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Les vaccins, c’est tout bon ? L’histoire des vaccins est aussi celle des scandales…

jeudi 29 avril 2021

Les vaccins, c’est tout bon ? L’histoire des vaccins est aussi celle des scandales…

En 1994, la France lance une vaste campagne de vaccination contre l’hépatite B, infection du foie pouvant être mortelle. Cette vaccination massive a déclenché des maladies neurologiques telles que la sclérose en plaques, aboutissant à l’ouverture d’une enquête judiciaire d’ampleur nationale en 1998.

https://www.lemonde.fr/vous/article/2009/03/13/histoire-d-un-scandale_1167485_3238.html

Vaccins et hépatite B

https://www.rolandsimion.org/la-vaccination-contre-lhepatite-b-devant-le-conseil-detat-la-justice-et-les-associations-a-lepreuve-de-la-democratie-sanitaire/

Vaccins on nous aurait menti

Pourquoi nous a-t-on caché le fait que dans les mois qui ont suivi le lancement du 1er vaccin anti-polio en France en 1956, le nombre de cas de polio s’est multiplié par 6 ?

Pourquoi nous avait-on caché les mêmes multiplications de cas, lors des vaccinations de masse contre la variole aux Philippines en 1918, contre la Diphtérie en France en 1925, et plus récemment, contre la méningite en Afrique ?

Pourquoi 13 pensionnaires d’une maison de retraite de Lorraine, toutes vaccinées contre la grippe, sont elles mortes de la grippe en hiver 2005 ?

Pourquoi a-t-on oublié de nous dire que le chien qui avait mordu le petit alsacien vacciné par Pasteur, avait aussi mordu d’autres personnes du village qui ne furent ni vaccinées ni malades ?

https://blogavocat.fr/space/jean-pierre.joseph/content/vaccins--mais-alors-on-nous-aurait-menti--_686ce59c-cd93-4513-b4c3-450158f332d6

Controverses multiples sur les risques de la vaccination

En décembre 1929, l’Hôpital de Lübeck (Allemagne) lance une campagne de vaccination des nouveau-nés contre la tuberculose, par le BCG (bacille de Calmette et Guérin) par voie orale dans le lait maternel. En quatre mois, 251 enfants sont vaccinés. Dans les mois qui suivent, on constate un nombre inhabituel de décès. Une enquête de surveillance est mise en place avec un suivi de trois ans des enfants vaccinés. En 1932, il est établi que 72 enfants (30 %) sont décédés de tuberculose, 127 (53 %) ont fait une tuberculose clinique ou radiologique avec guérison et 41 (17 %) n’ont eu aucun signe, sinon une conversion tuberculinique (virage de cuti, attendu après vaccination).

En 1992, l’OMS recommande aux États membres la vaccination universelle des enfants contre l’hépatite B. En juillet 1994, la France décide de proposer, dès la rentrée suivante, cette vaccination gratuite pour les enfants des classes de 6e. Ce programme scolaire est appuyé par une campagne intense de publicité (presse et télévision), non scientifiquement contrôlée et parfois dramatisante. En trois mois, près de 500 000 élèves sont vaccinés24, mais les objectifs initiaux sont dépassés, des millions de jeunes adultes se font vacciner chez leur médecin. Ils sont estimés à six ou sept millions durant la seule année 199525. Fin 1995, des cas de sclérose en plaques chez des personnes vaccinées sont notifiés et une controverse sur la responsabilité du vaccin dans l’apparition de la maladie éclate. Cent-six malades sont recensés en décembre 1996 et plus de mille en 2001, regroupés au sein de l’association REVAHB. La presse évoque alors un nouveau scandale sanitaire, du type de l’affaire du sang contaminé.

Des sels d’aluminium sont utilisés comme adjuvants dans de nombreux vaccins. Dans quelques cas, il a été rapporté des rougeurs, des irritations allergiques et des nodules au point d’injection, mais leur sûreté est démontrée depuis 1926. En 2005, un groupe international d’experts réuni pour tenter d’établir un consensus scientifique a estimé qu’ « il n’y a pas de données permettant de conclure » que les vaccins contenant de l’aluminium constituaient une menace de santé.
La question de leur innocuité s’est posée en 2001, en France : les vaccins contenant des sels d’aluminium pourraient être à l’origine de myofasciite à macrophages, définie comme une lésion inflammatoire microscopique au point d’injection. Une synthèse des études épidémiologiques est réalisée en 2003 par l’expertise collective des trois agences françaises l’InVS, l’Afssa et l’Afssaps et détaille les effets de l’exposition à l’aluminium, en rappelant que hors vaccination, et même injecté à faible dose, « peut induire une accumulation à long terme des effets neurotoxiques ».

Le Conseil d’État a reconnu (en dernière instance de 8 affaires judiciaires) que « dans le dernier état des connaissances scientifiques, l’existence d’un lien de causalité entre une vaccination contenant un adjuvant aluminique et la combinaison de symptômes constitués notamment par une fatigue chronique, des douleurs articulaires et musculaires et des troubles cognitifs n’est pas exclue et revêt une probabilité suffisante pour que ce lien puisse, sous certaines conditions, être regardé comme établi ; que tel est le cas, lorsque la personne vaccinée, présentant des lésions musculaires de myofasciite à macrophages à l’emplacement des injections, est atteinte de tels symptômes ».

Le Gardasil est un vaccin contre le papillomavirus humain (HPV, responsable du cancer du col de l’utérus). Accueilli en 2006 comme une bonne nouvelle dans plusieurs pays, ce vaccin très utilisé aujourd’hui est une source de controverses. En effet des jeunes filles ont souffert, postérieurement à leur vaccination, de développement d’une maladie auto-immune comme la Sclérose en plaques (SEP) , mais aussi le Lupus par exemple.
Des associations luttent pour obtenir un moratoire sur le Gardasil, il s’agit notamment de Revahb qui regroupe les victimes du vaccin contre l’hépatite B, E3M qui rassemble les personnes atteintes de myofasciite à macrophages et Amalyste, une association de patients souffrant des syndromes de Lyell et de Stevens-Johnson, ainsi que « les filles et la gardasil », une association dédiée.
Fin 2014 au Kenya, l’association des médecins catholiques du Kenya a affirmé avoir trouvé un antigène, l’hormone chorionique gonadotrope humaine, qui provoquerait des fausses couches, dans un vaccin antitétanique injecté durant la campagne de vaccination soutenue par le gouvernement kényan.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Controverse_sur_la_vaccination

