Rôle de l’inhibition et de l’inconscient, de la logique et de l’absurde, du rationnel et de la fable dans la formation de l’intelligence
22 janvier 2010, 01:46, par Max
Je ne comprends pas bien le terme "économie mentale" dans cette phrase :
"Cette fiction qui est parfaitement contredite par la réalité objective n’en demeure pas moins une construction mentale d’une puissance autrement plus tangible et plus forte pour l’économie mentale du patient que la réalité "expérimentale" dont il est pourtant l’objet. A n’y pas douter, ces fictions sont les véritables habitants de la pensée consciente de ces patients."
Et du coup il me semble (est ce ma fiction ?) que l’auteur parle d’un certain confort pour l’ensemble psychique humain qui se réfugie dans une interprétation propre des évenements même si la réalité lui dit l’inverse.
Une espèce de droit à la paresse pour nos cerveaux et en même temps une dynamique de changement lié à des erreurs d’interprétations.
en tout cas le besoin vital de se faire sa propre idée comme on dit.
Donc l’inverse de la pensée prémachée, du prêt à penser. Car dans cette "paresse" de l’interprétation il y a la volonté de comprendre soi même et d’avancer en confrontant ses idées à d’autres.
Je ne comprends pas bien le terme "économie mentale" dans cette phrase :
"Cette fiction qui est parfaitement contredite par la réalité objective n’en demeure pas moins une construction mentale d’une puissance autrement plus tangible et plus forte pour l’économie mentale du patient que la réalité "expérimentale" dont il est pourtant l’objet. A n’y pas douter, ces fictions sont les véritables habitants de la pensée consciente de ces patients."
Et du coup il me semble (est ce ma fiction ?) que l’auteur parle d’un certain confort pour l’ensemble psychique humain qui se réfugie dans une interprétation propre des évenements même si la réalité lui dit l’inverse.
Une espèce de droit à la paresse pour nos cerveaux et en même temps une dynamique de changement lié à des erreurs d’interprétations.
en tout cas le besoin vital de se faire sa propre idée comme on dit.
Donc l’inverse de la pensée prémachée, du prêt à penser. Car dans cette "paresse" de l’interprétation il y a la volonté de comprendre soi même et d’avancer en confrontant ses idées à d’autres.
Je pense donc j’existe socialement.