Accueil > ... > Forum 52259

Qu’est-ce que la vitesse de la lumière c et est-elle indépassable ?

5 août 2021, 10:00, par JFP/Jean-François POULIQUEN

▬JFP¦¦20210805¦¦RE Bonjour. Suite du message précédent, qui a été obligé d’être découpé, car cela ne passait pas à l’envoi.
▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬
▬Les phrases retenues de l’article : "Le quanta ou la mort programmée du continu en physique"
▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬
▬"Le quanta ou la mort programmée du continu en physique"
▬JFP : J’aurai dit : Le quantum ou la mort programmée du continu en physique, ou encore Les quanta ou la mort programmée du continu en physique. Le quantum est l’unité de base et est le singulier de quanta au pluriel, mais ce quantum est déjà une certaine quantité et donc un paquet de plusieurs choses. Les quanta sont des paquets de paquets. Donc le quantum d’action minimum est déjà un paquet correspondant à une certaine quantité. Cela veut dire aussi que le h de Planck est un minimum, mais ce minimum est déjà une certaine quantité, ce qui veut dire aussi qu’il y a des notions plus petites que le quantum justement pour le former, mais que les divisions du quantum ne déclenchent rien !!!
▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬
▬"Ni la relativité restreinte ni la relativité générale n’y changent rien : en physique classique, les interactions relèvent entièrement du continu. or le quantum d’action est fondamentalement un quantum d’interaction : il n’y a pas d’interaction que si est mise en jeu une action au moins égale au quantum d’action."
▬JFP : J’aurai dit : Il n’y a d’interaction que si est mise en jeu une action au moins égale au quantum d’action. Nous sommes d’accord pour dire dire que tout est discontinu, et le continu n’est alors qu’une illusion. Cela veut dire aussi que les lois qui semblent continues, ne reflètent pas la réalité, mais à une certaine échelle au dessus du quantique, a t-on vraiment besoin de découper la réalité en petit bout, si bien sûr le flux des actions se répète !!! Donc à Monsieur Cohen-Tannoudji dirigé par Étienne Klein et Michel Spiro, ce qui nous fait 3 personnes, et ce qui n’est pas assez comme quantité ou quantum pour soulever des fautes de grammaire... Je m’efface.
▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬
▬"La discontinuité va-t-elle régner sur l’univers physique et son triomphe est-il définitif ?"
▬JFP : Ceci est la conclusion de Henri Poincaré. Le vrai problème n’est plus de savoir ce qui peut être encore discontinu, mais justement ce qui peut être continu !!! Une particule élémentaire est-elle continue ? Je dirais que tout est discontinu, même la composition des trous noirs qui est l’objet extrême de l’univers, et qui n’est ni constitué de particules et encore moins d’atomes. Peut être que même le graviton, dont la physique ne sert jamais est sans doute discontinu !!!
▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬
▬"L’électron n’a pas une position fixe : sa charge tremble, sa masse saute d’un point à un autre, son nuage de polarisation interagit avec le voisinage.... Cela définit diverses "dimensions" de l’électron. S’il est capté, il est ponctuel. Sa masse est ponctuelle. Sa charge est ponctuelle. S’il interagit, il est considéré par l’autre objet comme une zone de dimension non nulle. les divers es dimensions ont entre elles un rapport égal à la constante de structure fine alpha. Voilà les résultats de la physique quantique sur la "particule élémentaire"."
▬JFP : Une description juste qui va dans le sens de ma conception à voir les particules élémentaires, qui ne le sont pas, car elles sont constituées d’autre entités inférieures. Quand l’électron est isolé, il est dit ponctuel, mais cela est très exagéré, car le point matériel n’existe pas en physique, et donc il devient un petit volume, mais n’est pas un point. Quand l’électron est en relation avec son noyau atomique, je vois alors sa forme comme si il était aplatit épousant une forme sphérique mais sur une petite portion, mais étant quand même un volume, mais l’électron n’a pas de forme privilégiée, car elle change constamment, et sans savoir si l’électron à une sorte de trajectoire courbe autour de son noyau. Pourtant on peut dire que l’électron vibre, et c’est justement par ces vibrations que l’on calcule la fréquence de l’atome.
▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬
▬"Le vide, avec ses divers niveaux hiérarchiques, est donc le constituant de base de l’univers matière/lumière."