Vaccination de l’Afrique à la lomidine

https://www.cairn.info/journal-critique-internationale-2015-2-page-183.htm

Vaccination contre la dengue

https://pratiques.fr/Anatomie-d-un-scandale-sanitaire-Le-vaccin-Dengvaxia-R-de-Sanofi-contre-la-dengue

Le vaccin Gardasil

https://www.lexpress.fr/actualite/societe/sante/le-vaccin-gardasil-vise-par-une-plainte_1302367.html

L’opacité des contrats

https://www.lecho.be/economie-politique/europe/general/l-opacite-des-contrats-vaccinaux-est-un-scandale-absolu/10281060.html

Le scandale du vaccin H1N1

https://www.liberation.fr/france/2016/12/12/scandale-du-vaccin-contre-la-grippe-a-des-proches-d-une-victime-indemnises_1534827/

https://fr.wikipedia.org/wiki/Vaccination_contre_la_grippe_A_(H1N1)_de_2009

https://lexpansion.lexpress.fr/actualite-economique/indemnisation-des-accidents-vaccinaux-un-scandale-francais_2146050.html

Le vaccin contre la grippe porcine

https://www.24heures.ch/echaudes-les-suedois-refusent-le-vaccin-du-covid-371594447544

Scandale des vaccins en Chine

https://www.lefigaro.fr/international/2018/07/23/01003-20180723ARTFIG00169-chine-nouveau-scandale-autour-de-vaccins.php

Vaccin polio en Afrique

https://www.lnr-dz.com/2020/09/08/un-vaccin-finance-par-la-fondation-gates-serait-a-lorigine-dune-epidemie-de-polio-en-afrique/

Les producteurs de vaccins

L’Américain Johnson & Johnson (J&J) a longtemps été entaché par des scandales portant sur son talc ou encore les produits opiacés.

Astrazeneca danger

https://www.matierevolution.fr/spip.php?breve1129

Vaccins et rougeole

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article5305

Vaccins et concurrence

https://www.matierevolution.fr/spip.php?breve1124

Vaccins et aluminium

https://www.matierevolution.fr/spip.php?breve712

Vaccins et profits

Le rôle attribué aux vaccins dans la santé publique est très exagéré et faussement expliqué

https://www.matierevolution.fr/spip.php?breve1132

L’explosion des variants de covid est-elle spontanée ou provoquée par les vaccins et traitements antiviraux ?

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article6157

Hausse des épidémies et vaccinations

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article5354

Vaccins et stérilisations forcées

http://www.matierevolution.fr/spip.php?article6096

Vaccinez-vous, disent les fervents de l’industrie pharmaceutique

https://www.matierevolution.fr/spip.php?breve149

Sombres projets des vaccinateurs profiteurs

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article6152

Les labos pharmaceutiques tuent ?

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article2498

Profit capitaliste et santé publique sont incompatibles

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article3248

Portfolio

Messages

  • En étudiant un cluster survenu dans une maison de retraite du Kentucky chez des personnes vaccinées, les autorités américaines ont pu mesurer l’efficacité du vaccin Pfizer.

    Parmi les 79 résidents, 71 étaient complétement vaccinés (90 %), c’est-à-dire qu’ils avaient reçu les deux doses du vaccin Pfizer depuis au moins 14 jours.

    Au total, 44 personnes (résidents et personnel) ont été contaminés, 28 ont eu une forme symptomatique, 6 ont dû être hospitalisés, 3 sont décédés (uniquement des résidents). Quatre des 44 personnes contaminées avaient déjà été infectées une première fois.

  • Pouvez-vous être en bonne santé et mourir d’une vaccination anti-covid ?

    La réponse est oui !!!

  • Selon l’enquête menée par The People’s Vaccine Alliance auprès de 77 épidémiologistes à travers le monde, la plupart des experts croient que les mutations du virus rendront inefficaces les vaccins de première génération dans moins d’un an.

    Pire encore, le tiers des spécialistes interrogés affirment que les vaccins seront obsolètes d’ici neuf mois.

    https://www.journaldemontreal.com/2021/04/01/sous-peu-les-variants-pourraient-rendre-les-vaccins-inefficaces

  • Un très grand nombre de gens sont déjà victimes de la vaccination, notamment par maladies cardiaques, mais les media ont interdiction de le dire… Ils admettent que ce soit le cas en Israël ou aux USA ou ailleurs mais pas en France sauf… cinq personnes !!!

  • Pfizer "vaccin" non ; produit toxique certainement.
    Tous ceux qui viennent de recevoir la 2eme dose de Pfizer peuvent faire le test du collage ferromagnétique sur leur peau et voir par eux même qu ’un objet métallique contenant du fer s’aimante ou qu’un objet électronique équipé de batterie et/ou étant un émetteur-récepteur d’ondes électromagnétique (comme un téléphone portable) subit une attraction de type magnétique à quelques centimètre de la peau. Un smartphone de 300grammes reste accroché à la peau sur un bras (peu importe le site de l’injection) , 2 jours après l’injection du dit vaccin Pfizer.
    La 1er réflexion c’est pourquoi et comment est ce possible ?
    Les labo et des médecins ont révélé la présence de nanoparticules dans leur produit.
    Evidemment ce n’est pas parce que les crèmes solaires contiennent des nanoparticules , que tous les vacanciers deviennent "des attracteurs magnétiques".. ;
    Alors est ce que ces produits contiennent des nanoparticules supra paramagnétiques ?
    En tout cas , si ces nanoparticules sont attirés par des objets que nous portons sur nous comme un téléphone ...elles peuvent donc migrer partout dans le corps car le produit est véhiculé par le sang...donc si le téléphone est prêt de la tête ces nano iront essayer de s’introduire dans le cerveau.
    Quel moyen a t on de se débarasser de ces nano ? ceux qui ont une idée peuvent commencer à y réfléchir..

