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Faut-il croire au surnaturel ?

jeudi 16 février 2017, par Robert Paris

Faut-il croire au surnaturel ?

De temps à autre, nous recevons un témoignage d’un lecteur qui veut nous faire part d’une expérience personnelle qu’il estime probante sur la réalité d’un monde qui dépasse la nature, qui n’est pas du domaine du rationnel ou qui suppose l’existence des esprits. L’auteur de cet article ne croit guère aux prétendues « preuves » d’événements surnaturels, de miracles, de voix de l’au-delà, de paroles de dieu ou du diable, de manifestations qui ne s’expliqueraient pas par les lois de la nature. Mais on ne trouvera cependant pas non plus dans cet article de « preuve » de la non-existence du surnaturel pour la simple raison qu’on ne pourra jamais « démontrer » qu’un animal à cinq pattes n’existe pas, que dieu n’existe pas, que le diable n’existe pas ou que le monde surnaturel n’existe pas. Cela ne prouve pas que le surnaturel existe !!!

Bien des gens confondent le surnaturel avec l’étonnant, ce qui est contraire au sens commun et ils ont tort car l’essentiel des lois de la matière, reconnues et assez bien expliquées par les sciences physiques, est tout à fait contraire au bon sens et très très étonnante. Il est extrêmement étonnant qu’une matière immobile sur laquelle personne n’agit détienne une énergie folle qui vaut sa masse multipliée par la vitesse de la lumière et à nouveau par la vitesse de la lumière (un nombre énorme !) et tout cela sans que cette énergie contenue par la matière n’en sorte le plus souvent !!! Pas étonnant ça !!! C’est pourtant la loi la plus connue d’Einstein : E=mc² !!!

Inutile de rappeler que les lois de la physique quantique sont tout à fait contraires au bon sens ! Il est apparemment absurde qu’une particule, émise par une source et qui passe dans l’une ou l’autre de deux fentes rapprochées, passe en fait plus ou moins par les deux pour interférer ensuite derrière les fentes !!! Il est apparemment absurde qu’une particule qui se déplace n’existe que de manière intermittente, n’a pas de trajectoire continue, n’a pas de vitesse instantanée et de position instantanée en tout point de son trajet ! Il est apparemment absurde que deux particule qui ont interagit entre elles et n’ont pas interagit avec d’autres systèmes continuent de se comporter comme si elles restaient en contact alors qu’elles s’éloignent sans cesse l’une de l’autre ! De l’action à distance à une vitesse plus grande que la lumière, voilà la loi d’intrication !

Et ce n’est pas surnaturel au sens que ce sont des lois de la matière et pas contraire aux lois de la matière ni en dehors d’elles !

Ce ne sont que quelques exemples et je pourrais noircir des pages et des pages sans avoir fini de rapporter tous les paradoxes, toutes les lois de la matière qui sont contraires au bon sens, qui sont étonnantes et même renversantes, sans pour autant nécessiter de faire appel à la notion de « surnaturel » !!!

Mieux même, les propriétés du vide quantique nous amènent à concevoir des créations et des annihilations de matière. La lumière ou le vide peuvent se transformer en matière et la matière en lumière ou en vide, sans qu’il y ait le moindre miracle là-dedans, des créations et des disparitions sans créationnisme, sans intervention ni divine ni diabolique, sans fantôme et sans esprits frappeurs !!!!

En tout cas, j’espère avoir montré que le caractère étonnant d’un phénomène physique n’est pas une preuve de l’existence du surnaturel.

Un très grand nombre de phénomènes physiques apparaissent peu vraisemblables ou invraisemblables mais ils sont vrais, leur rationalité est difficile à concevoir mais cela n’en fait pas des faits non naturels. Ils peuvent être reproduits, n’ont rien d’extérieurs à la nature et à son fonctionnement. C’est seulement que ce fonctionnement est difficile à comprendre et à décrire rationnellement.

