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Les vaccins, c’est tout bon ? L’histoire des vaccins est aussi celle des scandales…

16 août 2021, 19:15, par CRIIGEN : Comité de Recherche et d’Information Indépendantes sur le génie (...)

"C’est dur d’être vacciné par des cons…*"

Le CRIIGEN vient de remporter l’annulation de l’autorisation de mise sur le marché du Roundup. La cour d’appel de Lyon fait application du principe de précaution. Le même CRIIGEN bouscule les certitudes concernant la vaccination COVID en France. Le doute qu’elle expose doit permettre de mettre en œuvre le même principe de précaution, au moins pour les moins de 30 ans et les femmes enceintes.

C’est dur d’être vacciné par des cons…* * En référence à la Une de Charlie Hebdo du 28 juillet 2021 titrant « Hitler débordé par les antivax »
et figurant Hitler à la plage dans une bouée licorne et disant « C’est dur d’être cité par des cons ! ».
Lettre à Charlie à propos de sa fascination vaccinale
et de ses positions réductionnistes
vis à vis des opposants au sésame sanitaire.
par Jean-Paul Bourdineaud • 29 juillet 2021

"Bonjour Charlie,
je suis abonné depuis l’attentat meurtrier de 2015, par solidarité. ...
Je suis professeur à l’Université de Bordeaux, où j’enseigne la biochimie, la microbiologie et la
toxicologie environnementale. Mes recherches portent sur les effets toxiques et les mécanismes de
défense biochimiques et génétiques des organismes exposés aux polluants dans leur environnement. Les
travaux publiés par mes collaborateurs et moi-même apparaissent sur le site ouaibe du National Center for
Biotechnology Information (pubmed.ncbi.nlm.nih.gov), dès lors que vous tapez mon nom.
Afin d’être le plus honnête possible, je dois te dire que je suis également membre du conseil scientifique
du CRIIGEN (Comité de Recherche et d’Information Indépendantes sur le génie GÉNétique - criigen.org).
Par réciprocité, il serait de bon aloi que les médecins apparaissant dans les médias voulussent bien révéler
leurs conflits d’intérêt, et surtout que les journalistes osassent leur poser la question. Quant à moi, et
depuis que je suis universitaire, je n’ai jamais reçu de gratifications, prébendes, émoluments ou primes d’un
quelconque industriel ou organisme privé ; mon association au CRIIGEN est du pur bénévolat. Et non, nous
ne sommes pas anti-vaccinalistes : écoutez par exemple mon ami Christian Vélot, président du conseil
scientifique du CRIIGEN et maître de conférences en génétique à l’Université de Paris-Sud, lors de son
entretien sur France Soira
ou sa conférence censurée par Youtubeb. Nous sommes explicites quant à notre
volonté de voir advenir un véritable vaccin, efficace, sûr, et protégeant sur la durée

Ni obscurantistes ni complotistes
Dans le numéro 1512 de Charlie Hebdo du 14 juillet dernier, une planche de dessins de Foolz se
moque des médecins et infirmières non vaccinés. Bien entendu, il s’agit de caricatures dont l’essence
même est l’exagération des traits, mais tout de même, ce que l’on retire de cette planche c’est que le
personnel soignant non vacciné est constitué par une bande d’obscurantistes totalement déraisonnables,
anti-scientifiques, voire sectateurs, et penchant vers l’extrême-droite (celle trumpienne, au minimum). C’est
en substance ce que signifiait le titre d’un article de Libération du 18 juillet 2021 - à propos des manifestations
contre le passe sanitaire - selon lequel Florian Philippot et l’extrême-droite récupérait le mécontentement
des gueuxc
. Ce même jour, sur le site ouaibe de Libération, Dov Alfon se montrait navré par une « certaine
complaisance envers des sceptiques du Covid et des opposants à la science qui ont défilé ce week‑end
dans les rues en relayant toutes les théories complotistes imaginables »d. Qu’entend donc M. Alfon par
complaisance ? Regretterait-il que la police n’eût pas chargé les manifestants ni crevé des yeux ou arraché
des mains ? La planche de Foolz est intitulée « Antivax à l’hôpital » et contribue également à l’amalgame.
Ce procédé consistant à mettre dans le même sac tous les courants d’opposition au passe sanitaire est
lamentable car méprisant les opposants sans discernement (des « gueux » selon Libération). Nous autres
camarades du conseil scientifique du CRIIGEN, ne sommes ni anti-vaccinalistes, ni complotistes. Je ne
sais pas bien ce que recouvre cette nouvelle injure – avant, à gauche, l’insulte de « fasciste » permettait de
dégommer un trublion du débat, aujourd’hui c’est celle de « complotiste » - et de quel complot nous accuse-t-on (non, nous ne pensons pas que la pandémie est une invention visant à nous priver de nos libertés, si
c’est cela que les journalistes parisiens dominants et Dov Alfon imaginent). Nous avançons des arguments
scientifiques et recevables dès lors que la bonne foi est de rigueur. Ce qui est vrai pour nous l’est également
pour la grande majorité des personnes s’insurgeant contre le passe sanitaire.....(lire l’article complet ici )

