Au Niger le personnel nigérien de la China National Petrolium Campany, CNPC, est en grève pour deux jours, ce lundi 7 novembre et mardi. C’est la CNPC qui exploite le pétrole au Niger, pétrole extrait dans la région de Diffa à l’Est du pays et raffiné dans la région de Zinder. La grève, déclenchée à l’appel du collectif des délégués du personnel, a pour revendication de meilleures conditions de travail pour les salariés de la CNPC.
Quel impact peut avoir cette grève sur la chaine de production du pétrole ? « L’extraction du brut sera momentanément stoppée, explique à RFI Ibra Abdoul-karim délégué du personnel CNPC à Niamey. Et à Zinder (où se trouve la raffinerie qui traite le brut acheminé par oléoduc), il y aura aussi un arrêt de travail de deux jours ».
La liste des revendications est assez étoffée. « Le premier point, c’est le départ sans conditions du PDG de la société, poursuit Ibra Abdoul-Karim, parce que il entretient un climat social tendu. Nous demandons aussi une grille salariale qui reflète les réalités du secteur pétrolier ».
Mahamadou Omar est délégué du personnel CNPC à Agadem dans la région de Diffa. Il est de passage à Niamey. « Ce que nous vivons, c’est l’enfer : harcèlement, menaces, les intimidations. Le règlement intérieur, qu’ils ont concocté avant-hier, ils veulent nous l’imposer ! Or deux articles sont en porte à faux entre le contrat de travail nigérien et la convention collective ! »
Au Niger le personnel nigérien de la China National Petrolium Campany, CNPC, est en grève pour deux jours, ce lundi 7 novembre et mardi. C’est la CNPC qui exploite le pétrole au Niger, pétrole extrait dans la région de Diffa à l’Est du pays et raffiné dans la région de Zinder. La grève, déclenchée à l’appel du collectif des délégués du personnel, a pour revendication de meilleures conditions de travail pour les salariés de la CNPC.
Quel impact peut avoir cette grève sur la chaine de production du pétrole ? « L’extraction du brut sera momentanément stoppée, explique à RFI Ibra Abdoul-karim délégué du personnel CNPC à Niamey. Et à Zinder (où se trouve la raffinerie qui traite le brut acheminé par oléoduc), il y aura aussi un arrêt de travail de deux jours ».
La liste des revendications est assez étoffée. « Le premier point, c’est le départ sans conditions du PDG de la société, poursuit Ibra Abdoul-Karim, parce que il entretient un climat social tendu. Nous demandons aussi une grille salariale qui reflète les réalités du secteur pétrolier ».
Mahamadou Omar est délégué du personnel CNPC à Agadem dans la région de Diffa. Il est de passage à Niamey. « Ce que nous vivons, c’est l’enfer : harcèlement, menaces, les intimidations. Le règlement intérieur, qu’ils ont concocté avant-hier, ils veulent nous l’imposer ! Or deux articles sont en porte à faux entre le contrat de travail nigérien et la convention collective ! »