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L’Histoire des luttes de classes dans la Révolution française, vue par les historiens de la Restauration (Thierry, Guizot, Mignet, Thiers)

lundi 21 décembre 2020, par Robert Paris

L’Histoire des luttes de classes dans la Révolution française, vue par les historiens de la Restauration (Thierry, Guizot, Mignet, Thiers)

Lettre de Karl Marx à J. Weydemeyer, 5 mars 1852

Londres, le 5 mars 1852.

28, Dean Street, Soho.

Cher Weywy,

Je crains que quelque confusion ne se soit produite, parce que having misunderstood thy last letter (ayant mal compris ta dernière lettre), j’ai adressé mes deux derniers envois à " Office of the Revolution, 7 Chambers’ Street, Box 1817".

C’est ce maudit "Box 1817" qui a provoqué la confusion, car tu m’as écrit d’ajouter cet appendice à "l’ancienne adresse", sans faire la différence entre la première adresse et la seconde.

Mais j’espère que la chose se sera arrangée avant que cette lettre n’arrive, d’autant plus que la lettre de vendredi dernier contient le chapitre V, très détaillé, de mon article.

Je n’ai pu terminer cette semaine le nº 6 qui en constitue la conclusion.

Si ton journal a reparu, ce retard ne saurait être un obstacle, puisque tu es largement pourvu de copie.

Ton article contre Heinzen, qu’Engels m’a malheureusement envoyé trop tard, est très bon, à la fois grossier et subtil, et ce mélange s’impose pour une polémique digne de ce nom.

J’ai communiqué cet article à [Ernest] Jones et tu trouveras ci-joint une lettre de lui destinée à être publiée. Comme Jones écrit très mal, use d’abréviations, et que je suppose que tu n’es pas encore un out-and-out [véritable] Anglais, je t’envoie en même temps que l’original une copie de la main de ma femme et la traduction allemande ; tu dois imprimer les deux côtes à côte, l’original et la traduction.

Après la lettre de Jones tu peux encore ajouter ceci : en ce qui concerne George Julian Harney, dont Monsieur Heinzen invoque également l’autorité, il a publié notre Manifeste communiste en anglais dans son Red Republican, indiquant dans une note marginale que c’était "the most revolutionary document ever given to the world ", "le document le plus révolutionnaire qui ait jamais été donné au monde" et dans sa Democratic Review il a traduit les sages propos "exécutés " par Heinzen, c’est-à-dire mes articles sur la Révolution française parus dans la Revue der N[euen] Rh[einischen] Z[eitung] [Nouvelle Gazette rhénane] et dans un article sur Louis Blanc, il renvoie ses lecteurs à ces articles comme étant la "vraie critique" de la situation en France .

D’ailleurs en Angleterre, on n’a pas besoin de se référer seulement aux "extrémistes ".

Lorsqu’un membre du Parlement devient ministre en Angleterre, il doit se faire réélire.

Ainsi Disraeli, le nouveau ministre des Finances, Lord of the Exchequer [de l’Échiquier], écrit à ses électeurs à la date du 1er mars :

"We shall endeavour to terminate that strife of classes which, of late years, has exercised so pernicious an influence over the welfare of this kingdom".
"Nous nous efforcerons de mettre un terme à cette lutte des classes qui, ces dernières années, ont exercé une influence si pernicieuse sur le bien-être de ce royaume".

À ce propos, le Times du 02 mars remarque :

"If anything would ever divide classes in this country beyond reconciliation, and leave no chance of a just and honourable peace, it would be a tax on foreign corn."
" Si quelque chose pouvait diviser les classes de ce pays à un point tel qu’aucune réconciliation ne serait plus possible, ce serait un impôt sur le grain étranger ".

Et pour qu’un "homme de caractère", ignorant comme Heinzen, n’aille pas s’imaginer que les aristocrates sont pour, et les bourgeois contre les lois sur les grains, parce que ceux-là veulent le "monopole", ceux-ci la "liberté" – les braves gens ne connaissent d’autres antagonismes que ceux qui existent sous cette forme idéologique – il suffit de remarquer qu’au XVIIIème siècle les aristocrates anglais étaient pour la "liberté" (du commerce) et les bourgeois pour le *monopole", position identique à celle que nous trouvons actuellement en "Prusse" de la part de ces deux classes s’agissant des lois sur le blé.

La Neue Pr [eussische] Z[eitung] [Nouvelle Gazette prussienne] est le partisan du Freetrade [libre-échange] le plus acharné qui soit.

Enfin, si j’étais toi, je ferais remarquer à Mr. les démocrates en général qu’ils feraient mieux de se familiariser eux-mêmes avec la littérature bourgeoise avant de se permettre d’aboyer contre ce qui en est le contraire.

