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A bas le culte du travail !!!

vendredi 18 août 2017, par Robert Paris

« Le travail, c’est la santé... Mais à quoi sert alors la médecine du travail ? »

Pierre Dac

A bas le culte du travail !!!

Plus la société bourgeoise s’est révélée incapable d’offrir un emploi à un nombre croissant de personnes, les réduisant au chômage ou à la précarité, régulièrement ou en permanence, plus les classes possédantes ont remplacé l’emploi par un discours moralisateur du « le travail », affirmant vouloir défendre « la valeur-travail », ce qui n’est bien évidemment pas identique à défendre les travailleurs, on l’aura compris ! Cela signifie plutôt une dénonciation des chômeurs et des travailleurs, soi-disant pas assez attachés « au travail » et trop attachés à l’emploi, au salaire, aux conditions de travail, aux droits syndicaux ou sociaux, trop grévistes, prétendûment trop corporatistes et patati et patata.

Bien des réformistes nous affirment que c’est le travail qui unirait les travailleurs. Marx a affirmé tout le contraire :

« Les individus ne constituent une classe que pour autant qu’ils ont à soutenir une lutte commune contre une autre classe ; pour le reste, ils s’affrontent en ennemis dans la concurrence. »

L’Idéologie allemande, Karl Marx

« L’économie politique nous enseigne jusqu’à maintenant que le travail est la source de toute richesse et la mesure de toutes les valeurs, de telle façon que deux objets dont la production a coûté le même temps de travail ont aussi la même valeur et que des valeurs égales étant généralement seules échangeables entre elles, ils doivent aussi être nécessairement échangés les uns contre les autres.
Mais elle enseigne en même temps qu’il existe une espèce de travail emmagasiné qu’elle appelle capital ; que ce capital, grâce aux ressources qu’il renferme, multiplie par cent et par mille la productivité du travail vivant et réclame pour cela une certaine compensation qu’on appelle profit ou bénéfice.
Comme nous le savons tous, les choses se présentent en réalité de la façon suivante : les profits du travail mort, accumulé, constituent une masse de plus en plus grande, les capitaux des capitalistes prennent des proportions de plus en plus colossales, alors que le salaire du travail vivant devient de plus en plus infime, et la masse des ouvriers vivant uniquement de salaire, de plus en plus nombreuse et de plus en plus pauvre. Comment résoudre cette contradiction ?
Comment peut-il rester un profit aux capitalistes si l’ouvrier reçoit la valeur entière du travail qu’il ajoute à son produit ? Et pourtant, puisque seules des valeurs égales sont échangeables, il devrait bien en être ainsi.
D’autre part, comment des valeurs égales peuvent-elles être échangées, comment l’ouvrier peut-il recevoir la valeur entière de son produit, si, comme il est concédé par beaucoup d’économistes, ce produit est partagé entre lui et les capitalistes ? L’économie reste jusqu’ici perplexe devant cette contradiction, écrit ou balbutie des formules embarrassées et vides.
Même les critiques socialistes de 1’économie n’ont pas été capables jusqu’ici de faire autre chose que de souligner cette contradiction ; aucun ne l’a résolue jusqu’au moment où, enfin, Marx, poursuivant le processus de la formation de ce profit jusqu’à son lieu de naissance, a fait sur le tout la pleine lumière.
Dans le développement du capital, Marx part du fait simple et notoire que les capitalistes font valoir leur capital au moyen de 1’échange ; ils achètent de la marchandise pour de l’argent et la revendent ensuite pour une somme plus élevée qu’elle ne leur a coûté. Un capitaliste achète, par exemple, du coton pour 1000 francs et le revend pour 1100 francs, gagnant ainsi 100 francs. C’est cet excédent de 100 francs sur le capital initial que Marx appelle plus-value.
D’où provient cette plus-value ? D’aprés l’hypothèse des économistes, seules des valeurs égales sont échangeables, et, dans le domaine de la théorie abstraite, la chose est juste aussi. L’achat du coton et sa revente ne peuvent donc pas plus fournir de plus-value que 1’échange d’un kilo d’argent contre une somme et un nouvel échange de cette monnaie de compte contre le kilo d’argent, opération où on ne s’enrichit ni ne s’appauvrit. Mais la plus-value ne peut pas non plus provenir du fait que les vendeurs vendent les marchandises au-dessus de leur valeur, ou que les acheteurs les achètent au-dessous de leur valeur, car chacun d’eux à son tour étant tantôt acheteur, tantôt vendeur, il y a , par conséquent, compensation.
Cela ne peut pas non plus provenir du fait que les acheteurs et les vendeurs renchérissent les uns sur les autres, car cela ne produirait pas de nouvelle valeur ou plus-value, mais ne ferait, au contraire, que répartir autrement le capital existant entre les capitalistes.