  • A Provincetown, dans l’Etat du Massachusetts, près de 900 cas de Covid-19 ont été dépistés après les festivités de la fête nationale du 4-Juillet, bien que les trois quarts des participants à l’évènement aient été vaccinés. Or, il n’y avait « pas de différence » dans la charge virale des personnes vaccinées ou non vaccinées, selon la présentation des CDC, ce qui semble indiquer un même degré de contagiosité quel que soit le statut vaccinal.

    https://fr.yahoo.com/news/coronavirus-documents-am%C3%A9ricains-sonnent-l-155653738.html

  • Covid-19 dans le monde : des documents américains sonnent l’alarme face au variant Delta

    Ce variant est aussi contagieux que la varicelle et les personnes infectées semblent avoir une charge virale importante dans le nez et la gorge, qu’elles soient vaccinées ou non, selon une analyse menée dans le Massachusetts.

    https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/07/31/covid-19-dans-le-monde-des-documents-americains-sonnent-l-alarme-face-au-variant-delta_6090099_3244.html

  • "C’est dur d’être vacciné par des cons…*"

    Le CRIIGEN vient de remporter l’annulation de l’autorisation de mise sur le marché du Roundup. La cour d’appel de Lyon fait application du principe de précaution. Le même CRIIGEN bouscule les certitudes concernant la vaccination COVID en France. Le doute qu’elle expose doit permettre de mettre en œuvre le même principe de précaution, au moins pour les moins de 30 ans et les femmes enceintes.

    C’est dur d’être vacciné par des cons…* * En référence à la Une de Charlie Hebdo du 28 juillet 2021 titrant « Hitler débordé par les antivax »
    et figurant Hitler à la plage dans une bouée licorne et disant « C’est dur d’être cité par des cons ! ».
    Lettre à Charlie à propos de sa fascination vaccinale
    et de ses positions réductionnistes
    vis à vis des opposants au sésame sanitaire.
    par Jean-Paul Bourdineaud • 29 juillet 2021

    "Bonjour Charlie,
    je suis abonné depuis l’attentat meurtrier de 2015, par solidarité. ...
    Je suis professeur à l’Université de Bordeaux, où j’enseigne la biochimie, la microbiologie et la
    toxicologie environnementale. Mes recherches portent sur les effets toxiques et les mécanismes de
    défense biochimiques et génétiques des organismes exposés aux polluants dans leur environnement. Les
    travaux publiés par mes collaborateurs et moi-même apparaissent sur le site ouaibe du National Center for
    Biotechnology Information (pubmed.ncbi.nlm.nih.gov), dès lors que vous tapez mon nom.
    Afin d’être le plus honnête possible, je dois te dire que je suis également membre du conseil scientifique
    du CRIIGEN (Comité de Recherche et d’Information Indépendantes sur le génie GÉNétique - criigen.org).
    Par réciprocité, il serait de bon aloi que les médecins apparaissant dans les médias voulussent bien révéler
    leurs conflits d’intérêt, et surtout que les journalistes osassent leur poser la question. Quant à moi, et
    depuis que je suis universitaire, je n’ai jamais reçu de gratifications, prébendes, émoluments ou primes d’un
    quelconque industriel ou organisme privé ; mon association au CRIIGEN est du pur bénévolat. Et non, nous
    ne sommes pas anti-vaccinalistes : écoutez par exemple mon ami Christian Vélot, président du conseil
    scientifique du CRIIGEN et maître de conférences en génétique à l’Université de Paris-Sud, lors de son
    entretien sur France Soira
    ou sa conférence censurée par Youtubeb. Nous sommes explicites quant à notre
    volonté de voir advenir un véritable vaccin, efficace, sûr, et protégeant sur la durée

    Ni obscurantistes ni complotistes
    Dans le numéro 1512 de Charlie Hebdo du 14 juillet dernier, une planche de dessins de Foolz se
    moque des médecins et infirmières non vaccinés. Bien entendu, il s’agit de caricatures dont l’essence
    même est l’exagération des traits, mais tout de même, ce que l’on retire de cette planche c’est que le
    personnel soignant non vacciné est constitué par une bande d’obscurantistes totalement déraisonnables,
    anti-scientifiques, voire sectateurs, et penchant vers l’extrême-droite (celle trumpienne, au minimum). C’est
    en substance ce que signifiait le titre d’un article de Libération du 18 juillet 2021 - à propos des manifestations
    contre le passe sanitaire - selon lequel Florian Philippot et l’extrême-droite récupérait le mécontentement
    des gueuxc
    . Ce même jour, sur le site ouaibe de Libération, Dov Alfon se montrait navré par une « certaine
    complaisance envers des sceptiques du Covid et des opposants à la science qui ont défilé ce week‑end
    dans les rues en relayant toutes les théories complotistes imaginables »d. Qu’entend donc M. Alfon par
    complaisance ? Regretterait-il que la police n’eût pas chargé les manifestants ni crevé des yeux ou arraché
    des mains ? La planche de Foolz est intitulée « Antivax à l’hôpital » et contribue également à l’amalgame.
    Ce procédé consistant à mettre dans le même sac tous les courants d’opposition au passe sanitaire est
    lamentable car méprisant les opposants sans discernement (des « gueux » selon Libération). Nous autres
    camarades du conseil scientifique du CRIIGEN, ne sommes ni anti-vaccinalistes, ni complotistes. Je ne
    sais pas bien ce que recouvre cette nouvelle injure – avant, à gauche, l’insulte de « fasciste » permettait de
    dégommer un trublion du débat, aujourd’hui c’est celle de « complotiste » - et de quel complot nous accuse-t-on (non, nous ne pensons pas que la pandémie est une invention visant à nous priver de nos libertés, si
    c’est cela que les journalistes parisiens dominants et Dov Alfon imaginent). Nous avançons des arguments
    scientifiques et recevables dès lors que la bonne foi est de rigueur. Ce qui est vrai pour nous l’est également
    pour la grande majorité des personnes s’insurgeant contre le passe sanitaire.....(lire l’article complet ici )