Il en va de même des événements psychiques étonnants. En effet, la psychanalyse, la psychologie et la psychiatrie ont étudié scientifiquement des événements « psy » qui semblent étonnants, et même incompréhensibles et irrationnels, et ne se sont nullement révélés surnaturels.

C’est seulement que la relation corps/cerveau est étonnante (et parfois renversante) pour le sens commun.

C’est la notion d’inconscient, surtout celui de Freud et aussi celui des neurosciences, qui a complètement modifié notre perception du rationnel humain, fondée sur l’irrationnel de l’inconscient. L’ordre apparent du conscient humain est fondé sur le désordre apparent de l’inconscient humain. Les deux sont complètement imbriqués. L’inconscient peut parfaitement apparaître avoir anticipé des situations, d’où l’apparence de « déjà vécu » que certains assimilent au surnaturel.

Des impressions étonnantes du cerveau peuvent se produire durant les rêves, durant des phases de demi-sommeil ou d’hallucinations plus ou moins provoquées (faim, manque de sommeil, drogues, états anxiogènes, etc…). Ce n’en sont pas moins des phénomènes naturels même s’ils n’ont rien de courant. Des personnes dans ces états-limites peuvent avoir des sentiments de parler à des personnes mortes et de les voir devant eux par exemple et ils auront le plus grand mal, une fois revenus dans leur état normal, de croire qu’ils ont laissé leur inconscient leur fabriquer des images virtuelles aussi convaincantes.

Il nous faut maintenant discuter de la notion même de « surnaturel », ce qu’elle est censée signifier et comment on pourrait la définir.

On a déjà vu que l’existence de faits étonnants ne suffit pas à décrire le surnaturel. Il n’y a pas si longtemps les hommes estimaient que la foudre qui frappait une maison et la détruisait était un phénomène surnaturel. On a vu aussi des personnes considérer comme surnaturelles certaines maladies comme l’épilepsie ou des crises nerveuses.

Souvent on confond le surnaturel avec un phénomène physique dont on n’a pas immédiatement l’explication. Par exemple, si une pierre se met à luire dans la nuit sans raison connue, si des images semblent se projeter dans le ciel ou si les nuages semblent correspondre à des formes étranges, si des phénomènes lumineux se produisent dans le ciel, si on a la prescience de faits qui vont se produire ensuite, si nos pensées inconscientes semblent nous donner des connaissances que nous n’aurions pas pu avoir, nous sommes tentés de dire que c’est surnaturel.

Mais il faudrait savoir d’abord où commencent et où s’arrêtent les phénomènes dits naturels, ce qui est loin d’être évident…

Remarquons déjà que le surnaturel dépend considérablement de la société à laquelle nous appartenons, de sa culture, de sa science, de ses techniques, et de sa philosophie.

La plupart des phénomènes permis par la technique moderne passeraient pour les générations plus anciennes comme de la magie ! N’oublions pas que les générations anciennes considéraient les mégalithes comme magiques puisque personne n’était capable de redresser des pierres aussi grosses et lourdes. Il n’y a pas si longtemps on considérait déjà les sources, les orages et les forêts comme magiques. Il en va de même de phénomènes liés à la naissance, à la mort, aux maladies et qui nous semblent aujourd’hui du domaine du quotidien et du naturel.

Il y a eu des civilisations humaines pour lesquelles même les faits de tous les jours faisaient partie de la magie, et celles-ci étaient animistes. Les chasseurs croyaient faire partie de la nature mais estimaient qu’elle appartenait aux dieux et aux démons. Les chasseurs demandaient pardon au dieu de l’ours ou du bison pour les animaux qu’ils avaient tués afin de ne pas être poursuivis par la famille de ces animaux morts. On n’imagine pas ceux qui tuent un animal en faire autant aujourd’hui. Pas plus qu’un homme d’aujourd’hui ne voit la moindre magie à téléphoner à l’autre bout du monde, à envoyer des hommes dans l’espace pas plus qu’à les envoyer dans un sous-marin ou à faire marcher un robot.

