"Sur l’histoire de justifier leur inluence( les syndicats) auprès des patrons et de l’Etat"
Cette idée, qu’on retrouve souvent dans les éditos de Lo qui précèdent les journées syndicales, est à mon avis de moins en moins juste en raison du degrès de collaboration qui existe entre les sommets de l’Etat et les patrons avec les directions syndicales. Ces dernières n’ont plus à démontrer leur influence sur les travailleurs pour êtres admises à une quelconque discussion ou négociation. Tout au contraire ! On l’a vu avec les journéés du 29 janvier du 19 mars etc. Les directions syndicales n’avaient pas pour objectif de s’appuyer sur ces journées pour démontrer leur utiliuté aux yeux de l’Etat et des patrons, mais plutôt celui de canaliser le mécontentement et de le désamorcer.
"Sur l’histoire de justifier leur inluence( les syndicats) auprès des patrons et de l’Etat"
Cette idée, qu’on retrouve souvent dans les éditos de Lo qui précèdent les journées syndicales, est à mon avis de moins en moins juste en raison du degrès de collaboration qui existe entre les sommets de l’Etat et les patrons avec les directions syndicales. Ces dernières n’ont plus à démontrer leur influence sur les travailleurs pour êtres admises à une quelconque discussion ou négociation. Tout au contraire ! On l’a vu avec les journéés du 29 janvier du 19 mars etc. Les directions syndicales n’avaient pas pour objectif de s’appuyer sur ces journées pour démontrer leur utiliuté aux yeux de l’Etat et des patrons, mais plutôt celui de canaliser le mécontentement et de le désamorcer.