    c/ Pharmacovigilance. : Dans le cas du SARS-CoV-2 nous avons affaire à un traitement expérimental
    en phase III d’évaluation jusqu’au début de l’année 2023 (contrairement au mensonge du ministre Olivier
    Véran, recadré par Le Monde le lendemaink
    ). En France, la pharmacovigilance est très peu vigilante : elle
    n’enregistre que les cas les plus graves. Sans compter ce qui n’est pas recherché ou dosé : on sait que les
    vaccins – notamment ceux OGMs basés sur des adénovirus - sont causes d’un nombre faible de thromboses
    en regard du nombre de vaccinations. Des marqueurs des processus thrombotiques sont les D-dimères.
    Le dosage sanguin des D-dimères n’est réalisé que dans les cas, rares heureusement, de thromboses,
    mais le Dr Charles Hoffe (Canada) a décidé le dosage systématique de ces marqueurs chez ses patients
    ayant été vaccinés avec l’ARN de la protéine S. Sur un total de 900 individus, 62 % présentaient des taux
    anormalement élevés de D-dimèresl
    . Son interprétation est que tout le monde ne forme pas de gros caillots
    thrombotiques mais beaucoup produisent des micro-caillots s’infiltrant loin dans les capillaires et donc
    profondément dans les organes. L’urologue Diego Rubinowicz a également découvert que les niveaux de
    l’antigène PSA, un marqueur du cancer de la prostate et de l’inflammation de ce tissu, augmentaient chez
    les hommes après la vaccination avec l’ARN de la protéine Sm – ce qui signifie que la protéine S est produite
    par les cellules de la prostate et non pas seulement par les cellules musculaires au site d’injection. Cette
    dissémination du vaccin à travers l’organisme est corroborée par les déclarations du Dr Robert Malone (le
    créateur de la technologie des vaccins ARN)n
    et par un rapport confidentiel de Pfizer où la distribution du
    vaccin (nanoparticules incluant l’ARN du gène de la protéine S) dans le corps de rats mâles et femelles a été
    suivie pendant 48 h. Il apparaît que ces corpuscules biochimiques sont retrouvés dans tous les tissus sans
    exception. Après le site d’injection (le muscle gastrocnémien, situé dans le mollet), les concentrations les
    plus importantes sont retrouvées dans le foie (concentration égale à 14,7 % de celle au site d’injection), la
    rate (14 %), les glandes surrénales (11 %), les ovaires (7,5 %), et la moelle osseuse (2 %)o.
    En fermant les yeux (par refus de pratiquer les dosages correspondants) on occulte ces effets
    secondaires qui pour certains pourraient avoir des conséquences dommageables (les micro-caillots) à long
    terme. Maintenant que ces observations sont publiées pourquoi le ministère de la santé ainsi que les ARS
    ne diligentent-ils pas une grande étude à l’échelle nationale ?
    Également, la toxicité potentielle de la protéine S n’est quasiment pas étudiée. Pourtant, le SARS-CoV-2 provoque des inflammations des cellules endothéliales (celles tapissant la surface de la lumière des
    vaisseaux sanguins) ; or, une étude publiée montre que ceci est dû à la toxicité de la protéine S qui parce
    qu’elle cible la protéine ACE2 (appelée récepteur du virus de manière abusive puisque telle n’est pas sa
    fonction physiologique ; elle est bien entendu parasitée par la protéine S du virus) cause une diminution
    du niveau fonctionnel d’ACE2 qui protège le système cardio-vasculaire4
    . Dans cette étude les auteurs ont
    injecté et donc infecté des hamsters avec un pseudo-virus porteur du gène de la protéine S (par conséquent
    l’équivalent des vaccins d’AstraZeneca et de Janssen). Une hypothèse compatible avec ces résultats est
    qu’une partie de la pathogénicité du virus serait due à la toxicité de la protéine S. Le vaccin de Sanofi annoncé
    pour le début de l’année 2022 est basé sur une protéine dite recombinante, c’est à dire produite dans des
    réacteurs par des cellules puis purifiée. Sa toxicité devrait être faible si rien n’est fait pour qu’elle entre
    dans nos cellules ; restant à l’extérieur des cellules, elle devrait être repérée immédiatement par le système
    immunitaire. En revanche, incluse dans des nanoparticules de lipides, elle pourrait entrer dans nos cellules
    et y exercer sa toxicité. Cette dernière possibilité n’est pas exclue lorsqu’on lit le Pr Jean-Luc Cracowski,
    directeur du centre de pharmacovigilance du CHU de Grenoble : « La technique consiste à fabriquer ces
    protéines Spike et à les injecter dans les cellules du corps pour stimuler le système immunitaire » (article
    de Mayeul Aldebert, Le Figaro, sur son site ouaibe le 8 juillet 2021p). Cette déclaration du Pr Cracowski est
    quelque peu déroutante, voire inquiétante, et l’on espère que c’est le journaliste qui a mal retranscrit les
    propos du professeur, car le système immunitaire qu’il s’agit de stimuler est constitué en partie par certaines
    classes de globules blancs circulant à l’extérieur des cellules.
    Un autre effet indésirable qui est écarté dogmatiquement est l’intégration de l’ARN vaccinal dans
    le génome des cellules humaines après rétro-transcription en ADN. Les édiles médicaux et universitaires
    parisiens (les Pr Fisher et Kahn, par exemple) nous ont dit que c’était impossible puisque la transcription
    inverse de l’ARN en ADN nécessitait l’action d’une enzyme appelée transcriptase-inverse, et que non
    seulement le SARS-CoV-2 mais également les vaccins à ARN ne contenaient pas cette enzyme. Antonio
    Fischetti nous disait la même chose dans Charlie Hebdo (9 décembre 2020) : « Concernant le côté OGM
    de certains d’entre eux [les vaccins], les scientifiques sont formels : il n’y a aucun risque que l’ARN du
    virus affecte notre génome ». Or, il a bien été démontré l’inverse dans un article publié dans les prestigieux
    comptes-rendus de l’Académie des sciences des Etats-Unis : l’ARN du SARS-CoV-2 peut être rétro-transcrit
    par des éléments génétiques mobiles (appelés rétrotransposons) présents dans les cellules humaines et
    qui ont une activité de type transcriptase-inverse5
    . Ceci explique, et c’était l’interrogation de départ des
    auteurs, pourquoi des individus ayant été naturellement infectés par ce virus restent positifs au test PCR
    (en réalité RT-PCR) plusieurs semaines après le début de l’infection en absence de multiplication virale
    (test antigénique négatif). Chez certains individus, une partie conséquente du génome viral est intégrée
    dans le génome et contribue à la production d’ARN viral longtemps après la guérison. Si le génome viral
    peut être intégré dans nos cellules après infection, la question de l’intégration dans nos cellules de l’ARN
    vaccinal sous sa contrepartie ADN devient pertinente, selon l’adage « qui peut le plus peut le moins ». Or,
    cette hypothèse est négligée et les travaux nécessaires pour la confirmer ou l’invalider ne sont pas entrepris
    puisque le dogme est tenace selon lequel sans rétro-transcriptase virale, un tel évènement est impossible.

