisant leur élan combatif et en leur barrant le chemin de la révolution » ;
Les syndicats qui ont une vie bureaucratique et légale propre, n’ont besoin de la classe ouvrière que comme élément docile de manœuvre, et, précisément, dans le but de se pousser en tant qu’institution légale de la société où nous vivons. Syndicats et masses prolétaires ont une vie quotidienne et des mobiles entièrement différents et tout travail « tactique » intérieur, même guidé par les intentions les plus pures, entravera l’activité et la vie propres des exploités, en détruisant leur élan combatif et en leur barrant le chemin de la révolution » ;
GRANDIZIO MUNIS