En Guadeloupe comme en Martinique la lutte continue contre covid et contre le pouvoir dictatorial et colonial se camouflant derrière la vaccination sanitaire
17 août 2021, 03:20
"Parce qu’e s’il s’agissait de nous protéger du Covid, ils nous auraient persuadés de changer notre alimentation, notre mode de vie de façon à nous prémunir des maladies qui tuent aujourd’hui plus que le Covid-19, comme les maladies cardio-vasculaires, l’insuffisance rénale chronique, l’hypertension, l’obésité, le diabète, etc…
Or nous aurions pu et aurions dû prendre un autre chemin, celui du renforcement de notre système immunitaire, du soutien de notre pharmacopée. Cela nous aurait permis de participer à la recherche. Nos soignants se seraient déployés dans les familles, dans les quartiers, dans les écoles, pour l’éducation et l’information en santé, en prévention, plutôt que d’attendre la Réserve sanitaire et le Dixmude. ..."
Les pesticides aux Antilles sont comme l’amiante en métropole, le poison capitaliste qui tuent et que l’Etat laisse se répendre en soutenant les empoisonneurs. La multiplication des cancers et leurs causes environnementales, n’intéressent pas l’Etat français et encore moins les labos à part pour vendre à prix d’or des thérapies géniques. L’utilisation des pesticides en France est encore défendue dans le milieu des agriculteurs car les banquiers et l’Etat les tiennent en otage financièrement (même si la conversion est amorcée pour 1 petite partie). Paul François a dénoncé par son vécu professionnel et son empoisonnement par Monsoto , une lutte sans pitié contre lui et sa famille par l’institution de santé publique, par la multinationale et par des collègues agriculteurs également.
La terre nous nourrit mais en ce moment , elle nous tue aussi car les profiteurs la détruisent.
La terre appartient à ceux qui la travaillent ...mais pour l’instant ce sont les exploiteurs capitalistes qui imposent leur loi.
"Parce qu’e s’il s’agissait de nous protéger du Covid, ils nous auraient persuadés de changer notre alimentation, notre mode de vie de façon à nous prémunir des maladies qui tuent aujourd’hui plus que le Covid-19, comme les maladies cardio-vasculaires, l’insuffisance rénale chronique, l’hypertension, l’obésité, le diabète, etc…
Or nous aurions pu et aurions dû prendre un autre chemin, celui du renforcement de notre système immunitaire, du soutien de notre pharmacopée. Cela nous aurait permis de participer à la recherche. Nos soignants se seraient déployés dans les familles, dans les quartiers, dans les écoles, pour l’éducation et l’information en santé, en prévention, plutôt que d’attendre la Réserve sanitaire et le Dixmude. ..."
Les pesticides aux Antilles sont comme l’amiante en métropole, le poison capitaliste qui tuent et que l’Etat laisse se répendre en soutenant les empoisonneurs. La multiplication des cancers et leurs causes environnementales, n’intéressent pas l’Etat français et encore moins les labos à part pour vendre à prix d’or des thérapies géniques. L’utilisation des pesticides en France est encore défendue dans le milieu des agriculteurs car les banquiers et l’Etat les tiennent en otage financièrement (même si la conversion est amorcée pour 1 petite partie). Paul François a dénoncé par son vécu professionnel et son empoisonnement par Monsoto , une lutte sans pitié contre lui et sa famille par l’institution de santé publique, par la multinationale et par des collègues agriculteurs également.
La terre nous nourrit mais en ce moment , elle nous tue aussi car les profiteurs la détruisent.
La terre appartient à ceux qui la travaillent ...mais pour l’instant ce sont les exploiteurs capitalistes qui imposent leur loi.