c/ Pharmacovigilance. : Dans le cas du SARS-CoV-2 nous avons affaire à un traitement expérimental
en phase III d’évaluation jusqu’au début de l’année 2023 (contrairement au mensonge du ministre Olivier
Véran, recadré par Le Monde le lendemaink
). En France, la pharmacovigilance est très peu vigilante : elle
n’enregistre que les cas les plus graves. Sans compter ce qui n’est pas recherché ou dosé : on sait que les
vaccins – notamment ceux OGMs basés sur des adénovirus - sont causes d’un nombre faible de thromboses
en regard du nombre de vaccinations. Des marqueurs des processus thrombotiques sont les D-dimères.
Le dosage sanguin des D-dimères n’est réalisé que dans les cas, rares heureusement, de thromboses,
mais le Dr Charles Hoffe (Canada) a décidé le dosage systématique de ces marqueurs chez ses patients
ayant été vaccinés avec l’ARN de la protéine S. Sur un total de 900 individus, 62 % présentaient des taux
anormalement élevés de D-dimèresl
. Son interprétation est que tout le monde ne forme pas de gros caillots
thrombotiques mais beaucoup produisent des micro-caillots s’infiltrant loin dans les capillaires et donc
profondément dans les organes. L’urologue Diego Rubinowicz a également découvert que les niveaux de
l’antigène PSA, un marqueur du cancer de la prostate et de l’inflammation de ce tissu, augmentaient chez
les hommes après la vaccination avec l’ARN de la protéine Sm – ce qui signifie que la protéine S est produite
par les cellules de la prostate et non pas seulement par les cellules musculaires au site d’injection. Cette
dissémination du vaccin à travers l’organisme est corroborée par les déclarations du Dr Robert Malone (le
créateur de la technologie des vaccins ARN)n
et par un rapport confidentiel de Pfizer où la distribution du
vaccin (nanoparticules incluant l’ARN du gène de la protéine S) dans le corps de rats mâles et femelles a été
suivie pendant 48 h. Il apparaît que ces corpuscules biochimiques sont retrouvés dans tous les tissus sans
exception. Après le site d’injection (le muscle gastrocnémien, situé dans le mollet), les concentrations les
plus importantes sont retrouvées dans le foie (concentration égale à 14,7 % de celle au site d’injection), la
rate (14 %), les glandes surrénales (11 %), les ovaires (7,5 %), et la moelle osseuse (2 %)o.
En fermant les yeux (par refus de pratiquer les dosages correspondants) on occulte ces effets
secondaires qui pour certains pourraient avoir des conséquences dommageables (les micro-caillots) à long
terme. Maintenant que ces observations sont publiées pourquoi le ministère de la santé ainsi que les ARS
ne diligentent-ils pas une grande étude à l’échelle nationale ?
Également, la toxicité potentielle de la protéine S n’est quasiment pas étudiée. Pourtant, le SARS-CoV-2 provoque des inflammations des cellules endothéliales (celles tapissant la surface de la lumière des
vaisseaux sanguins) ; or, une étude publiée montre que ceci est dû à la toxicité de la protéine S qui parce
qu’elle cible la protéine ACE2 (appelée récepteur du virus de manière abusive puisque telle n’est pas sa
fonction physiologique ; elle est bien entendu parasitée par la protéine S du virus) cause une diminution
du niveau fonctionnel d’ACE2 qui protège le système cardio-vasculaire4
. Dans cette étude les auteurs ont
injecté et donc infecté des hamsters avec un pseudo-virus porteur du gène de la protéine S (par conséquent
l’équivalent des vaccins d’AstraZeneca et de Janssen). Une hypothèse compatible avec ces résultats est
qu’une partie de la pathogénicité du virus serait due à la toxicité de la protéine S. Le vaccin de Sanofi annoncé
pour le début de l’année 2022 est basé sur une protéine dite recombinante, c’est à dire produite dans des
réacteurs par des cellules puis purifiée. Sa toxicité devrait être faible si rien n’est fait pour qu’elle entre
dans nos cellules ; restant à l’extérieur des cellules, elle devrait être repérée immédiatement par le système