    On nous affiche un taux de mortalité lié à la vaccination très faible, mais enfin, sur 162 millions de
    personnes complètement vaccinées aux États-Unis on atteint à la mi-juillet 2021 plus de 12.300 morts et
    donc un taux égal à 0,0076 % (12.313 x 100/162.000.000). Ce nombre de décès était donné par le « centre
    de contrôle des maladies » (center of disease control, CDC), l’organisme de veille épidémiologique aux
    Etats-Unis jusqu’au 20 juillet 2021q. Le Mediator a provoqué moins de morts et a pourtant été interdit.

    Parmi les 12.300 personnes décédées, combien seraient-elles mortes du Covid sans vaccination ?...
    Le ministre Véran désire également la vaccination des femmes enceintes dès le premier trimestre de
    grossesser
    alors que Pfizer a prévu mais n’a pas encore démarré des essais cliniques de phase 2 et 3 pour
    évaluer « la sécurité, la tolérabilité et l’immunogénicité » de son produits
    . Comment Véran peut-il décider
    unilatéralement ce qui est bon pour les femmes enceintes et leur fœtus alors que les études visant à évaluer
    les risques pour ce public particulier n’ont pas encore abouti ?
    "

  • 29/07/2021 •Lettre à Charlie
    Comité de Recherche et d’Information Indépendantes
    "...Le caractère antidémocratique est réalisé par l’abondante, massive, et continuelle propagande dans
    les médias depuis plus d’une année, assortie d’inexactitudes et de mensonges fréquents venant du ministre
    Véran, l’attitude des députés qui ne sont plus que des godillots, la gouvernance par décret, les décisions
    prises par une poignée de personnes, voire une seule, et la prépondérance des médecins courtisans dans
    la vie publique (dont le conseil dit de sécurité), une sorte d’esculapocratie qui exerce une influence délirante
    sur notre Président de la République, et qui rappelle furieusement l’emprise de Raspoutine sur le tsar
    Nicolas II. Grandement utilisée dans les régimes autoritaires est la calomnie avec la complicité des médias
    officiellement adoubés (que deviendrait Le Monde et Libération sans la prébende publique ?) : en France
    depuis février 2020, on assiste à une relégation de toute personne critique sur la stratégie gouvernementale
    sanitaire dans les camps des complotistes et de l’extrême-droite, avec son cortège de mépris, d’insultes,
    de menaces de mort, et d’exclusion des réseaux dits « sociaux » (le CRIIGEN a été victime de censure
    sur Youtube). L’acharnement du conseil national de l’ordre des médecins sur le Pr Raoult (accusé de
    charlatanisme) et les médecins désirant prescrire librement, le sort du Pr Christian Perronne, sanctionné par
    sa hiérarchie et l’ARS parce que tout simplement il a donné son avis dans deux livres jubilatoires, tous ces
    agissements méprisables rappellent les méthodes du régime soviétique à l’encontre d’intellectuels qualifiés
    de fous et de déviants.
    En revanche, les médecins en cour élyséenne sont portés au pinacle en dépit de
    leur médiocrité - par exemple Karine Lacombe, élevée chevalière de la Légion d’honneur en 2020 par la
    Macronie satisfaite, elle qui grassement payée par l’entreprise Gilead a vanté les mérites du Remdesivir,
    commercialisé par Gilead, un redoutable néphrotoxique finalement exclu de la pharmacopée par l’OMS -,
    et cela rappelle Lyssenko, généticien lamentable mais responsable de la dévastation durant des décennies
    de l’agriculture soviétique, et qui était adulé par le régime stalinien et en reçut toutes les récompenses.
    Un exemple ? La pseudo étude scientifique (COMCOR) publiée en mars 2021, réalisée à l’Institut Pasteur
    sous la direction d’Arnaud Fontanet, a conclu que le coronavirus n’était pas transmis dans les transports
    en commun mais principalement à la maison et par les amis proches, et en moindre proportion au travail.
    En réalité, il s’agissait d’un bête sondage d’opinion où était demandé aux personnes contaminées où et par
    qui elles pensaient avoir été infectées. Pendant ce temps, l’équipe du Pr Raoult, elle, faisait vraiment de la
    science et démontrait l’origine de certaines variantes du virus dans des élevages de visons....
    L’amendement voté excluant du vote à la présidentielle les impurs sans passe sanitaire est assez suggestif
    et révélateur : il s’agit d’écarter ceux que Libération appelle les « gueux » ; la Macronie escompte bien
    qu’il ne pourront pas engager la dépense du test de virginité virale qui deviendra payant (au mépris d’une
    véritable politique de santé publique efficace, car une partie de la population échappera au diagnostic et les
    foyers infectieux se multiplieront via les asymptomatiques ignorants de leur état contagieux).

    Voilà ce que j’avais à te dire Charlie. Je suis navré que tu sombres dans la panique et qu’un virus
    t’inspire des craintes encore plus grandes que les bigots islamistes. Et puis qu’est devenu ton esprit critique,
    ta volonté de réfléchir par toi-même et de ne pas être sous l’influence de l’opinion dominante ? Tu fais
    tiennes les mesures gouvernementales y compris ce stupide et injuste passe sanitaire, et joue, tout comme
    les médias dominants, le rôle de courroie de transmission des mesures gouvernementales (tu n’es tout de
    même pas La Pravda !)

