Aujourd’hui encore, l’unité n’est qu’un leurre, un slogan mou, une arnaque politique. On la brandit pour sanctionner les voix qui tranchent et qui dérangent. Elle vient empêcher les débats, incite à l’immobilisme, provoque les compromis tactiques et les facilités. L’impopularité même de Nicolas Sarkozy devient un piège pour la gauche, tant elle invite au confort de l’opposition en bloc, comme s’il suffisait de tenir en souriant, pour ne pas contrecarrer le rejet mécanique du Président…
Aujourd’hui encore, l’unité n’est qu’un leurre, un slogan mou, une arnaque politique. On la brandit pour sanctionner les voix qui tranchent et qui dérangent. Elle vient empêcher les débats, incite à l’immobilisme, provoque les compromis tactiques et les facilités. L’impopularité même de Nicolas Sarkozy devient un piège pour la gauche, tant elle invite au confort de l’opposition en bloc, comme s’il suffisait de tenir en souriant, pour ne pas contrecarrer le rejet mécanique du Président…