Le principal échec du gouvernement israélien se trouve dans la lutte contre la cherté de la vie. À l’exception de quelques succès ponctuels, le coût de la vie en Israël reste élevé. Car la cherté de la vie ne se règle pas à coup de millions de shekels ; si l’argent public a permis d’alléger certains postes de dépenses des familles israéliennes (comme l’éducation), il ne suffit pas pour résoudre les problèmes structurels de l’économie d’Israël.
La lutte contre la cherté de la vie en Israël exige une plus grande régulation de l’État, le démantèlement des monopoles et des cartels, une réduction de la bureaucratie publique, etc. Autant de mesures qui sont longues et plus compliquées à mettre en œuvre.
Résultat : la majorité des recommandations Trajtenberg destinées à réduire le coût de la vie des Israéliens n’a pas été appliquée. Dans de nombreux secteurs (comme les ports, le ciment, l’agroalimentaire, l’énergie, etc.), la concurrence ne s’est pas améliorée et les prix n’ont pas baissé.
Le principal échec du gouvernement israélien se trouve dans la lutte contre la cherté de la vie. À l’exception de quelques succès ponctuels, le coût de la vie en Israël reste élevé. Car la cherté de la vie ne se règle pas à coup de millions de shekels ; si l’argent public a permis d’alléger certains postes de dépenses des familles israéliennes (comme l’éducation), il ne suffit pas pour résoudre les problèmes structurels de l’économie d’Israël.
La lutte contre la cherté de la vie en Israël exige une plus grande régulation de l’État, le démantèlement des monopoles et des cartels, une réduction de la bureaucratie publique, etc. Autant de mesures qui sont longues et plus compliquées à mettre en œuvre.
Résultat : la majorité des recommandations Trajtenberg destinées à réduire le coût de la vie des Israéliens n’a pas été appliquée. Dans de nombreux secteurs (comme les ports, le ciment, l’agroalimentaire, l’énergie, etc.), la concurrence ne s’est pas améliorée et les prix n’ont pas baissé.