Or, bien que le capitaliste achète et revende les marchandises à leur valeur, il en tire plus de valeur qu’il n’y en a mis. Comment cela se produit-il ?
Dans les conditions sociales actuelles, le capitaliste trouve sur le marché une marchandise qui a cette propriété particulière que sa consommation est une source de nouvelle valeur, crée une nouvelle valeur, et cette marchandise, c’est la force de travail.
Qu’est-ce que la valeur de la force de travail ? La valeur de chaque marchandise est mesurée par le travail qu’exige sa production. La force de travail existe sous la forme de l’ouvrier vivant qui a besoin, pour vivre, ainsi que pour entretenir sa famille qui assure la persistance de la force de travail après sa mort, d’une somme déterminée de moyens de subsistance. C’est donc le temps de travail nécessaire à la production de ces moyens de subsistence qui représente la valeur de la force de travail. Le capitaliste paye l’ouvrier par semaine et achète ainsi l’emploi de son travail pour une semaine. Messieurs les économistes seront jusque-là assez d’accord avec nous sur la valeur de la force de travail.
A ce moment, le capitaliste met son ouvrier au travail. Dans un temps déterminé, l’ouvrier aura livré autant de travail que son salaire hebdomadaire en représentait. A supposer que le salaire hebdomadaire d’un ouvrier représente trois journées de travail, l’ouvrier qui commence le lundi a rendu au capitaliste le mercredi soir la valeur entière du salaire payé.
Mais cesse-t-il ensuite de travailler ? Pas du tout. Le capitaliste a acheté son travail pour une semaine, et il faut que l’ouvrier travaille encore les trois derniers jours de la semaine. Ce sur-travail de l’ouvrier au-dela du temps nécessaire pour rendre son salaire, est la source de la plus-value, du profit, du grossissement toujours croissant du capital.
Qu’on ne dise pas que c’est une supposition gratuite d’affirmer que l’ouvrier fait sortir en trois jours le salaire qu’il a reçu et que les trois autres jours il travaille pour le capitaliste. Qu’il ait besoin de juste trois jours pour rendre son salaire ou de deux, ou de quatre, c’est d’ailleurs ici une chose tout à fait indifférente et qui ne fait que changer selon les circonstances ; mais la chose principale, c’est que le capitaliste, à côté du travail qu’il paye, obtient encore du travail qu’il ne paye pas, et il n’y a pas là de supposition arbitraire, car le jour où le capitaliste ne recevrait continuellement de l’ouvrier qu’autant de travail qu’il lui en paye en salaire, ce jour-là, il fermerait son atelier car tout son profit s’envolerait.
Et voilà que nous avons résolu toutes ces contradictions. La formation de la plus-value (dont le profit du capitaliste constitue une partie importante) est maintenant tout à fait claire et naturelle. La valeur de la force de travail est payée, mais cette valeur est de beaucoup moindre que celle que le capitaliste sait tirer de la force de travail, et la différence, le travail non payé, constitue précisément la part du capitaliste, ou plus exactement, de la classe capitaliste.
Car même le profit que, dans l’exemple cité plus haut, le marchand de coton a tiré de son coton, doit nécessairement consister en travail non payé si les prix du coton n’ont pas augmenté. Il faut que le marchand ait vendu à un fabricant de cotonnades qui, outre ces cent thalers, puisse tirer encore un bénéfice pour soi de sa fabrication et qui partage avec lui le travail non payé qu’il a par conséquent empoché.
C’est ce travail non payé qui, en général, entretient tous les membres de la société ne travaillant pas. C’est avec lui qu’on paye les impôts d’Etat et des communes dans la mesure où ils atteignent la classe capitaliste, les rentes foncières des propriétaires terriens etc. C’est sur lui que repose tout l’état social existant.
D’autre part, il serait ridicule de supposer que le travail non payé ne s’est formé que dans les conditions actuelles, où la production est faite d’un côté par des capitalistes et de l’autre par des salariés. Loin de là, de tout temps la classe opprimée a dû faire du travail non payé. Pendant toute la longue période où l’esclavage fut la forme dominante de l’organisation du travail, les esclaves ont été obligés de travailler beaucoup plus qu’on ne leur donnait sous forme de moyens de subsistance. Sous la domination du servage et jusqu’à l’abolition de la corvée paysanne, il en fut de même ; et là apparaît même, de façon tangible, la différence entre le temps où le paysan travaille pour sa propre subsistance et celui où il fait du surtravail pour le seigneur, parce que ces deux formes de travail s’accomplissent de façon séparée. La forme est maintenant différente, mais la chose est restée, et tant qu’ "une partie de la société possède le monopole des moyens de production, le travailleur, libre ou non, est forcé d’ajouter au temps de travail nécessaire à son propre entretien un surplus destiné à produire la subsistance du possesseur des moyens de production". »

