« crise grecque », loin d’être finie et qui s’est transformée en crise européenne, est bien caractéristique de l’instabilité actuelle du système mondial. En effet, l’économie grecque n’est qu’une part minime de l’économie européenne et mondiale et il est remarquable que ses difficultés suffisent à faire craindre une rechute mondiale et commence déjà à faire chuter les bourses asiatiques notamment. On nous annonçait pourtant une confiance générale dans la reprise mondiale qui allait être tirée par les économies asiatiques, notamment chinoise et indienne ! Et voilà que la petite Grèce pèserait plus à la baisse que la Chine à la hausse !
Ceux qui raisonnent ainsi font comme si l’économie, c’était autre chose que les intérêts d’une classe exploiteuse.
« crise grecque », loin d’être finie et qui s’est transformée en crise européenne, est bien caractéristique de l’instabilité actuelle du système mondial. En effet, l’économie grecque n’est qu’une part minime de l’économie européenne et mondiale et il est remarquable que ses difficultés suffisent à faire craindre une rechute mondiale et commence déjà à faire chuter les bourses asiatiques notamment. On nous annonçait pourtant une confiance générale dans la reprise mondiale qui allait être tirée par les économies asiatiques, notamment chinoise et indienne ! Et voilà que la petite Grèce pèserait plus à la baisse que la Chine à la hausse !
Ceux qui raisonnent ainsi font comme si l’économie, c’était autre chose que les intérêts d’une classe exploiteuse.