Le collectif citoyen La révolution est en marche, composé d’habitants de la ville, a dénoncé, dans un communiqué, une « nouvelle bavure policière à Aulnay-sous-Bois » ayant débouché sur le placement en garde à vue de l’un de ses membres fondateurs, Hadama Traoré.
« Hier à 21 heures, après être sortis d’un spectacle au Nouveau CAP dans le quartier de la Rose des vents, une intervention de police dégénère et Hadama Traoré s’interpose en tant que médiateur entre les jeunes et des policiers surexcités. Les policiers s’en sont pris à lui, lui tirant dessus à trois reprises dans le dos et à la jambe. Des médiateurs municipaux présents avec Hadama ont également essuyé des tirs de gaz lacrymogène », écrit le collectif.
Dimanche, Hadama Traoré « s’est rendu au commissariat d’Aulnay-sous-Bois pour déposer une plainte pour violence et a été placé en garde à vue », ajoute-t-il, réclamant « de pouvoir visionner les caméras de la ville » et promettant « une grande mobilisation ».
Le collectif citoyen La révolution est en marche, composé d’habitants de la ville, a dénoncé, dans un communiqué, une « nouvelle bavure policière à Aulnay-sous-Bois » ayant débouché sur le placement en garde à vue de l’un de ses membres fondateurs, Hadama Traoré.
« Hier à 21 heures, après être sortis d’un spectacle au Nouveau CAP dans le quartier de la Rose des vents, une intervention de police dégénère et Hadama Traoré s’interpose en tant que médiateur entre les jeunes et des policiers surexcités. Les policiers s’en sont pris à lui, lui tirant dessus à trois reprises dans le dos et à la jambe. Des médiateurs municipaux présents avec Hadama ont également essuyé des tirs de gaz lacrymogène », écrit le collectif.
Dimanche, Hadama Traoré « s’est rendu au commissariat d’Aulnay-sous-Bois pour déposer une plainte pour violence et a été placé en garde à vue », ajoute-t-il, réclamant « de pouvoir visionner les caméras de la ville » et promettant « une grande mobilisation ».