    Pourquoi n’enquêtes-tu pas sur les conflits d’intérêts flétrissant les médecins en cour et ceux du conseil
    dit de « sécurité » ? Et sur cette étrange coïncidence où l’interdiction de l’antiviral Remdesivir par l’OMS fut
    annoncée le lendemain de la signature du contrat engageant l’Union Européenne à acheter ce médicament
    à hauteur de milliards d’euros (peux-tu réellement croire que les autorités sanitaires européennes n’ont été
    averties que le lendemain alors que des médecins experts siègent à la fois à l’OMS et dans les instances
    sanitaires de l’UE ?) Et sur cette autre étrange coïncidence qu’est le classement de l’hydroxychloroquine
    (HCQ) comme substance vénéneuse par le directeur général de la santé, Jérôme Salomon, le 13 janvier
    2020, juste au début de la pandémie, alors qu’il savait bien que ce médicament venait d’être utilisé avec
    succès en Chine ? Les médias dominants nous ont alerté sur l’extrême dangerosité de ce médicament, et
    les médecins courtisans ont prétendu qu’il provoquait une cardiotoxicité chez les patients atteints du covid.
    Cette dernière allégation était délibérément mensongère et une étude ultérieure a démontré qu’il n’y avait
    pas de risques cardiaques avérés avec l’HCQ hors surdosage11. Pourquoi n’enquêtes-tu pas également sur
    la raison pour laquelle les pseudo-essais thérapeutiques de l’HCQ contre le covid ont été systématiquement
    et délibérément réalisés hors du protocole raoultien (sans combinaison d’avec l’azithromycine, à des doses
    supérieures, et administrée à des patients en réanimation alors que le Pr Raoult a toujours recommandé
    de prescrire ce traitement combiné dès qu’une personne est testée positive, de manière précoce quant au
    moment de l’infection) ?
    Tu pourrais te lancer dans ce type d’enquêtes, en somme faire ton boulot, au lieu
    de te contenter de colporter les ragots et médisances déjà publiées par Le Monde et Mediapart.

    Je reste néanmoins ton ami encore et toujours, Jean-Paul Bourdineaud."

  • Une longue enquête publiée dans le nouveau numéro laRevue XXIsur le scandale du Dengvaxia aux Philippines, 600 enfants sont morts après avoir reçu ce vaccin. Histoire d’un fiasco, avec Carol Isoux, journaliste indépendante depuis Bangkok.

    "Il y a eu beaucoup de morts dans cette histoire car beaucoup d’entre eux n’ont pas accès à des systèmes de soin en hôpital, tout cela ne serait pas arrivé si ces enfants avaient été soignés à temps. On a très rapidement vacciné 800 000 enfants.

    Le département de la justice a déterminé qu’il y avait un faisceau de preuves suffisant pour inculper les personnes accusées. On attend un procès mais cela peut prendre des années, il y a beaucoup de familles, beaucoup de gens impliqués et cela va prendre du temps.

    Pour ce genre d’enquête j’ai été financée par une bourse européenne, car aujourd’hui peu de médias ont les moyens d’investir sur de longues enquêtes. C’est aussi un sujet sensible de s’attaquer à des laboratoires pharmaceutiques. "

    Journal La-croix en 2019 : "Sanofi, pourquoi le vaccin contre la dengue vire au cauchemar
    Les Philippines ont annoncé, vendredi 1er mars, des poursuites contre six responsables de Sanofi Pasteur dans le cadre d’une enquête sur des décès d’enfants vaccinés contre la dengue. Annoncé comme très prometteur, ce vaccin pourrait provoquer des infections plus sévères chez les personnes n’ayant jamais contracté la maladie."

    les médias dominants n’ont jamais évoqué depuis février 2020, et dès lors qu’il
    s’agit de vaccination, l’affaire du Dengvaxia. Le Dengvaxia, produit par Sanofi-Pasteur, est le seul vaccin
    disponible contre la dengue. La presse avait narré cette affaire en 2019, mais est resté silencieuse à ce propos
    depuis le début de la pandémie coronavirale, alors qu’il s’agit d’un précédent décisif dans la discussion
    concernant la rapidité de mise sur le marché d’un vaccin et son utilisation en urgence sur des populations
    entières.
    Seule la revue XXI a publié un article dans son numéro 52 d’automne 2020 (« Dengvaxia, le fiasco
    d’un labo » par Carol Isoux). Le titre du dossier général était explicite : « Autopsie d’un vaccin. La course
    entre labos, au risque du scandale sanitaire ». Puis France Culture en a donné une recension (« Dengvaxia, le
    fiasco d’un labo » dans l’émission « La fabrique médiatique » de Chloë Cambrelingt
    , le 14 novembre 2020).
    En 2015, aux Philippines, sous la pression du président Benigno Aquino III alors en campagne électorale
    présidentielle, il est décidé de lancer en urgence une campagne de vaccination a destination des enfants. La
    ministre de la santé de l’époque, Janette Garin reconnaît dans l’article de XXI que : « la vaccination contre la
    dengue, c’était la priorité de mon mandat… Il était vital que la campagne de vaccination puisse être mise en
    place et annoncée avant ». Avant quoi ? Avant les élections présidentielles ! Au delà des malversations et de
    la corruption qu’a entraîné cette campagne de vaccination, 800.000 enfants ont été vaccinés et 600 enfants
    sont morts après avoir reçu le vaccin. Pourquoi ? En raison d’un mécanisme appelé « infection facilitée
    par les anticorps » au cours duquel paradoxalement, les anticorps aident le virus au lieu de l’inactiver. Ce
    mécanisme a été découvert par Scott Halstead et Edward O’Rourke6
    .
    Les enfants philippins décédés étaient « naïfs » quant au virus de la dengue au moment de la vaccination. Ils ont été infectés après vaccination et les anticorps produits contre le virus (résultat de la vaccination) ont en réalité facilité l’entrée du virus dans
    les cellules lors de l’infection naturelle subséquente. Un tel phénomène pourrait-il se produire dans le cas de
    la vaccination contre le SARS-CoV-2 ? Il est encore trop tôt pour le dire, mais ce mécanisme de facilitation
    de l’infection par l’entremise des anticorps est connu chez les coronavirus, et entre autres le SARS-CoV-1
    (syndrome respiratoire aigu sévère, 2002-2004) et le MERS-CoV (syndrome respiratoire du Moyen-Orient,
    2012), ce qui a empêché la production de vaccins durant ces deux précédentes épidémies7
    . Darrell Ricke,
    un chercheur du MIT met en garde contre cette possibilité dans le cas du SARS-CoV-28

    .
    Très clairement, les individus vaccinés par les vaccins biotechnologiques durant cette phase III d’essai sont de purs
    cobayes.

  • "C’est dur d’être vacciné par des cons…*"

    Le CRIIGEN vient de remporter l’annulation de l’autorisation de mise sur le marché du Roundup. La cour d’appel de Lyon fait application du principe de précaution. Le même CRIIGEN bouscule les certitudes concernant la vaccination COVID en France. Le doute qu’elle expose doit permettre de mettre en œuvre le même principe de précaution, au moins pour les moins de 30 ans et les femmes enceintes.

