Editorial 03-01-2010 - Le grand emprunt de l’Etat... dans la poche des travailleurs
3 janvier 2010, 17:42, par F. Kletz
Une grosse modification serait à prévoir à mon sens. En l’état, l’éditorial ne se démarque pas assez de certaines idées majoritaires dans la tête d’ouvriers et de beaucoup de militants, en clair, il n’est pas assez léniniste à mon goût.
En effet, il manque l’idée que l’état est le moyen des capitaliste pour organiser le marché, le système et ... la production en cas de crise.
Peut-être une seule phrase suffirait.
Par exemple à la fin de l’avant-dernier paragraphe :
"...certains d’entre eux ne se privent pas de le dire haut et clair.
[Qui plus est, l’état, cet outil de la bourgeoisie pour organiser l’exploitation et l’oppression de la classe ouvrière, ne se prive pas pour agir, comme il se fait toujours, pour protéger les intérêts des capitalistes, à la mesure de la crise que les capitalistes minimisent lorsqu’il s’adressent à nous, mais dont ils tirent toutes les conséquences pratiques pour sauver leur système, leur mode de production et leurs affaires.]"
Ce n’est qu’un premier jet, il est modifiable, car la phrase est un peu longue, mais à mon avis, on ne doit pas laisser l’éditorial en l’état.
Une grosse modification serait à prévoir à mon sens. En l’état, l’éditorial ne se démarque pas assez de certaines idées majoritaires dans la tête d’ouvriers et de beaucoup de militants, en clair, il n’est pas assez léniniste à mon goût.
En effet, il manque l’idée que l’état est le moyen des capitaliste pour organiser le marché, le système et ... la production en cas de crise.
Peut-être une seule phrase suffirait.
Par exemple à la fin de l’avant-dernier paragraphe :
"...certains d’entre eux ne se privent pas de le dire haut et clair.
[Qui plus est, l’état, cet outil de la bourgeoisie pour organiser l’exploitation et l’oppression de la classe ouvrière, ne se prive pas pour agir, comme il se fait toujours, pour protéger les intérêts des capitalistes, à la mesure de la crise que les capitalistes minimisent lorsqu’il s’adressent à nous, mais dont ils tirent toutes les conséquences pratiques pour sauver leur système, leur mode de production et leurs affaires.]"
Ce n’est qu’un premier jet, il est modifiable, car la phrase est un peu longue, mais à mon avis, on ne doit pas laisser l’éditorial en l’état.
Merci d’en prendre compte.