Ce qu’il y a de commun dans ces révoltes. Ce sont celles des plus démunis, des femmes et de la jeunesse. Elles contestent l’ordre social et liens des plus riches avec le pouvoir politique.
On assiste à une mondialisation de la révolte. Les peuples ne se laissent plus faire. Ils ne se laissent même pas diriger.
Ce qu’il y a de commun dans ces révoltes. Ce sont celles des plus démunis, des femmes et de la jeunesse. Elles contestent l’ordre social et liens des plus riches avec le pouvoir politique.
On assiste à une mondialisation de la révolte. Les peuples ne se laissent plus faire. Ils ne se laissent même pas diriger.