Accueil > ... > Forum 38908

Vaccins et aluminium : encore un sale coup des labos pharmaceutiques

17 juin 2017, 07:44, par Max

Dans une interview exclusive au Parisien-Aujourd’hui
en France, la nouvelle ministre de la Santé fait le point
sur ses priorités, et assure qu’elle réfléchit à « rendre
obligatoires 11 vaccins ».
cette médecin, spécialiste du sang (Fabius et Dufoix aussi l’étaient aussi à leur manière), a sur le haut de la pile l’explosif dossier de l’obligation
vaccinale pour les enfants.

Le Conseil d’Etat exige que le gouvernement revoie sa copie sur les vaccins pour
nourrissons. Que comptez-vous faire ?

Agnès Buzyn. Aujourd’hui, seuls trois vaccins infantiles sont obligatoires (diphtérie,
tétanos, et polio). Huit autres, dont la coqueluche, l’hépatite B, la rougeole, sont
seulement recommandés. Ce double système est une exception française. Cela pose un
vrai problème de santé publique. Aujourd’hui, en France, la rougeole réapparaît. Il n’est
pas tolérable que des enfants en meurent : dix sont décédés depuis 2008. Comme ce
vaccin est seulement recommandé et non obligatoire, le taux de couverture est de 75 %
alors qu’il devrait être de 95 % pour prévenir cette épidémie. On a le même problème
avec la méningite. Il n’est pas supportable qu’un ado de 15 ans puisse en mourir parce
qu’il n’est pas vacciné. Nous réfléchissons donc à rendre obligatoires les onze vaccins*
pour une durée limitée, qui pourrait être de cinq à dix ans. L’Italie l’a fait la semaine
dernière.
* Polio, tétanos, diphtérie, coqueluche, rougeole, oreillons, rubéole, hépatite B, bactérie
Haemophilus influenzae, pneumocoque, méningocoque C.

Onze vaccins obligatoires ? Une eurodéputée s’interroge « sur le cadeau fait aux
laboratoires » (a ce niveau c’est plus qu’un cadeau c’est une tentative de sauvetage de cette industrie)

Mais une partie des Français y est hostile...

C’est paradoxal. D’un côté, les Français veulent un vaccin dès qu’un virus apparaît,
comme Ebola ou Zika. De l’autre, ils sont méfiants face aux existants. Cela me trouble car
ils ont sauvé des milliards de vies, mais on l’a oublié. On ne retient que des effets
secondaires, dont beaucoup n’ont pas été prouvés ( les enquêtes ont été menées par les spécialistes des labos pharmaceutiques) Pasteur, leur inventeur, se
retournerait dans sa tombe (oui surtout en pensant à l’aluminium qu’on y a ajouté !!). Il faut vraiment faire oeuvre de pédagogie. La vaccination,
ce n’est pas seulement l’intérêt qu’on y trouve soi-même, c’est un enjeu de solidarité,
une façon de protéger l’ensemble de la société. (c’est vrai que les gouvernements et l’Etat ont 1 tradition de protéger les intérêts des empoisonneurs comme ceux qui ont produit ou utilisé l’amiante depuis plus d’un siècle !!)
Faut-il vraiment en passer par l’obligation ?
Je déteste la coercition, ce n’est pas dans mon tempérament. Mais là, il y a une urgence.
Une quinzaine d’enfants sont hospitalisés à cause de la rougeole, cela m’inquiète. Il y a
des fois où l’obligation est une bonne chose pour permettre à la société d’évoluer. Je
pense à l’égalité hommes-femmes. On n’aurait jamais réussi à progresser dans la parité
sans l’imposer dans les conseils d’administration.

Ne craignez-vous pas de faire la part belle à l’industrie pharmaceutique ?
Je refuse qu’on me colle cette étiquette. Oui, les industriels gagnent de l’argent (juste un peu...? et comme les scandales sanitaires le montrent c’est toujours en nuisant à la santé et en commercialisant des produits dont ils connaissent parfaitement les dangers !), mais on
ne peut pas réduire la question de la vaccination à l’intérêt des laboratoires.
Cette obligation pourrait-elle être étendue à la grippe qui a encore tué 21 000 personnes
cet hiver ?
Je me pose la question tous les jours pour les professionnels de santé. Je ne comprends
pas ceux qui ne s’immunisent pas, ils font courir un risque à leurs patients. On réfléchit à
ce que cela devienne obligatoire pour eux. J’en discuterai avec l’ordre des médecins et
des pharmaciens..
1er remarque : cette ministre devrait être radié de l’ordre des médecins si le principe d’hyprocate était réellement appliqué "J’informerai les patients des décisions envisagées, de leurs raisons et de leurs conséquences. Je ne tromperai jamais leur confiance et n’exploiterai pas le pouvoir hérité des circonstances pour forcer les consciences."

Un message, un commentaire ?

modération a priori

Ce forum est modéré a priori : votre contribution n’apparaîtra qu’après avoir été validée par un administrateur du site.

Qui êtes-vous ?
Votre message

Pour créer des paragraphes, laissez simplement des lignes vides.