Ces messieurs devraient par exemple étudier les œuvres de Thierry, Guizot, John Wade , etc., et acquérir quelques lumières sur « l’histoire des classes » dans le passé.

Ils devraient se familiariser avec les rudiments de l’économie politique, avant de prétendre se livrer à la critique de l’économie politique.

Il suffit, par exemple, d’ouvrir le grand ouvrage de Ricardo pour, à la première page, tomber sur les lignes par lesquelles commence l’avant propos :

« The produce of the earth all that is derived from its surface by the united application of labour, machinery and capital, is divided among three classes of the community ; namely, the proprietor of the land, the owner of the stock or capital necessary for its cultivation and the labourers by whose industry it is cultivated. »

Le produit de la terre, tout le profit que l’on peut tirer de sa surface par l’application conjuguée du travail, des machines et du capital se répartit entre trois classes de la société, à savoir :

• le propriétaire du sol,

• le possesseur des capitaux qu’exige sa culture et

• les travailleurs qui, par leur industrie, cultivent ce sol.

À quel point la société bourgeoise aux États-Unis manque encore de la maturité nécessaire pour rendre la lutte des classes sensible et compréhensible, c’est ce que démontre de la plus éclatante façon C. H. Carey (de Philadelphie), le seul économiste important de l’Amérique du Nord.

Il attaque Ricardo – le représentant (interprète) classique de la bourgeoisie et l’adversaire le plus stoïque du prolétariat comme un homme dont les œuvres serviraient d’arsenal aux anarchistes, aux socialistes, et à tous les ennemis de l’ordre bourgeois.

Ce n’est pas seulement à lui, mais encore à Malthus, Mill, Say, Torrens, Wakefield, Mac Culloch, Senior, Whately, R. Jones , etc., tous ces chefs de file de la science économique en Europe, qu’il reproche de déchirer la société et de préparer la guerre civile en démontrant que les bases économiques des différentes classes sociales ne peuvent que susciter entre elles un antagonisme nécessaire et sans cesse croissant.

Il tente de les réfuter, non certes comme cet imbécile d’Heinzen, en rattachant l’existence des classes à l’existence de privilèges politiques et de monopoles, mais en voulant exposer que les conditions économiques : rente (propriété foncière), profit (capital) et salaire (travail salarié), loin d’être des conditions de la lutte et de l’antagonisme, sont bien plutôt des conditions de l’association et de l’harmonie.

Naturellement, il réussit seulement à prouver que les rapports « encore incomplètement développés » des États Unis représentent à ses yeux des « rapports normaux ».

Maintenant, en ce qui me concerne,

• Ce n’est pas à moi que revient le mérite d’avoir découvert l’existence des classes dans la société moderne, pas plus que la lutte qu’elles s’y livrent.

• Des historiens bourgeois avaient exposé bien avant moi l’évolution historique de cette lutte des classes, et des économistes bourgeois en avaient décrit l’anatomie économique.

Ce que j’ai apporté de nouveau, c’est :

• De démontrer que l’existence des classes n’est liée qu’à des phases historiques déterminées du développement de la production ;

• Que la lutte des classes mène nécessairement à la dictature du prolétariat ;

• Que cette dictature elle-¬même ne représente qu’une transition vers l’abolition de toutes les classes et vers une société sans classes.

Des sots ignorants, comme Heinzen, qui ne nient pas seulement la lutte des classes, mais l’existence même de celles ci, montrent seulement qu’en dépit de toute leur bave sanglante, de leurs glapissements qui veulent se faire passer pour des déclarations humanistes, ils tiennent les conditions sociales dans lesquelles la bourgeoisie assure sa domination, pour le résultat ultime, pour le nec plus ultra de l’histoire ; ils prouvent qu’ils ne sont que des valets de la bourgeoisie, servitude d’autant plus répugnante que ces crétins comprennent moins la grandeur et la nécessité passagère de ce régime bourgeois lui-même.

Prends dans les commentaires ci-dessus, ce qui te paraît bon. À part cela, Heinzen nous a emprunté la " centralisation " à la place de sa "république fédérative ", etc.

Quand les points de vue sur les classes sociales que nous répandons actuellement auront été vulgarisés et seront devenus des éléments du " sens commun", ce butor les proclamera à grand bruit comme étant le dernier produit de sa "propre sagacité " et aboiera contre nos développements qui auront alors dépassé ce stade.

C’est ainsi que sa "propre sagacité" l’a fait aboyer contre la philosophie hégélienne, aussi longtemps qu’elle était progressiste. Maintenant il se nourrit de ses reliefs fades que Ruge a recrachés avant de les avoir digérés.

Tu trouveras ci-joint la fin de la correspondance hongroise. Tu dois d’autant plus essayer d’en publier un extrait – si ton journal existe – que Szemere, l’ancien président du Conseil de Hongrie, m’a promis de Paris de rédiger pour toi un article détaillé signé de son propre nom.

