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39- Quelle est la structure de la matière et du vide - ou comment la matière est virtuelle et le virtuel est matière

24 octobre 2015, 11:48, par Vidovic

LE FLUX ET LE REFLUX

On ne sent pas le monde qu’avec nos instincts - réagissant d’un instant à l’autre - que le conscient ne reçoit qu’avec le sentiment de la durée. Le sens téléologique n’est interceptable que par l’intermédiaire de l’intuition. Rien dans la perception du monde ne peut remplacer l’intuition. Sans l’intuition tout est un jeu de combine de l’aléatoire. Plus encore, il est très difficile sinon impossible d’expliquer à quelqu’un n’ayant pas l’intuition épanouie - ce que c’est qu l’intuition s’il n’en est pas doué. De meme les conceptions par l’intuition peuvent difficilement etre compréhensible aux gens qui n’en ont pas. Reste le logique qui fait discerner parfois le certain dans le domaine de la probabilité.

Dans la verticale des structures des particules subatomiques , et par la de la compréhension de l’interaction des structures des atomes, des molecules et des organismes plus complèxes, rien ne nous semble etre logique sans un sens strict de l’unicité de toute particule émergeant de l’émulsion de la protomatière. Ces particules primaires uniques en elle meme et par rapport à d’autres, durent plus qu’un rayon cosmique si elle se trouvent dans l’interaction avec d’autres particules primaires avec lesquelles elles forment un ’essaim’ ayant le comportement cohérent et l’aptitude de l’interaction dans la verticalité avec d’autres ’essaims’ adéquats mais différents, déterminant par leur maintien dans cet ensemble l’espace logique d’un nouvel ensemble qui effectue de l’équilibre évolutif ayant pour effet le (changement de la) stabilité dans le mouvement.

Dans ce sens, il semble plus important de comprendre la source de la lumière que son comportement par les structures latentes et au fil des structures. La vie est la permanence de la protomatière dans toutes les composantes aussi différentes qu’elles puissent etre car tout provient de la protomatiere et se maintient dans l’ensemble cohérent dans la verticalité de l’interdépendance des structures se synthétisant dans des ’essaims’ et des groupes de plus en plus complexes. La lumière est l’un des aspects de la synergie relationelle : la lumière ne vient pas de nulle part et ne finit pas nulle part. C’est plutot un anchainement des rayons cosmiques comparable à une ’droite’ dans la géometrie (qui croise d’autres ’droites’ dans l’infini’).

La vie vient de la protomatière et dure autant que le maintien des particules émergeant de la protomatière en étant ’l’UN’ dans ’le TOUT’ - dans la verticalité de toutes les structures des particules interdépendantes - qu’il s’agit de la matière dite ’anorganique’ ou ’organique’. La matière dite ’morte’ n’existe pas, pour une simple raison qu’il n’y a pas d’inertie absolue ni de particules immuables.

Rien ne vient de ce XAOC hésiodien (qui traduit le vide rationnel démuni de l’intuition). Par l’interdépendance des particules et des essaims dont elles sont faites dans toute la verticalité de ’l’épaisseur de la matière’, s’explique la gravitation. Rien ne saurait exister indépendamment de toute autre structures matérielles - tout fait partie de la perfection de la Logique de la Création. Cette permanence - humainement parlant - se finalise dans notre pouvoir intuitif (de la connaissance immédiate) et de ce fait - tout comme la protomatière en tant qu’élément qui se définit par les coordonnées temps/espace - la conscience humaine est une permanence qu’on n’oserait pas qualifier de - réelle, car elle nous fait comprendre toute chose et rien dans l’univers des structures matérielles n’est en mesure de la définir.

Sans la prise en considération de l’omniprésence de la protomatière il est impossible de comprendre, sauf évaluer l’intuition, les manifestations les plus diverses dans l’interaction des structures bien diférentes mais interdépendantes. A-t-on tenté de comprendre la nature des rayons cosmiques et de la foudre si bruyante, ou les ’épandages’ des strates luminiscentes de l’aurore boréale ? De meme la protomatiere qui oscille entre structures dans la carence de la lumière n’a-t-elle le role de faire du ’gavage’ des structures de la matière, en se produisant dans le flux et le reflux entre es deux éléments (protomatière/matière) des primes particules. le trop d’énergie retourne dans son état d’origine, et là ou il faiblit - il reçoit de l’énergie vitalisante ou se fond dans la protomatière originelle.

La lumière se manifeste de manière appropriée dans le flux et reflux élémentaire. Cette oscillation se traduit par la gravitation aussi bien de l’attrait que de répulsion des unités en présence active.

La vitese de la lumière prouve la parfaite conductivité de la protomatière.

Il y a lieu d’apprendre en considération le rythme universel du flux et du reflux de la protomatière dans ses primes émulsions des particules sans dimensions partout ou elles sont censées se produire en retenant bien que chacune de ces particules est une et unique pour que le mouvement dans la diversion se fasse - univers.

La constance de l’omniprésence de la protomatière dans toutes les structures de la matière organisée se manifeste, dans l’unicité de l’information (comme le dirait Descartes) dans toute la verticalité des structures allant du plus simple au plus complexe - dans le flux et le reflux afin de maintenir et poursuivre l’équilibre évolutif pour finir dans l’élément originaire. L’épaisseur de la matière est compréhensible et mesurable uniquement intuitivement. Aucune dérogation ne saurait trouver un bien fondé logique !

Le flux et le reflux se manifestent meme dans l’opticité du sens humain des réalités présentées dans le conscient. A commencer des rayons cosmiques, dans le domaine manifeste (ebruyante) de la foudre, dans l’épandage (tacite) de l’aurore boréale ainsi que dans bien d’autres phénomènes luminescents - et meme dans la matière faisant partie de la flore et de la faune aussi bien sur terre ferme, que dans les airs et sous l’eau.

Comment comprendre le pouvoir d’un etre vivant d’émaner ou de moduler la luminosité dans certaines circonstances - la parade nuptiale, la chasse, l’autodéfense, etc. - des cas isolés et des groupes évoluant chacune pris à part ?

NOTA : Pour comprendre ces manifestations à la lisière des deux éléments (protomatière et matière) il faut admettre qu’il y a des règles de l’émanation du flux et du reflux qui gère la propriété physique des etres d’émaner la luminosité que le pouvoir conscient de décider du moment de cette émanation. Dans chaque ’conscient’ des etres vivants il y a l’impact précis du conscient universel. Selon le ’postulat de l’existence du Créateur’ de Hégel, il y a une Logique de Création qui se manifeste à la base de la structuration du monde matériel, plus précisément de la matière vivante - ou chaque particule apparait une et unique - qui corresponde parfaitement à la nécéssité du maintien de l’équilibre évolutif.

C’est dans la rapidité de la progression de la lumière qu’est concevable la vitesse du flux et du reflux à la lisière entre la protomatière et la matière qu’elle génère - en se manifestant dans ou à travers la structure du vide.

L’interaction entre ces deux éléments - protomatière / matière - est une constante modulée - qui oscille en effectuant l’équilibre évolutif. C’est à la base de cette oscillation que l’on peut affirmer s’il y a ou non de la matière morte - tout ralentissement se fait en fonction de la conductibilité la plus parfaite celle de la - structure du vide concevable par l’omniprésence de la protomatière.

(22.X.2015)

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