Marx, Le Capital, Tome 1

source Engels

Plus les classes dirigeantes prétendent qu’elles ont le « culte du travail », l’ « idéologie du travail », « la sociologie du travail » au cœur, plus les travailleurs, eux, sont décriés, dénoncés, présentés comme des profiteurs, comme des destructeurs du travail, les jeunes comme des incapables de travail et les chômeurs comme des refuseurs de travail. Le dirigeant du MEDEF, Gattaz, affirme que « le salaire mérite un travail », sous-entend que les travailleurs sont payés à ne rien faire sinon à faire grève, à partir en RTT, en vacances, en repos, à attaquer leur patron en prud’hommes, à nuire à l’entreprise, à travailler mal, avec mauvaise volonté, à revendiquer bien sûr, et autres joyeusetés. Et ne parlons pas des petites phrases perfides selon lesquelles les fonctionnaires ne travaillent pas, voir les infirmières, les postiers, les éboueurs et les cheminots, épuisés par une charge de travail de plus en plus importante !

Dans la réalité, c’est le capital qui se détourne de plus en plus d’investir dans le travail productif, que ce soit le capital des banques ou des trusts, au point que l’essentiel des capitaux publics, des Etats et des banques centrales, sert en « incitations à l’investissement », de même que l’essentiel des lois sur le travail. Le prétexte est que le travail serait trop coûteux pour le capital. D’un côté on encense le travail, de l’autre on le fait payer !

Le culte du travail est à la base de la morale sociale ambiante. Le café du commerce regorge de remarques selon lesquelles « les gens ne veulent plus travailler », « le travail, c’est ce qu’il y a de meilleur pour la santé », « une société sans travail est une société fichue », « les jeunes ne veulent plus travailler », « de mon temps, les gens savaient ce que travailler veut dire » et autres balivernes… Comme si les millions de chômeurs ne souhaitaient pas trouver un travail ! Comme si ceux qui ont un travail ne croulaient pas, pour la plupart, sous une charge de travail folle, cause de stress, de maladies, d’accidents, de suicides, etc… Comme si ce n’est pas la politique d’encouragement aux suppressions d’emplois privés et publics, par la suppression des limitations légales notamment, par la casse et le détournement des luttes aussi, ainsi que de précarisation des emplois qui provoquait l’augmentation du chômage…

« Le Travail » serait une espèce de richesse de la société dont les travailleurs seraient les profiteurs, ben voyons !!!

Et on voit non seulement les dirigeants patronaux, les hommes politiques de la bourgeoisie, les média, les commentateurs, les experts, les sociologues, mais aussi les dirigeants syndicaux, les politiciens, les associations se joindre à cette propagande…

Les centrales syndicales affirment que « défendre le travail », « défendre l’entreprise », « défendre le secteur d’activité », « défendre l’économie », « défendre le secteur d’activité » ce serait la même chose que défendre les intérêts matériels, immédiats et futurs, des travailleurs !

Certains vont jusqu’à faire croire que Karl Marx était un « défenseur du travail » au sens d’un défenseur de l’idée selon laquelle ce serait « le travail qui libère », « le travail qui honore », « le travail qui valorise », « le travail qui crée la richesse », « le travail qui glorifie l’homme », « le travail qui moralise la société », « le travail qui produit l’homme »… En somme, c’est l’idée que le travailleur et l’exploiteur seraient tous deux du même côté : celui de la valorisation du travail !

En réalité, Marx affirmait que le Travail est en lutte avec le Capital, l’idée de la lutte des classes, dans un sens complètement inverse que le précédent, au sens où le travail industriel a séparé complètement le travailleur de son travail, dont il n’est plus propriétaire, plus dirigeant, plus le responsable, plus le concepteur, plus le profiteur, etc.

Le discours sur le travail permet aux réformistes de prétendre réconcilier la bourgeoisie et le prolétariat mais la réalité sociale nous dit exactement le contraire et la dernière « crise » du capitalisme, celle de 2007-2008, est la manifestation du gouffre qui sépare désormais le Capital et le Travail, les deux classes sociales déterminantes de la société ! Loin de se fonder désormais sur le travail, le Capital ne vit plus qu’en assisté des fonds publics !!!

