Les protestataires irakiens rejettent en bloc les mesures sociales annoncées. Ils veulent, disent-ils, une nouvelle Constitution et une classe politique entièrement renouvelée, alors que l’Irak est classé douzième pays le plus corrompu au monde.
Le premier ministre, Adel Abdel Mahdi, a plaidé pour réformer le système d’attribution des postes de fonctionnaires et abaisser l’âge des candidats aux élections, dans un pays où 60 % de la population à moins de 25 ans.
Pour les manifestants, les gouvernements successifs depuis la chute du dictateur Saddam Hussein en 2003 ont amené le système à bout de souffle alors qu’en seize ans, la corruption a officiellement coûté 410 milliards d’euros à l’Etat, soit deux fois le PIB de l’Irak, deuxième producteur de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP).
Les protestataires irakiens rejettent en bloc les mesures sociales annoncées. Ils veulent, disent-ils, une nouvelle Constitution et une classe politique entièrement renouvelée, alors que l’Irak est classé douzième pays le plus corrompu au monde.
Le premier ministre, Adel Abdel Mahdi, a plaidé pour réformer le système d’attribution des postes de fonctionnaires et abaisser l’âge des candidats aux élections, dans un pays où 60 % de la population à moins de 25 ans.
Pour les manifestants, les gouvernements successifs depuis la chute du dictateur Saddam Hussein en 2003 ont amené le système à bout de souffle alors qu’en seize ans, la corruption a officiellement coûté 410 milliards d’euros à l’Etat, soit deux fois le PIB de l’Irak, deuxième producteur de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP).