"Notre révolution n’aura de valeur que si, en regardant derrière nous, en regardant à nos côtés et en regardant devant nous, nous pouvons dire que les Burkinabés sont, grâce à elle, un peu plus heureux." déclarait Thomas Sankara, président du Burkina Faso, treize jours avant le coup d’Etat du 15 octobre 1987 au cours duquel il devait être assassiné.
Le pays n’a guère progressé : le Burkina est classé au 174e rang sur 177 selon l’indice de développement humain du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), 2006.
"Notre révolution n’aura de valeur que si, en regardant derrière nous, en regardant à nos côtés et en regardant devant nous, nous pouvons dire que les Burkinabés sont, grâce à elle, un peu plus heureux." déclarait Thomas Sankara, président du Burkina Faso, treize jours avant le coup d’Etat du 15 octobre 1987 au cours duquel il devait être assassiné.
Le pays n’a guère progressé : le Burkina est classé au 174e rang sur 177 selon l’indice de développement humain du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), 2006.