immunitaire. En revanche, incluse dans des nanoparticules de lipides, elle pourrait entrer dans nos cellules
et y exercer sa toxicité. Cette dernière possibilité n’est pas exclue lorsqu’on lit le Pr Jean-Luc Cracowski,
directeur du centre de pharmacovigilance du CHU de Grenoble : « La technique consiste à fabriquer ces
protéines Spike et à les injecter dans les cellules du corps pour stimuler le système immunitaire » (article
de Mayeul Aldebert, Le Figaro, sur son site ouaibe le 8 juillet 2021p). Cette déclaration du Pr Cracowski est
quelque peu déroutante, voire inquiétante, et l’on espère que c’est le journaliste qui a mal retranscrit les
propos du professeur, car le système immunitaire qu’il s’agit de stimuler est constitué en partie par certaines
classes de globules blancs circulant à l’extérieur des cellules.
Un autre effet indésirable qui est écarté dogmatiquement est l’intégration de l’ARN vaccinal dans
le génome des cellules humaines après rétro-transcription en ADN. Les édiles médicaux et universitaires
parisiens (les Pr Fisher et Kahn, par exemple) nous ont dit que c’était impossible puisque la transcription
inverse de l’ARN en ADN nécessitait l’action d’une enzyme appelée transcriptase-inverse, et que non
seulement le SARS-CoV-2 mais également les vaccins à ARN ne contenaient pas cette enzyme. Antonio
Fischetti nous disait la même chose dans Charlie Hebdo (9 décembre 2020) : « Concernant le côté OGM
de certains d’entre eux [les vaccins], les scientifiques sont formels : il n’y a aucun risque que l’ARN du
virus affecte notre génome ». Or, il a bien été démontré l’inverse dans un article publié dans les prestigieux
comptes-rendus de l’Académie des sciences des Etats-Unis : l’ARN du SARS-CoV-2 peut être rétro-transcrit
par des éléments génétiques mobiles (appelés rétrotransposons) présents dans les cellules humaines et
qui ont une activité de type transcriptase-inverse5
. Ceci explique, et c’était l’interrogation de départ des
auteurs, pourquoi des individus ayant été naturellement infectés par ce virus restent positifs au test PCR
(en réalité RT-PCR) plusieurs semaines après le début de l’infection en absence de multiplication virale
(test antigénique négatif). Chez certains individus, une partie conséquente du génome viral est intégrée
dans le génome et contribue à la production d’ARN viral longtemps après la guérison. Si le génome viral
peut être intégré dans nos cellules après infection, la question de l’intégration dans nos cellules de l’ARN
vaccinal sous sa contrepartie ADN devient pertinente, selon l’adage « qui peut le plus peut le moins ». Or,
cette hypothèse est négligée et les travaux nécessaires pour la confirmer ou l’invalider ne sont pas entrepris
puisque le dogme est tenace selon lequel sans rétro-transcriptase virale, un tel évènement est impossible.

On nous affiche un taux de mortalité lié à la vaccination très faible, mais enfin, sur 162 millions de
personnes complètement vaccinées aux États-Unis on atteint à la mi-juillet 2021 plus de 12.300 morts et
donc un taux égal à 0,0076 % (12.313 x 100/162.000.000). Ce nombre de décès était donné par le « centre
de contrôle des maladies » (center of disease control, CDC), l’organisme de veille épidémiologique aux
Etats-Unis jusqu’au 20 juillet 2021q. Le Mediator a provoqué moins de morts et a pourtant été interdit.

Parmi les 12.300 personnes décédées, combien seraient-elles mortes du Covid sans vaccination ?...
Le ministre Véran désire également la vaccination des femmes enceintes dès le premier trimestre de
grossesser
alors que Pfizer a prévu mais n’a pas encore démarré des essais cliniques de phase 2 et 3 pour
évaluer « la sécurité, la tolérabilité et l’immunogénicité » de son produits
. Comment Véran peut-il décider
unilatéralement ce qui est bon pour les femmes enceintes et leur fœtus alors que les études visant à évaluer
les risques pour ce public particulier n’ont pas encore abouti ?
"

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