La vie et la mort ont perdu en grande partie leur caractère magique, même si les religions veulent conserver une part du mystère pour en léguer les pouvoirs à leur dieu.

S’ils conservent une partie de leur crédibilité auprès des hommes, c’est parce que les situations brutales, dures, de souffrances atroces, qui semblent incroyables et s’abattent sur les hommes perdurent et qu’ils n’y voient aucune rationalité et préfèrent se donner l’impression que ce n’est pas le monde normal qui a produit de tels chocs mais des actions supranaturelles ou des volontés divines. Cela rend le choc moins dur à supporter que de penser que le malheur n’est pas venu de la sphère humaine, à notre niveau. Qu’une volonté supérieure à la nature ait voulu quelque chose semble enlever le poids trop lourd sur les humains qui souffrent de cet événement. Cela explique que les Juifs religieux estiment que les pogromes et le génocide sont des punitions de dieu et pas des actes vraiment humains ! On peut comprendre leur réaction mais cela ne doit pas nous empêcher de dire que cela est complètement faux. Le génocide des Juifs comme d’autres massacres, guerres ou atrocités, sont rationnels et ont été perpétrés par des sociétés de classe en fonction de leurs besoins contre-révolutionnaires.

Ce qui fait que le monde scientifique moderne n’ait pas fait disparaître l’idée même de surnaturel provient de deux faits, l’un idéologique et l’autre social.

L’idéologique, c’est que la classe capitaliste a ressenti le besoin de conserver un caractère incompris et irrationnel a bien des faits et à laisser en place des religions, des idéologies du passé, afin que les hommes ne comprennent pas la rationalité du monde et ne s’en servent pas pour le changer. Ils se gardent bien de laisser l’histoire expliquer les grands massacres, les guerres, les génocides et les ethnocides. Ils se gardent bien de laisser les sciences casser les racismes, les fascismes, les haines entre les peuples. Ils se gardent bien de laisser se diffuser une véritable philosophie des sciences. C’est un choix des classes dirigeantes de ne jamais avoir permis la formation d’une pensée scientifique sur le monde.

En même temps, il reste un fondement réel à la conception irrationnelle des hommes : c’est le caractère en partie contraire à la rationalité du maintien d’une société d’exploitation au moment où le niveau des connaissances, des capacités et des techniques humaines permettrait, et même nécessiterait, de s’en passer. Tant que l’homme est dans les chaînes, morales ou physiques, il y aura des hommes pour penser que ces chaînes sont voulues par un pouvoir supérieur et surnaturel.

L’homme ne peut se libérer de ses prisons de la pensée qu’en se libérant de ses prisons réelles. Tant qu’il ne pourra pas empêcher des puissances réelles de l’opprimer et de l’exploiter, il ne pourra pas non plus se débarrasser de la croyance dans les puissances de l’au-delà et du surnaturel.