Rappelons que Karl Marx affirmait que le Capital n’exploite pas « la richesse du travail » mais exploite la force de travail, ce qui est très différent : le travail ne s’achète pas, ne se vend pas. Il n’y a pas de « valeur du travail » mais une valeur de la force de travail. Il n’y a pas de profit fondé sur le travail, mais sur le vol de la force de travail…

Pourquoi parler, plutôt que de valeur du travail, de valeur de la force de travail

Rétablissons ce que disait Marx du travail :

« Le processus de travail est devenu simple moyen de valorisation et d’auto-valorisation du capital, simple moyen de production de la plus-value… »

Karl Marx, Un chapitre inédit du Capital

« Le domaine de la liberté commence là où cesse le travail. »

Karl Marx

« Le travail lui-même est nuisible et funeste non seulement dans les conditions présentes, mais en général, dans la mesure où son but est le simple accroissement de la richesse. »

Manuscrits de 1844 de Karl Marx

« Le travail ne produit pas que des marchandises ; il se produit lui-même et produit l’ouvrier en tant que marchandise, et cela dans la mesure où il produit des marchandises en général. »

Manuscrits de 1844. de Karl Marx

« Le travail salarié apparaît comme la négation de la fixité du travail et de sa rémunération. »

Fondements de la critique de l’économie politique (1857-1858) de Karl Marx

« Les ouvriers... doivent inscrire sur leur drapeau le mot d’ordre révolutionnaire : « Abolition du salariat », qui est leur objectif final. »

Salaire, prix et profit, rapport de 1865 à l’Internationale. Karl Marx

« Le capital est semblable au vampire, ne s’anime qu’en suçant le travail vivant et sa vie est d’autant plus allègre qu’il en pompe davantage. »

Le Capital (1867) de Karl Marx

« L’homme est rendu étranger au produit de son travail… »

Karl Marx

Pourquoi il n’est pas juste de parler de « valeur du travail »

« Une fois accomplie, la séparation entre le travailleur et ses moyens de travail va subsister et se poursuivre à une échelle toujours croissante, jusqu’à ce qu’une révolution nouvelle, bouleversant de fond en comble le système de production, vienne la renverser et restaurer l’unité primitive sous une forme historique nouvelle.

Qu’est-ce donc que la valeur de la force de travail ?
Exactement comme celle de toute autre marchandise, sa valeur est déterminée par la quantité de travail nécessaire à sa production. La force de travail d’un homme ne consiste que dans son individualité vivante. Pour pouvoir se développer et entretenir sa vie, il faut qu’il consomme une quantité déterminée de moyens de subsistance. Mais l’individu, comme la machine, s’use, et il faut le remplacer par un autre. Outre la quantité d’objets de nécessité courante dont il a besoin pour sa propre subsistance, il lui faut une autre quantité de ces mêmes denrées de première nécessité pour élever un certain nombre d’enfants qui puissent le remplacer sur le marché du travail et y perpétuer la race des travailleurs. De plus, pour le développement de sa force de travail et l’acquisition d’une certaine habileté, il faut qu’il dépense encore une nouvelle somme de valeurs. Pour notre objet, il nous suffira de considérer le travail moyen dont les frais de formation et de perfectionnement sont des grandeurs infimes. Mais je n’en veux pas moins profiter de l’occasion pour constater que les frais de production des forces de travail de qualités diverses diffèrent exactement de la même façon que les valeurs des forces de travail employées dans les diverses industries. La revendication de l’égalité des salaires repose par conséquent sur une erreur, sur un désir insensé qui ne sera jamais satisfait. Elle a sa source dans ce radicalisme faux et superficiel qui accepte les prémisses et cherche à se dérober aux conclusions. Sous le régime du salariat, la valeur de la force de travail se détermine comme celle de toute autre marchandise. Et comme les différentes sortes de travail ont des valeurs différentes, c’est-à-dire nécessitent pour leur production des quantités de travail différentes, elles doivent nécessairement avoir des prix différents sur le marché du travail. Réclamer une rémunération égale ou même équitable sous le régime du salariat équivaut à réclamer la liberté sous le régime de l’esclavage. Ce que vous considérez comme juste et équitable n’entre donc pas en ligne de compte. La question qui se pose est la suivante : Qu’est-ce qui est nécessaire et inévitable au sein d’un système de production donné ?
Après ce que nous avons dit, on voit que la valeur de la force de travail est déterminée par la valeur des objets de première nécessité, indispensables pour produire, développer, conserver et perpétuer la force de travail. »

Marx, « Salaire, prix et profit »

« L’aiguillon le plus puissant, le grand ressort de la production capitaliste, c’est la nécessité de faire valoir le capital ; son but déterminant c’est la plus grande extraction possible de plus-value, ou ce qui revient au même, la plus grande exploitation possible de la force de travail. »

Marx [1867], Le Capital, livre I, section 4, chap.XIII

Le culte du travail

Que disent les révoltuionnaire du travail

Fin du blabla moralisateur sur le travail

Concluons avec Karl Marx dans le Capital :

« Pour se défendre contre « le serpent de leurs tourments » (paroles d’Henri Heine sur les exploités), il faut que les ouvriers ne fassent plus qu’une tête et qu’un cœur ; que par un grand effort collectif, par une pression de classe, ils dressent une barrière infranchissable, un obstacle social qui leur interdise de se vendre au capital par « contrat libre », eux et leur progéniture, jusqu’à l’esclavage et la mort. »

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