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Les vaccins, c’est tout bon ? L’histoire des vaccins est aussi celle des scandales…

17 août 2021, 00:44, par leslabosontdusangsurlesmains

Une longue enquête publiée dans le nouveau numéro laRevue XXIsur le scandale du Dengvaxia aux Philippines, 600 enfants sont morts après avoir reçu ce vaccin. Histoire d’un fiasco, avec Carol Isoux, journaliste indépendante depuis Bangkok.

"Il y a eu beaucoup de morts dans cette histoire car beaucoup d’entre eux n’ont pas accès à des systèmes de soin en hôpital, tout cela ne serait pas arrivé si ces enfants avaient été soignés à temps. On a très rapidement vacciné 800 000 enfants.

Le département de la justice a déterminé qu’il y avait un faisceau de preuves suffisant pour inculper les personnes accusées. On attend un procès mais cela peut prendre des années, il y a beaucoup de familles, beaucoup de gens impliqués et cela va prendre du temps.

Pour ce genre d’enquête j’ai été financée par une bourse européenne, car aujourd’hui peu de médias ont les moyens d’investir sur de longues enquêtes. C’est aussi un sujet sensible de s’attaquer à des laboratoires pharmaceutiques. "

Journal La-croix en 2019 : "Sanofi, pourquoi le vaccin contre la dengue vire au cauchemar
Les Philippines ont annoncé, vendredi 1er mars, des poursuites contre six responsables de Sanofi Pasteur dans le cadre d’une enquête sur des décès d’enfants vaccinés contre la dengue. Annoncé comme très prometteur, ce vaccin pourrait provoquer des infections plus sévères chez les personnes n’ayant jamais contracté la maladie."

les médias dominants n’ont jamais évoqué depuis février 2020, et dès lors qu’il
s’agit de vaccination, l’affaire du Dengvaxia. Le Dengvaxia, produit par Sanofi-Pasteur, est le seul vaccin
disponible contre la dengue. La presse avait narré cette affaire en 2019, mais est resté silencieuse à ce propos
depuis le début de la pandémie coronavirale, alors qu’il s’agit d’un précédent décisif dans la discussion
concernant la rapidité de mise sur le marché d’un vaccin et son utilisation en urgence sur des populations
entières.
Seule la revue XXI a publié un article dans son numéro 52 d’automne 2020 (« Dengvaxia, le fiasco
d’un labo » par Carol Isoux). Le titre du dossier général était explicite : « Autopsie d’un vaccin. La course
entre labos, au risque du scandale sanitaire ». Puis France Culture en a donné une recension (« Dengvaxia, le
fiasco d’un labo » dans l’émission « La fabrique médiatique » de Chloë Cambrelingt
, le 14 novembre 2020).
En 2015, aux Philippines, sous la pression du président Benigno Aquino III alors en campagne électorale
présidentielle, il est décidé de lancer en urgence une campagne de vaccination a destination des enfants. La
ministre de la santé de l’époque, Janette Garin reconnaît dans l’article de XXI que : « la vaccination contre la
dengue, c’était la priorité de mon mandat… Il était vital que la campagne de vaccination puisse être mise en
place et annoncée avant ». Avant quoi ? Avant les élections présidentielles ! Au delà des malversations et de
la corruption qu’a entraîné cette campagne de vaccination, 800.000 enfants ont été vaccinés et 600 enfants
sont morts après avoir reçu le vaccin. Pourquoi ? En raison d’un mécanisme appelé « infection facilitée
par les anticorps » au cours duquel paradoxalement, les anticorps aident le virus au lieu de l’inactiver. Ce
mécanisme a été découvert par Scott Halstead et Edward O’Rourke6
.
Les enfants philippins décédés étaient « naïfs » quant au virus de la dengue au moment de la vaccination. Ils ont été infectés après vaccination et les anticorps produits contre le virus (résultat de la vaccination) ont en réalité facilité l’entrée du virus dans
les cellules lors de l’infection naturelle subséquente. Un tel phénomène pourrait-il se produire dans le cas de
la vaccination contre le SARS-CoV-2 ? Il est encore trop tôt pour le dire, mais ce mécanisme de facilitation
de l’infection par l’entremise des anticorps est connu chez les coronavirus, et entre autres le SARS-CoV-1
(syndrome respiratoire aigu sévère, 2002-2004) et le MERS-CoV (syndrome respiratoire du Moyen-Orient,
2012), ce qui a empêché la production de vaccins durant ces deux précédentes épidémies7
. Darrell Ricke,
un chercheur du MIT met en garde contre cette possibilité dans le cas du SARS-CoV-28

.
Très clairement, les individus vaccinés par les vaccins biotechnologiques durant cette phase III d’essai sont de purs
cobayes.

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