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Messages

  • Présentation du livre l’« Intrication biologique circonstances de découverte » Ed Baudelaire 2023
    Grace à des épidémies simultanées paradoxales , je suis sorti de la caverne …de Platon. Aristote lui nous dit « l’étonnement est à l’origine de notre désir de connaissance. » J’ai ressenti cette féérie naturelle, cet extraordinaire moment, sur la plage d’Auroville en juillet 1981 avec une émotion intense qui m’a indiqué le chemin . J’étais la plage. La réalité est devenue brusquement « inintelligible » face à un monde sensiblement plus étrange , plus étonnant. Je vois, à présent, constamment la fabuleuse beauté de la nature, bien loin de la raison. Nous devons sortir du réalisme naïf, de cette caverne, de ce réel voilé.
    L’organisation du monde me semble à présent et à ce moment-là, totalement magique et irrationnelle.
    A présent, je montre dans ce livre que l’action à distance est manifeste, et que l’instantanéité des processus évolutifs est clairement devinée. Je propose, étant médecin, d’intégrer ce constat à une démarche thérapeutique (expérience dite NSB3). J’ai compris que pour arriver à ce spectacle fabuleux que je qualifie de « supranaturel » et non de surnaturel, on ne peut plus évoluer chacun dans son coin.
    L’adaptation est si exceptionnellement pertinente, si subtilement coordonnée doit être « non-locale ». L’adaptation n’est plus euclidienne. C’est hors de l’espace-temps que le vivant évolue. Cette négation de la localité est apriori aussi impensable que le fut l’idée d’évolution avant Darwin.
    Dans Matrix, Néo se dégage de la « matrice », ici de la caverne et vois alors un tout autre monde. Dans ce film, l’affirmation péremptoire du triste « mérovingien » ? il dit que la causalité est totalement obligatoire « action .. réaction, cause.. effet… » . J’ai pris la pilule rouge !
    Le supramental permet de sortir de cette causalité par trop hégémonique. L’observation est alors bien plus vaste que cette petite causalité. La physique quantique qui explique le monde naturel et surtout le vivant, nous fait passer de la causalité à la corrélation.
    Il s’agit de relier la physique quantique à l’évolution des espèces. Cette notion est déjà présente avec le « darwinisme quantique ». Cette approche tente de comprendre l’intérêt évolutif de la fameuse « réduction de la fonction d’onde » (Ψ, psi). « Le darwinisme quantique considère que la sélection d’un état quantique parmi tous les états possibles, (ou la sélection d’un résultat de mesure parmi tous les résultats possibles), résulte de l’interaction de la particule (plus généralement, du système quantique) avec son environnement, qui sélectionne le plus « apte », celui qui génère après l’interaction, le plus grand nombre de copies de lui-même ».
    Ainsi toute l’évolution, de la mutation à la sélection seraient totalement quantique !
    Attention de ne pas substituer le plus apte par le plus fort, cela serait très dangereux, « le darwinisme est la seule philosophie qui valorise et donc encourage le conflit » , nous dit justement Hervé Le Guyader. Raison de plus pour garder mon interprétation de mes 12 ans : ceux qui passent sont des opportunistes irréguliers (note 19).
    J’ai proposé une réinterprétation de toute la génétique dans ma thèse de médecine en 1986 (ce qui fut alors très difficile à admettre) puis j’ai développé ce point de vue original dans mes travaux de recherche au CRSSA 1987-88 et à l’IPP 1995-96 (toujours très difficile à accepter).
    La non-séparabilité doit impérativement intégrer tous les processus évolutifs.
    La non-localité apporte à la pensée évolutive (et non une théorie) une plus grande complétude : le darwinisme (comme le lamarckisme) donne la dimension verticale avec la descendance, la non-séparabilité offre celle horizontale avec l’ancêtre commun, C’est la base conceptuelle de cette proposition NSB, la non-séparabilité biologique , elle est profondément irrationnelle. On ne plus tout expliquer, par explications on entend les « notions ou les idées sur un sujet précis » .
    Mon premier travail, NSB1 et NSB2 a consisté à montrer que l’augmentation de vitesse d’infection d’un virus, dû à l’adaptation, se transférait à distance, à un autre virus, dans un autre lieu, dont l’ancêtre est commun.
    Ainsi pour montrer l’extraordinaire pouvoir de la non-séparabilité, il suffit de développer quantitativement, sur mode exponentiel, un variant viral défectif incomplet in vitro pour que in vivo le virus disparaisse partout (sur toute la planète) et quasi immédiatement, où ces conditions artificielles sont absentes. Il faut trouver une « astuce » où des conditions de développement in vitro et environnementales seraient radicalement différentes, seul un (très) bon virologue peut imaginer cette astuce.
