Voltaire racontait dans ses « lettres philosophiques » : « Voyez quelles révolutions arrivent dans les opinions comme dans les empires. (...) Ce qui devient une révolution en Angleterre n’est qu’une sédition dans les autres pays. (...) Les Français pensent que le gouvernement de cette île est plus orageux que la mer qui l’environne, et cela est vrai. (...) Ce qu’on reproche le plus en France aux Anglais, c’est le supplice de Charles 1er (...) », ou encore « Il en a coûté sans doute pour établir la liberté en Angleterre, c’est dans des mers de sang qu’on a noyé l’idole du pouvoir despotique ; mais les Anglais ne croient point avoir acheté trop cher de bonnes lois. Les autres nations n’ont pas eu moins de troubles, n’ont pas versé moins de sang qu’eux ; mais ce sang qu’elles ont répandu pour la cause de la liberté n’a fait que cimenter leur servitude. »
Voltaire racontait dans ses « lettres philosophiques » : « Voyez quelles révolutions arrivent dans les opinions comme dans les empires. (...) Ce qui devient une révolution en Angleterre n’est qu’une sédition dans les autres pays. (...) Les Français pensent que le gouvernement de cette île est plus orageux que la mer qui l’environne, et cela est vrai. (...) Ce qu’on reproche le plus en France aux Anglais, c’est le supplice de Charles 1er (...) », ou encore « Il en a coûté sans doute pour établir la liberté en Angleterre, c’est dans des mers de sang qu’on a noyé l’idole du pouvoir despotique ; mais les Anglais ne croient point avoir acheté trop cher de bonnes lois. Les autres nations n’ont pas eu moins de troubles, n’ont pas versé moins de sang qu’eux ; mais ce sang qu’elles ont répandu pour la cause de la liberté n’a fait que cimenter leur servitude. »