    C’est dur d’être vacciné par des cons…* * En référence à la Une de Charlie Hebdo du 28 juillet 2021 titrant « Hitler débordé par les antivax » et figurant Hitler à la plage dans une bouée licorne et disant « C’est dur d’être cité par des cons ! ». Lettre à Charlie à propos de sa fascination vaccinale et de ses positions réductionnistes vis à vis des opposants au sésame sanitaire. par Jean-Paul Bourdineaud • 29 juillet 2021

    "Bonjour Charlie, je suis abonné depuis l’attentat meurtrier de 2015, par solidarité. ... Je suis professeur à l’Université de Bordeaux, où j’enseigne la biochimie, la microbiologie et la toxicologie environnementale. Mes recherches portent sur les effets toxiques et les mécanismes de défense biochimiques et génétiques des organismes exposés aux polluants dans leur environnement. Les travaux publiés par mes collaborateurs et moi-même apparaissent sur le site ouaibe du National Center for Biotechnology Information (pubmed.ncbi.nlm.nih.gov), dès lors que vous tapez mon nom. Afin d’être le plus honnête possible, je dois te dire que je suis également membre du conseil scientifique du CRIIGEN (Comité de Recherche et d’Information Indépendantes sur le génie GÉNétique - criigen.org). Par réciprocité, il serait de bon aloi que les médecins apparaissant dans les médias voulussent bien révéler leurs conflits d’intérêt, et surtout que les journalistes osassent leur poser la question. Quant à moi, et depuis que je suis universitaire, je n’ai jamais reçu de gratifications, prébendes, émoluments ou primes d’un quelconque industriel ou organisme privé ; mon association au CRIIGEN est du pur bénévolat. Et non, nous ne sommes pas anti-vaccinalistes : écoutez par exemple mon ami Christian Vélot, président du conseil scientifique du CRIIGEN et maître de conférences en génétique à l’Université de Paris-Sud, lors de son entretien sur France Soira ou sa conférence censurée par Youtubeb. Nous sommes explicites quant à notre volonté de voir advenir un véritable vaccin, efficace, sûr, et protégeant sur la durée Ni obscurantistes ni complotistes Dans le numéro 1512 de Charlie Hebdo du 14 juillet dernier, une planche de dessins de Foolz se moque des médecins et infirmières non vaccinés. Bien entendu, il s’agit de caricatures dont l’essence même est l’exagération des traits, mais tout de même, ce que l’on retire de cette planche c’est que le personnel soignant non vacciné est constitué par une bande d’obscurantistes totalement déraisonnables, anti-scientifiques, voire sectateurs, et penchant vers l’extrême-droite (celle trumpienne, au minimum). C’est en substance ce que signifiait le titre d’un article de Libération du 18 juillet 2021 - à propos des manifestations contre le passe sanitaire - selon lequel Florian Philippot et l’extrême-droite récupérait le mécontentement des gueuxc . Ce même jour, sur le site ouaibe de Libération, Dov Alfon se montrait navré par une « certaine complaisance envers des sceptiques du Covid et des opposants à la science qui ont défilé ce week‑end dans les rues en relayant toutes les théories complotistes imaginables »d. Qu’entend donc M. Alfon par complaisance ? Regretterait-il que la police n’eût pas chargé les manifestants ni crevé des yeux ou arraché des mains ? La planche de Foolz est intitulée « Antivax à l’hôpital » et contribue également à l’amalgame. Ce procédé consistant à mettre dans le même sac tous les courants d’opposition au passe sanitaire est lamentable car méprisant les opposants sans discernement (des « gueux » selon Libération). Nous autres camarades du conseil scientifique du CRIIGEN, ne sommes ni anti-vaccinalistes, ni complotistes. Je ne sais pas bien ce que recouvre cette nouvelle injure – avant, à gauche, l’insulte de « fasciste » permettait de dégommer un trublion du débat, aujourd’hui c’est celle de « complotiste » - et de quel complot nous accuse-t-on (non, nous ne pensons pas que la pandémie est une invention visant à nous priver de nos libertés, si c’est cela que les journalistes parisiens dominants et Dov Alfon imaginent). Nous avançons des arguments scientifiques et recevables dès lors que la bonne foi est de rigueur. Ce qui est vrai pour nous l’est également pour la grande majorité des personnes s’insurgeant contre le passe sanitaire.....(lire l’article complet ici : https://criigen.org/wp-content/uploads/2021/08/2021-07-29_Lettre-a-Charlie-Hebdo-juillet-2021-02_D.pdf )