    Ainsi la réussite de NSB3 sera le constat d’une séronégativité du « cobaye » dont le virus était jusque-là « indétectable ». En revanche, il faut pratiquer un « saut thérapeutique » c’est-à-dire interrompre son traitement anti-VIH, le temps pour des particules virales d’émerger et d’avoir l’espoir de trouver, en leur sein, un défectif incomplet adéquat.
    Ce serait la réussite du premier traitement « à distance », que la non-séparabilité biologique sera (enfin) démontrée.
    Ainsi les pouvoirs de la particule (physique quantique) ont, comme celle de l’atome (physique classique), avec l’horrible bombe, vont fournir une démonstration tout aussi spectaculaire, pour la particule mais pour la pensée pas pour les yeux !
    En effet, la non-localité assure le partage des avantages de la séquence nucléotidique au sein du phylum, où le mieux est en accord avec une vision darwinienne. Une phylogénie moléculaire, je le répète, l’évolution est « verticale » sur un principe de parenté, et « horizontale », avec le principe de non-localité le complète. Ainsi un avantage localisé à un individu et à une séquence génomique donnée va se disperser dans tout le phylum selon l’origine commune. Là se trouve le nouveau processus évolutif des espèces.
    Nous retrouvons le caractère exponentiel du processus déclencheur de la non-séparabilité observé en épidémiologie. C’est le principe évolutif de base de la NSB . Il y a « transmission non-locale des caractères acquis ». Cette transmission assure un partage de l’innovation au sein du phylum. Notons que l’action à distance dispense de l’emploi d’un médicament, on agit directement sur les gènes en parfait accord avec de nouveaux principes évolutifs. Il faudrait définir un autre terme que celui de « thérapeutique ».
    Ainsi le processus évolutif des espèces sort de l’espace euclidien, il n’y a plus ni de temps (instantanéité) ni d’espace (action à distance).
    C’est qu’après « l’expérience » de la plage 1981, mes yeux voyaient le monde totalement différemment (comme Néo ), mais ce n’est que plus tard, en 1984 que les faits m’ont permis de formuler la proposition NSB.
    Sri Aurobindo propose le même combat : dire de cette causalité est un acte optionnel . La phénoménologie apparait alors comme la réalité du supramentale , le seul moyen de se dégager d’une causalité naïve. Bref on n’explique pas, mais on décrit tout simplement. On utilise alors que l’observation des phénomènes épidémiques pour guider notre outil thérapeutique.
    Le monde est d’une telle complexité qu’elle dépasse et dépassera toujours, et très largement, toutes explications données à la naissance de l’Univers à l’origine du Vivant. Le supramental ignore les causes, à dessin, bien sûr celles qui sont impossible à définir. Il faut « faire comme la Nature », une Nature alors vénérée. Prenons conscience, une fois pour toutes, que l’on ne pourra jamais expliquer l’intrication, nous essayons d’exploiter ses effets, c’est une stratégie adaptative d’imitation . L’intrication est si fabuleuse mais l’on doit s’arrêter à son constat, mais il doit être très précis. Mais la physique quantique n’arrive pas à résoudre le fait que le passé reste indéterminé. Cette notion est encore plus difficile à accepter que la non-séparabilité, elle utilise la pluralité des avenirs possibles pour choisir le plus apte. Cette notion fut proposé par le philosophe-physicien Hervé Zwirn (ENS Paris Saclay & IHPST) « L’ordre temporel entre divers événements n’est peut-être pas toujours défini à très petite échelle. Dans The Conversation, l’experte en philosophie de la physique Laurie Letertre explique comment cela remettrait en cause la notion de causalité. » La non-localité du vivant est la seule explication nécessaire à l’évolution fabuleuse du vivant et surtout à l’émergence prodigieuse de l’homme .
    L’objectif de l’expérimentation NSB3 doit être réalisée.
    En conclusion : l’évolution du vivant suit le principe darwinien mais avec les propriétés étonnantes de la non-séparabilité biologique. Tout le vivant est, depuis le début et pour toujours « unis vers l’uni ».

    Arguments en faveur de la non-séparabilité du processus évolutif

    1. La mutation est liée à l’effet tunnel qui exprime sa non-localité.
    2. Les épidémies paradoxalement simultanées la démontre.
    3. L’ordre de l’univers est trop parfait , « « La non-localité est l’une des prédictions les plus puissantes et omniprésentes de la physique quantique » , affirme Flaminia Giacomini ,

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