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39- Quelle est la structure de la matière et du vide - ou comment la matière est virtuelle et le virtuel est matière

13 juillet 2016, 09:32, par Vidovic

Sans une bonne connaissance de l’Histoire de l’empire universel Medo-Perse, il est impossible de comprendre l’Histoire de l’Europe. Or, pour comprendre l’Empire universel Medo-Perse, il faut parfaitement assimiler l’enseignement de Zarathustro dans ses ’Gathas’, écrit en langue mède, différente de celle des Perses. Au cours de la collection des données que l’histoire de l’écriture nous a léguées, j’ai été amené à traduire depuis l’original mède les ’Gathas de Zarathustro et le publier en Bosnie durant la récente guerre de la dévastation de ce pays et du massacre sa population sédentaire par la barbarie sous le prétexte du ’christianisme orthodoxe’). La langue des ’Gathas’ est de loin la plus proche de la langue de Bosnie, bien plus proche que du persan moderne, plus proche meme que du persan moyen, celui des Sassanides (chrétiens).

C’est à partir de là que j’ai compris que l’Expédition de Darius le Grand en Europe, en -509. a apporté en Europe la système qu’ Hérodote a nommé ’l’isonomia’, reposant sur l’enseignement de Zarathustra et qui a presque immédiatement après l’irruption de la grande Armée de Darius (comptant environ 700.000 soldats de toutes les nations faisant partie de l’Empire Universel), Rome, cette année-meme, est devenue ’res-publica’ et quatre années après ce fut Athene qui amorça sa ’dimocratia’. C’est sans doute après la montée de l’Armée de Darius le Grand en Sarmatie que la langue mède est devenue la langue officielle de toute cette partie de l’Europe. Toutes les langues que l’on range parmi les ’langues slaves’ viennent indubitablement du mède. Or, bien plus tard, après l’expédition de la grandé ruée sur l’Empire universel d’Alexandre le Grand, ce n’est pas l’invasion mais la fuite des dizaines de milliers des forces vives de l’Empire de Darius II dit ’Codoman’ qui a monté au nord de la Mer Caspienne et s’est dirigée vers l’ouest, sans doute, au fil des décennies en tant que force organisée et combattante, est arrivé jusqu’a la Mer du Nord. Voila pourquoi les langues germaniques ressemblent beaucoup à la langue persane (surtout de sa période ’tokarienne’ - meme de nos jours.

Pline l’Ancien affirme que les Perses ont été les ’premiers immigrés en Espagne’, et les histoiriens les mieux informés se sont évertués à expliquer l’assertion d’ Hérodote qui affirmait que la Perse dominait toute l’Europe et meme les contrées les plus à l’ouest lui ont versaient un tribut annuel.

Là on a compris une partie de l’histoire de l’Europe, mais elle n’est pas compréhensible sans prendre en considération le role des empereurs illyriens dans l’affirmation du christianisme et les réformes amorcées par Dioclétien qui, après avoir christianisé l’Empire Romain l’ont aussi civilisé. Du reste la pénétration des Romains sur le sol d’outre Rhin a commencé par Agrippa et s’est élargie et enracinée par ses sucesseurs qui ont fonde Colonia (Koln de nos jours), puis, plus au nord à Treverorum (Trier) etc. C’est là que les légions romaines qui controlaient cette partie du Nord-Oust de l’Empire Romain étaient généralement Illyriennes, qui y venaient déjà baptisés.

Parmi eux se sont trouves un certain Martin (de Tours), Ambroise de Milan, St Jerome, Rufinus d’Aquilée (qui des le 3-è siècle était le siège du Patriarcat illyrien, trés vaste et plus influant un premier temps que la papauté de Rome). A bien connaitre les roles qu’ont joué à l’épanouissement de la philosophie chrétienne entre ces futurs théologiens et saints de l’Eglise de l’Ouest (le christianisme a éte scindé par l’Empereur Hercalius qui a remplace le latin par le grec et a instroduit dans l’usage officiel et la théologie de l’Eglise de l’est le subtrfuge’ du ’monophysitismus’ deven u un peu plus tard monotelisme - un jeu de mots à connotation politique et stratégique. Sur son lit de mort, Heraclius a avoué qu’il n’avait jamais été chrétien...