    c/ Pharmacovigilance. : Dans le cas du SARS-CoV-2 nous avons affaire à un traitement expérimental en phase III d’évaluation jusqu’au début de l’année 2023 (contrairement au mensonge du ministre Olivier Véran, recadré par Le Monde le lendemaink ). En France, la pharmacovigilance est très peu vigilante : elle n’enregistre que les cas les plus graves. Sans compter ce qui n’est pas recherché ou dosé : on sait que les vaccins – notamment ceux OGMs basés sur des adénovirus - sont causes d’un nombre faible de thromboses en regard du nombre de vaccinations. Des marqueurs des processus thrombotiques sont les D-dimères. Le dosage sanguin des D-dimères n’est réalisé que dans les cas, rares heureusement, de thromboses, mais le Dr Charles Hoffe (Canada) a décidé le dosage systématique de ces marqueurs chez ses patients ayant été vaccinés avec l’ARN de la protéine S. Sur un total de 900 individus, 62 % présentaient des taux anormalement élevés de D-dimèresl . Son interprétation est que tout le monde ne forme pas de gros caillots thrombotiques mais beaucoup produisent des micro-caillots s’infiltrant loin dans les capillaires et donc profondément dans les organes. L’urologue Diego Rubinowicz a également découvert que les niveaux de l’antigène PSA, un marqueur du cancer de la prostate et de l’inflammation de ce tissu, augmentaient chez les hommes après la vaccination avec l’ARN de la protéine Sm – ce qui signifie que la protéine S est produite par les cellules de la prostate et non pas seulement par les cellules musculaires au site d’injection. Cette dissémination du vaccin à travers l’organisme est corroborée par les déclarations du Dr Robert Malone (le créateur de la technologie des vaccins ARN)n et par un rapport confidentiel de Pfizer où la distribution du vaccin (nanoparticules incluant l’ARN du gène de la protéine S) dans le corps de rats mâles et femelles a été suivie pendant 48 h. Il apparaît que ces corpuscules biochimiques sont retrouvés dans tous les tissus sans exception. Après le site d’injection (le muscle gastrocnémien, situé dans le mollet), les concentrations les plus importantes sont retrouvées dans le foie (concentration égale à 14,7 % de celle au site d’injection), la rate (14 %), les glandes surrénales (11 %), les ovaires (7,5 %), et la moelle osseuse (2 %)o. En fermant les yeux (par refus de pratiquer les dosages correspondants) on occulte ces effets secondaires qui pour certains pourraient avoir des conséquences dommageables (les micro-caillots) à long terme. Maintenant que ces observations sont publiées pourquoi le ministère de la santé ainsi que les ARS ne diligentent-ils pas une grande étude à l’échelle nationale ? Également, la toxicité potentielle de la protéine S n’est quasiment pas étudiée. Pourtant, le SARS-CoV-2 provoque des inflammations des cellules endothéliales (celles tapissant la surface de la lumière des vaisseaux sanguins) ; or, une étude publiée montre que ceci est dû à la toxicité de la protéine S qui parce qu’elle cible la protéine ACE2 (appelée récepteur du virus de manière abusive puisque telle n’est pas sa fonction physiologique ; elle est bien entendu parasitée par la protéine S du virus) cause une diminution du niveau fonctionnel d’ACE2 qui protège le système cardio-vasculaire4 . Dans cette étude les auteurs ont injecté et donc infecté des hamsters avec un pseudo-virus porteur du gène de la protéine S (par conséquent l’équivalent des vaccins d’AstraZeneca et de Janssen). Une hypothèse compatible avec ces résultats est qu’une partie de la pathogénicité du virus serait due à la toxicité de la protéine S. Le vaccin de Sanofi annoncé pour le début de l’année 2022 est basé sur une protéine dite recombinante, c’est à dire produite dans des réacteurs par des cellules puis purifiée. Sa toxicité devrait être faible si rien n’est fait pour qu’elle entre dans nos cellules ; restant à l’extérieur des cellules, elle devrait être repérée immédiatement par le système immunitaire. En revanche, incluse dans des nanoparticules de lipides, elle pourrait entrer dans nos cellules et y exercer sa toxicité. Cette dernière possibilité n’est pas exclue lorsqu’on lit le Pr Jean-Luc Cracowski, directeur du centre de pharmacovigilance du CHU de Grenoble : « La technique consiste à fabriquer ces protéines Spike et à les injecter dans les cellules du corps pour stimuler le système immunitaire » (article de Mayeul Aldebert, Le Figaro, sur son site ouaibe le 8 juillet 2021p). Cette déclaration du Pr Cracowski est quelque peu déroutante, voire inquiétante, et l’on espère que c’est le journaliste qui a mal retranscrit les propos du professeur, car le système immunitaire qu’il s’agit de stimuler est constitué en partie par certaines classes de globules blancs circulant à l’extérieur des cellules. Un autre effet indésirable qui est écarté dogmatiquement est l’intégration de l’ARN vaccinal dans le génome des cellules humaines après rétro-transcription en ADN. Les édiles médicaux et universitaires parisiens (les Pr Fisher et Kahn, par exemple) nous ont dit que c’était impossible puisque la transcription inverse de l’ARN en ADN nécessitait l’action d’une enzyme appelée transcriptase-inverse, et que non seulement le SARS-CoV-2 mais également les vaccins à ARN ne contenaient pas cette enzyme. Antonio Fischetti nous disait la même chose dans Charlie Hebdo (9 décembre 2020) : « Concernant le côté OGM de certains d’entre eux [les vaccins], les scientifiques sont formels : il n’y a aucun risque que l’ARN du virus affecte notre génome ». Or, il a bien été démontré l’inverse dans un article publié dans les prestigieux comptes-rendus de l’Académie des sciences des Etats-Unis : l’ARN du SARS-CoV-2 peut être rétro-transcrit par des éléments génétiques mobiles (appelés rétrotransposons) présents dans les cellules humaines et qui ont une activité de type transcriptase-inverse5 . Ceci explique, et c’était l’interrogation de départ des auteurs, pourquoi des individus ayant été naturellement infectés par ce virus restent positifs au test PCR (en réalité RT-PCR) plusieurs semaines après le début de l’infection en absence de multiplication virale (test antigénique négatif). Chez certains individus, une partie conséquente du génome viral est intégrée dans le génome et contribue à la production d’ARN viral longtemps après la guérison. Si le génome viral peut être intégré dans nos cellules après infection, la question de l’intégration dans nos cellules de l’ARN vaccinal sous sa contrepartie ADN devient pertinente, selon l’adage « qui peut le plus peut le moins ». Or, cette hypothèse est négligée et les travaux nécessaires pour la confirmer ou l’invalider ne sont pas entrepris puisque le dogme est tenace selon lequel sans rétro-transcriptase virale, un tel évènement est impossible.

    On nous affiche un taux de mortalité lié à la vaccination très faible, mais enfin, sur 162 millions de personnes complètement vaccinées aux États-Unis on atteint à la mi-juillet 2021 plus de 12.300 morts et donc un taux égal à 0,0076 % (12.313 x 100/162.000.000). Ce nombre de décès était donné par le « centre de contrôle des maladies » (center of disease control, CDC), l’organisme de veille épidémiologique aux Etats-Unis jusqu’au 20 juillet 2021q. Le Mediator a provoqué moins de morts et a pourtant été interdit. Parmi les 12.300 personnes décédées, combien seraient-elles mortes du Covid sans vaccination ?... Le ministre Véran désire également la vaccination des femmes enceintes dès le premier trimestre de grossesser alors que Pfizer a prévu mais n’a pas encore démarré des essais cliniques de phase 2 et 3 pour évaluer « la sécurité, la tolérabilité et l’immunogénicité » de son produits . Comment Véran peut-il décider unilatéralement ce qui est bon pour les femmes enceintes et leur fœtus alors que les études visant à évaluer les risques pour ce public particulier n’ont pas encore abouti ? "

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