Ce n’est pas en sortant dans la rue que les uns et les autres verront leurs problèmes trouver des solutions. C’est ce qu’avait dit le Premier ministre lors de son dernier point de presse. Et pourtant, c’est le contraire qui se passe. Un vent de révolte balaie les quartiers populaires et les bidonvilles qui les ceinturent.
Diar Es-Chems a donné le la, criant à qui veut entendre la malvie des gens mal logés, jusqu’à faire sortir le wali de la capitale de son silence et l’amener à accéder à la demande pressante des émeutiers pour un relogement décent.
La tache d’huile se répand partout et puisque cette méthode, le chantage par l’émeute, s’avère payante, c’est à qui mieux mieux pour brûler des pneus et barrer des routes. Fini le temps où ces méthodes étaient utilisées pour des revendications politiques, remplacées désormais par des urgences sociales, voire de dignité.
Ce n’est pas en sortant dans la rue que les uns et les autres verront leurs problèmes trouver des solutions. C’est ce qu’avait dit le Premier ministre lors de son dernier point de presse. Et pourtant, c’est le contraire qui se passe. Un vent de révolte balaie les quartiers populaires et les bidonvilles qui les ceinturent.
Diar Es-Chems a donné le la, criant à qui veut entendre la malvie des gens mal logés, jusqu’à faire sortir le wali de la capitale de son silence et l’amener à accéder à la demande pressante des émeutiers pour un relogement décent.
La tache d’huile se répand partout et puisque cette méthode, le chantage par l’émeute, s’avère payante, c’est à qui mieux mieux pour brûler des pneus et barrer des routes. Fini le temps où ces méthodes étaient utilisées pour des revendications politiques, remplacées désormais par des urgences sociales, voire de dignité.