Si ton journal a vu le jour, envoie-moi davantage d’exemplaires afin qu’on puisse mieux le diffuser.

Ton K. MARX.

Mes meilleurs souvenirs à toi et ta femme de la part de tous les amis d’ici et de ma femme en particulier.

À propos. Je te fais parvenir les Notes et quelques exemplaires de mon discours aux Assises (ces derniers pour Cluss, à qui je les ai promis) par l’ex-montagnard Hochstuhl (Alsacien).

Rien à tirer de ce bougre.

PS : Ci-joint les statuts :

Je te conseille de les ordonner de façon plus logique.

Londres a été désigné comme centre directeur pour les États-Unis. Jusqu’à présent nous ne pouvions qu’exercer nos pouvoirs in partibus.
Si ce n’est pas encore fait, ne publie pas la déclaration de Hirsch. Ce n’est pas un type propre, bien qu’il ait raison contre Schapper et Willich.

Lénine dans son article "Karl Marx" :

« Depuis la grande Révolution française, l’histoire européenne a, dans nombre de pays, mis particulièrement en évidence ce soubassement réel des événements : la lutte des classes. Et déjà l’époque de la Restauration en France a produit plusieurs historiens, Thierry, Guizot, Mignet, Thiers, qui, tirant les conclusions générales de ce qui avait lieu, ont été contraints de reconnaître que la lutte des classes était la clef permettant de comprendre toute l’histoire française. »

François Guizot dans « Première lettre sur l’histoire de France » :

« Je ne voulais, que résumer l’histoire politique de la France. La lutte des classes remplit ou plutôt fait toute cette histoire (sic !). On savait et on disait cela bien des siècles avant la révolution. On le savait et on le disait en 1789, on le savait et on le disait il y a trois mois. Bien qu’on m’accuse maintenant pour l’avoir dit, je ne pense que personne l’ait oublié. (…) ce n’est point là une théorie, ni une hypothèse ; c’est le fait lui-même dans toute sa simplicité. (…) Loin qu’il y ait quelque mérite à le voir, il est presque ridicule de le contester. »

François Guizot dans "Histoire générale de la civilisation en Europe" :

« Certes, Messieurs, il faut qu’entre le douzième et le dix-huitième siècle il se soit passé bien des choses, bien des événements extraordinaires, qu’il se soit accompli bien des révolutions pour amener dans l’existence d’une classe sociale un changement si immense. »

François Guizot dans « Discours sur l’histoire de la révolution d’Angleterre » :

« La révolution anglaise vint des changements survenus dans l’état social et les mœurs du peuple anglais. »

François Guizot dans « Essais sur l’histoire de France » :

« C’est à travers l’étude des institutions politiques que la plupart des écrivains, savants, historiens ou publicistes ont cherché à connaître l’état de la société, le degré ou le type de sa civilisation. Il aurait été plus sage de commencer par la société elle-même pour connaître et comprendre ses institutions politiques. Avant de devenir une cause, les institutions sont un effet ; la société les produit avant d’être modifiée par eux ; au lieu de s’enquérir des systèmes ou des formes de gouvernement pour savoir quelle a été la condition du peuple, il faut avant tout examiner la condition du peuple afin de savoir ce que son gouvernement devrait ou pourrait être ... La société, sa composition, le mode de vie des individus selon leur rang social, et les relations entre diverses classes d’individus, bref, l’état des personnes telle est assurément la première question qui retient l’attention de l’historien qui souhaite pour être témoin de la vie des peuples et du publiciste qui souhaite apprendre comment ils sont gouvernés. »

François Guizot dans « Du Gouvernement de la France depuis la Restauration et du ministère actuel » :

« Pendant plus de treize siècles, la France contenait deux peuples : les conquérants et les vaincus. Pendant plus de treize siècles, les vaincus se sont battus pour se débarrasser du joug de leurs conquérants. Notre histoire fait partie de cette lutte. À notre époque, une bataille décisive a eu lieu. La bataille s’appelle la révolution. »

François Guizot en 1820 à propos de la révolution, produit de la lutte des classes :

« Cela était connu et dit plusieurs siècles avant la Révolution ; il était connu et dit en 1789 ; c’était connu et dit il y a trois mois. Bien que je sois maintenant accusé de l’avoir dit, je ne pense pas que quiconque l’ait oublié. Les faits ne s’évanouissent pas à la douce volonté ou pour la commodité éphémère des ministères et des partis ... Que diraient les courageux bourgeois envoyés aux États généraux pour gagner ou pour défendre les droits de leur ordre s’ils ne ressusciteraient d’entre les morts que pour apprendre que la noblesse n’a jamais fait la guerre au tiers état, ne s’est jamais alarmée de l’émergence de ce dernier ni indignée de sa croissance, et n’a jamais été constamment opposée à ses progrès dans la société et le pouvoir ? ... descendants effacés d’une race qui dominait un grand pays et faisait trembler de grands rois, vous avez renié vos ancêtres et votre histoire ! Conscient de votre chute, vous protestez contre votre splendeur passée ! »

