En réponse à :
6 juin 2011 18:05, par Bertrand Ducharme
@Max J’aime bien le rythme de votre texte et la petite surprise au tournant.
La relativité du temps qu’on mesure et celle du temps qu’on ressent. L’air du temps présent qu’on respire et de celui qu’on sent venir.
J’en appelle aux mutants Au désir de changement Pas comme un lion qui rugit Mais comme le font les loups la nuit
Se sont entassés les peines et les désirs Comprimés au fil des ans Dans les reflets de ce pur diamant Scintille la lumière d’un nouveau printemps (...)