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39- Quelle est la structure de la matière et du vide - ou comment la matière est virtuelle et le virtuel est matière

18 mars 2016, 16:30, par Vidovic

(En résumé)

DE L’ORIGINE DE LA VIE

’L’évidence première n’est pas une vérité fondamentale’.
(Gaston Bachelard -’La psychanalyse du feu’).

Les etres vivants sont un enigme à double sens : ils sont une synthèse de la protomatière et de la matière très sophistiquée. Logiquement, l’idée de la création d’un etre vivant, meme dès plus primitifs, pour concevoir la nature ambiante pour son maintien à la vie et son épanouissement ne serait qu’une idée volontariste. Il devient plus évident que nature ambiante a évolué au point de recevoir un organisme plus complèxe mais tributaire de la nature ambiante et aussi d’autres etres faits dans des conditions adéquates ou l’idée de la dépendance d’un etre de son univers ambiant est aussi coordonnée à la présence d’autres étres vivants de la flore ou de la faune, ou des deux dans la matrice de la matière dite ’morte’.

L’interdépendance des etres mixtes (la nature vivante) à la lisière entre la protomatière et la matière est un problème qui ne peut etre compris dans aucune ’métamorphose’ des etres sortant les uns des autres. Chacun des etres est apparu en liaison de la spécificité de la matière ambiante et de la protomatière infiniment adaptable et c’est cete spécificité de l’unicité de chaque espèce qui porte en elle meme la constante des structures matérielles et l’adaptabilité de la protomatière mère qui donnent la spécificité génétique douée du pouvoir de se perpétuer de génération en génération. Nota : si un organisme doué de nature propre pour assurer sa reproduction est absorbé par un autre organisme ayant sa propre génétique, cette absoption du corps d’une autre espèce ne donnera pas dans l’organisme du prédateur une régénérescence. Cela nous montre que la protomatière qui est à l’origine de la vie ne se reproduit jamais à l’identique, mais vivifie toute la structure physique de tout organisme pris à part et dès la cellule primaire..

Il en est aussi et ainsi de la matière dite ’morte’ venue de la protomatière : elle est tributaire de l’énergie venant de la protomatière, meme si elle passe par la structure physique d’un etre absorbée sans pour autant le reproduire. Les éléments de chaque unicité des ’essaims’ constituant un élément à la base du tissu physiologique qui sont tenues solidaires par la gravitation en reciprocité, ce qui explique leur cohésion.

La cellule originelle qui, en suivant son programme de l’épanouissement n’est en aucun cas un produit du hasard venu du cahot d’une ’soupe de particules’ ni meme de l’aberration d’un organisme qui reproduirait cette aberration en amorçant une autre espèce, car l’infime dans l’ensemble peut se produire mais sans modifier la perfection de chaque programme de l’amorce à la base du programme initial. L’intervention humaine dans ce domaine donne des variantes des modifications génétiques qui deviennent ou bien stériles ou bien elles ’retrournent à la nature’ (état primitif). C’est sans doute la raison de l’impossible ’invention’ des espèces nouvelles à partir des combines de la matière dite morte. On saura pourquoi, quand on connaitra mieux la nature de la protomatière et de son role sur toute l’épaisseur de la matière.

Pour pouvoir se former et s’épanouir selon sa gamme génétique, il est difficile d’imaginer qu’un fait du au hasard puisse faire son essor dans un environnement qui suscite son essor dans un environnement qui à fait le ’cocon’ qui assurera tout ce qu’il faut pour son épanouissement. Cela étant dit c’est l’environnement qui précède et prépare la conception d’une espéce nouvelle et non le contraire. Sa création se fait par l’influence de la protomatière vivifiante qui par sa permanence maintient les particules de la matière solidaire jusqu’à leur usure de l’énergie nécessaire au maintien du corps dans son intégrité et en fonction de l’environnement. Plus encore, le maintien en vie d’un etre vivant dépend aussi de l’influence et l’interaction des autres etres vivants.

Le défaut de l’adaptabilité à l’environnement de la nature ambiante affaiblit parfois tel ou tel etre au point de se collapser sur lui meme, de devenir stérile ou victime des innombrables prédations qui font que la constitution physique est absorbée par d’autres etres prédateurs ou charognards, rarement conservés sans la modification du relief environnant (p.ex. le gel, brulant, ou le sol sec ou trop humide). Certains etres vivants peuvent s’adapter mieux que d’autres à ces changements subits de leur environnement que d’autres, mais la rapidité de ces changement ne peut pas logiquement permettre leur adaptabilité. Et toute l’adaptabilité se fait dans la réorganisation de la cellule de base qui donne une sous espèce ou une espèce nouvelle, dont le programme génétique approprié lui permettra de se perpétuer. Pour comprendre ce domaine de la genèse des espèces, il faudra mieux comprendre la nature de la protomatière : elle engendre les structures de la matière et lorsque ses structures deviennent aptes à se produire dans un organisme ou la protomatière se fera le germe de la vie - l’espèce ainsi faite prend son essort qui dure autant que les conditions requises pour sa permanence. C’est ainsi que se forme ’la chaine alimentaires’ ou l’interdépendance des etres vivants est aussi importante pour leur subsistance que la nature environnante.

NOTA : La protomatière génère, par l’unicité de chaque particule et forme coordonnées, par la gravitation qui agit en permanence, se fait dans interdépendance des formes de manière innée et spontanée - une forme appelle une autre et cela se fait par d’innombrables successions sur toute l’épaisseur de la matière. Dans tous les cas c’est la protomatière qui constitue la réponse à l’appel de toutes les formes accomplies et devenues - disponibles dans la permanence de l’équilibre évolutif partout ou s’appliquent, au vu de la capacité humaine de le comprendre - les coordonnées espace/temps.

Le plus paradoxal dans cela est le fait que l’ on sait se servir de la protomatière alors qu’on ne la connait que par sa manifestation dans les formes les plus diverses et dans leur totalité de la structure de la matière.

Or, l’agencement des primes unicités dans un essaim à programme génétique initial, ne peut en aucun cas etre du au hasard. Cet agencement est du à une INTELLIGENCE PARFAITE concevable dans son activité de l’infiniment petit et de son équilibre évolutif dans le processus téléologique extremement précis structurel allant du point ’zéro’ jusqu’à la formation d’un organisme vivant à sa maturité. En s’y minimisant de sorte à pouvoir se refaire du plus petit au complet, et ainsi de suite.

Dans cette évidence - qu’on a du mal à comprendre - on ne peut que s’en remettre à cette intelligence parfaite qui ordonne le sort de la matière vivante dans la vaste réalité ambiante de l’espace sidéral et plus simplement de notre belle et agréable planète TERRE.

La potentialité de l’essor de l’espace sidéral est concevable seulement dans l’effort censé virtuel du destin de la matière dans la certitude de la permanence de la protomatière mere.

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