Les syndicats ont réussi à isoler et trahir la grève des cheminots pour la défense des régimes spéciaux de retraite. Après dix jours, sans aucune perspective sur laquelle se baser pour battre le gouvernement du président Nicolas Sarkozy, les assemblées générales qui se sont tenues dans toute la France ont voté pour la reprise du travail. De larges poches de résistance, quelque 10 pour cent, soit près de 14 000 cheminots, étaient encore en grève.
Les syndicats ont réussi à isoler et trahir la grève des cheminots pour la défense des régimes spéciaux de retraite. Après dix jours, sans aucune perspective sur laquelle se baser pour battre le gouvernement du président Nicolas Sarkozy, les assemblées générales qui se sont tenues dans toute la France ont voté pour la reprise du travail. De larges poches de résistance, quelque 10 pour cent, soit près de 14 000 cheminots, étaient encore en grève.