Or la manière de la christianisation de l’Occident doit etre considéré sur deux plan - d’abord le travail des missionnaires et cela sous controle des Armées romaines, surtout au nord-Ouest da la Gaule, à la jonction de l’Empie Romain et des etats dits germaniques (Herodot affirme que parmi les tribus persanes il y avait la puissante tribu de Germanioi), car l’appellation ’germanique’ n’est abosolument synonime d’une race, mais de la communauté des langues : il y avait tout d’abord des Hatti (appelés par les romains ’francus’, puis les Saxons, les Angres (ancetres des Anglais), puis, plus à l’est les Alamans, les Burgondes, aux quels se joignaient d’autres tribus venant par les sentiers de la profondeur des forets de l’Europe centrale.

Le christianisme a été implanté en Illyrie et en Dalmatie par Paul de Tarse et a rapidement pris des racines inextiricables : il suffit de voir sur une carte archéologique la densité des sites chrétiens en Dalmatie et en Bosnie pour comprendre que au moins là il n’y avait pas de persécution des chrétiens, ce qui s’explique par l’absence totale des vestiges de temples paien. Le christianisme se répandait de la vers le Nord et vers l’Ouest p.ex. l’Eglise Ukrainienne et russe ne sont que des copies de l’Eglise de Bosnie et cela en tout point de vue !).

L’université chrétienne de Cibalae (Vinkovci) a forme des grands missionnaires, comme Ulfila venu du pays des Goths, puis Martin de Tours et Martin de Braga vers l’Oues t. Saint Jerome étant conseiller du pape à Rome et traducteur de la ’Bible’ ’VULGATE’ !) en langue latine du peuple, a participé au Concile du Pape Damascus I. Mais la forte présence du paganisme chez chez le clergé de Rome l’a obligé à se réfugier à Betlehem d’ou il n’est jamais revenu. Le Concile de Trente (1542 - 1545) était aussi le triomphe de St Jérome sur l’exclusion de la langue illyrienne de la théologie catholique et le Triomphe de la doctrine de St Jerome, devenu à l’occasion - docteur de d’Eglise. Ajoutons à cela la forte influence de l’Eglise illyrienne au Nord de l’Italie et le sud de la France, ou ’Les Kathares’ n’ont pas survécu aux persécutions des gens fidels au Pape (Simon de Montfort) de Rome qui pour cette période sombre de l’Histoire de l’Eglise s’est installé à Avignon.

Ulfila n’était sans doute ni le premier ni le seul a propager le christianisme au Nord des Carpathes et les ’invasions barbares’ n’étaient pas des invasions de paiens. Les chefs de ces invasions et les défenseurs des Limesde l’Emire de Rome se targuaient d’etre de la noblesse christianisée. Le bapteme de Merovée était autre chose que le bain d’un paien - il s’agissait la - de la part du ’droit ripuaire’ à s’affirmer réciproquement sur l’espace du ’droit salien’. Or les spécificités du christianisme des envahisseurs et des envahis n’ont jamais cessé : le christianisme dés lors est devenu une - idéologie très éloignée du Message du Christ. N.B. Dès le début de la Réforme, des théologiens illyriens ont été les principaux assistants de Martin Luther (comme Mattias Flacius Illyricus, etc.).

Mentionnons ici deux auteurs de livres assez crédibles à ce sujet : Augustin Thierry (’Récits des temps mérovingiens’) et celui de K.F.Werner "Le role de l’aristocratie dans la christianisation du Nord-Ouest de la Gaule", ci-joint :

http://www.persee.fr/doc/rhef_0300-9505_1976_num_62_168_1565

NOTA : Après tout cela on sait que (pour paraphraser Voltaire : ’Si Dieu n’existait pas, il faudrait l’inventer’) le christianisme n’est jamais à inventer, mais encore et toujours - a retrouver inaltérable sous un amas irresponsable des couches neo-paiennes et meme satanistes.

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