François Mignet dans « De la féodalité, des institutions de Saint Louis et de l’influence de la législation de ce prince » :

« Les intérêts les plus nombreux et les plus forts dictent les lois et atteignent leurs objectifs. Les intérêts dominants déterminent le mouvement social. Ce mouvement atteint son but malgré divers obstacles ; il s’arrête pour atteindre ce but et cède la place à un autre mouvement qui est imperceptible au départ et ne se fait connaître que lorsqu’il devient prédominant. Tel était le développement de la féodalité, qui existait dans les besoins humains avant de devenir un fait - la première époque ; à la seconde époque, elle existait en fait, en cessant de correspondre aux besoins, et c’est cette dernière circonstance qui mit fin à son existence actuelle. Aucune révolution n’a encore eu lieu d’une autre manière. »

François Mignet dans « Histoire de la Révolution française » :

« Les classes aristocratiques avaient des intérêts opposés à ceux du parti national. C’est pourquoi la noblesse et le haut clergé, qui siégeaient à droite, étaient en opposition constante avec ce parti, sauf pendant plusieurs jours d’enthousiasme universel. »

Augustin Thierry dans Première lettre sur l’histoire de France publiée dans le Courrier français du 13 juillet 1820 :

« La question se pose, comme elle se posait avant, entre l’égalité et le privilège, entre la classe moyenne et l’aristocratie. Aucune paix n’est possible entre elles. Les concilier est un dessein chimérique. Les rajuster ensemble ne le serait guère moins »

Augustin Thierry dans « Dix ans d’études historiques » :

« Qui d’entre nous n’a pas entendu parler d’une classe de personnes qui, à une époque où les barbares envahissaient l’Europe, préservaient les arts industriels et les compétences pour l’humanité ? Insultés et pillés quotidiennement par leurs vainqueurs et leurs maîtres, ils vivaient dans la misère, ne recevant pour leurs travaux que la conscience de faire le bien et de préserver la civilisation pour leurs enfants et le monde. Ces sauveurs de nos arts étaient nos pères : nous sommes les fils de ces serfs, de ces affluents, de ces bourgeois que les conquérants s’attaquaient sans pitié ; c’est à eux que nous devons tout ce que nous sommes ... Mais nous, les esclaves libérés d’hier, n’avons si longtemps conservé dans nos mémoires que les familles et les actions de nos maîtres ; il y a seulement trente ans, nous nous sommes dit que nos pères étaient la nation. Nous admirions et étudions tout sauf ce qu’ils étaient et ce qu’ils faisaient. Nous sommes des patriotes et avons commis dans l’oubli tous ceux qui, pendant quatorze siècles, ont labouré le sol de notre patrie si souvent dévastée par d’autres mains. »

Augustin Thierry dans »Lettre sur l’histoire de France » :

« Les progrès des masses populaires vers la liberté et la prospérité nous semblent bien plus impressionnants que les campagnes de conquérants ; les malheurs du peuple sont plus émouvants que ceux des rois dépossédés. Si l’on pouvait trouver une plume capable de le décrire, les Français apprendraient que leurs villes pourraient être fières d’autre chose que le séjour d’un grand seigneur ou le passage d’un souverain ; et qu’il n’est pas vrai que, pendant des siècles entiers, toute leur vie politique ait consisté à fournir des archers à l’armée et à payer le tallage deux fois par an. »

François Guizot

Histoire générale de la civilisation en Europe depuis la chute de l’empire romain jusqu’à la Révolution française

Mémoires pour servir à l’histoire de mon temps. Tome premier

Mémoires pour servir à l’histoire de mon temps. Tome deux

La suite

Augustin Thierry

Essai sur la formation et les progrès du Tiers Etat

Considérations sur l’histoire de France

Nouvelles lettres sur l’histoire de France

Oeuvres de Thierry

Histoire de la conquête de l’Angleterre par les Normands tome un

Histoire de la conquête de l’Angleterre par les Normands tome deux

François-Auguste Mignet

Histoire de la révolution française

De la féodalité

Travaux historiques de Mignet

Œuvres de Mignet

Mignet, historien de la revolution française

Adolphe Thiers

Histoire de la révolution française, tome 1

Histoire de la révolution française, tome 2

Histoire de la révolution française, tome 3

Histoire de la révolution française, tome 4

Histoire de la révolution française, tome 5

Histoire de la révolution française, tome 6

Du communisme

De la Restauration et de ses historiens

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Les historiens de la Restauration et le « matérialisme historique »

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