▬JFP : Il semble certain que le vide soit le constituant de la matière et de la lumière, mais de quel vide parle t-on ? Le vide proche de la matière n’est pas le même vide que celui du cosmos, et nous arrivons avec mal à connaître ce vide proche de la matière, que sont particules virtuelles polarisée et autres. Le vide entre les galaxies et même entre les étoiles n’est pas ce vide proche de la matière, car ce vide cosmologique ne peut pas être testé, car le vide quantique l’empêche et sert d’interface entre matière et vide cosmologique. Le vide quantique est un nuage polarisé entre le vide cosmologique et la matière, car ce vide quantique est toujours rattaché à la matière, et on ne sait pas éliminer ce vide quantique pour tester le vide cosmologique. Tous les échanges qui ce font, sont liés entre particules dites réelles et le vide quantique, mais pas directement, car le vide cosmologique agit sur le vide quantique et aussi sur la matière. Le virtuel de virtuel, est en fait un vide subquantique, qui est simplement le vide cosmologique lié à la gravitation, et donc est l’espace-temps. Le vide quantique est sans rapport avec ce vide cosmologique, qui sont les relativités de Einstein. Il semble difficile de trouver un lien , un pont entre la physique relativiste de Einstein et ce vide quantique, car le vide relativiste est l’espace-temps, et dans cet espace-temps le virtuel n’y est pas, et ce n’est pas le vide quantique qui pourra résoudre la gravitation, car ce vide quantique subit ce vide cosmologique. Pourquoi classer en physique quantique, différents niveaux, car on suppose que le dernier niveau du vide quantique, n’est plus quantique, mais forcément autre chose. Ce vide quantique essaie donc de s’attribuer des phénomènes qui ne sont pas quantiques, car ce vide quantique est animé par le vide subquantique qui est simplement l’espace-temps et qui est la gravitation.!!!
▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬
▬"Le caractère probabiliste de l’électron provient du fait qu’il n’est pas un seul objet mais un ensemble de niveaux emboîtés fondés sur l’agitation du vide."
▬JFP : Je confirme cette phrase, en disant que l’électron n’est pas un, mais constitué d’entités inférieures, et de dire que l’électron peut être onde et corpuscule à la fois, est en réalité une erreur, car il n’est ni l’un ni l’autre. Une structure parsemée d’entités inférieures change de forme, change de volume, change de concept, mais ne change pas de polarité. Comme il y a échange de parties d’électron avec le vide quantique, cela veut dire que sa charge effective et résultante, n’est pas que du même signe de polarité, car l’électron possède les polarités opposées, mais un surplus toujours de polarité négative. Cela change la donne, car des entités du virtuel de charge plus peuvent être inter-changées avec des parties de l’électron, mais il y a une constante fondamentale, qui est sa charge négative, mais cette charge est résultante d’une association avec les deux types de charges, et donc l’électron n’est pas un, mas un ensemble de charges opposées, et la charge de l’électron n’est pas moins pour l’ensemble de ses entités qui le compose, mais une charge négative résultante sur l’ensemble des charges. On se doute que ce n’est pas l’électron lui-même qui change de forme, ou de volume, car simplement il subit le vide cosmologique indirectement, par le biais des particules virtuelles qui sont elles-mêmes animées par le vide cosmologique. En fait l’électron est un objet flou, changeant constamment des parties de lui-même, mais ce ne sont pas les particules virtuelles qui ont cette énergie d’apparaître ou de disparaître et s’échangeant avec l’électron, car ces particules virtuelles sont animées par le subquantique, qui est simplement les entités formant le vide cosmologique et donc l’espace-temps qui est le vide cosmologique. Pour les fentes de Young, l’électron traverse bien les deux fentes, et non le corpuscule par une fente et son onde par les deux fentes, car l’électron est une structure qui peut se diviser, mais qui redeviendra un ensemble, pour former une particule élémentaire, ; et d’ailleurs les particules dites élémentaires, ne sont plus élémentaires, car elles sont toutes composées d’entités inférieures.
▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬
▬"Par contre, dès que le corpuscule est capté, dans un temps extrêmement court, le nuage disparaît. En effet, au niveau où se situent les particules virtuelles, la limite de vitesse de la lumière n’a plus cours."
▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬
▬"« Tout ce qui reste de ceci (des travaux de Abraham, Lorentz, Poincaré, Einstein… sur l’auto-énergie de électron), c’est que nous ne comprenons toujours pas ce problème. » "
▬JFP : Eh bien le petit JFP le comprend, car toutes ces actions de changements de parties de particules, de sauts quantiques, sont liées au vide cosmologique qui est la vrai force de la gravitation, mais cette force est une force de poussée sans avoir de charge dédiée, et donc faire faire des sauts à des entités chargées, donne forcément des conflits avec l’entourage, car cet entourage est polarisé. Il y a donc sans cesse des réagencements au niveau des charges, aussi bien des particules élémentaires que des particules virtuelles. Parler de l’auto-énergie de l’électron est faux, car il se réarrange fonction de ses différentes charges, qui ont été déplacées par le vide cosmologique. En fait c’est un combat constant et permanent entre la force de gravitation, qui fait faire des sauts quantiques sur des parties de la particule, et les charges qui se réarrangent pour rester cohérentes. L’électron n’a pas d’énergie propre, sauf sa polarité. L’interface entre matière et vide cosmologique, est ce vide quantique qui subit aussi ces poussées du vide cosmologique, et les échanges qui se font entre matière et vide quantique, n’est lié que par la poussée du vide cosmologique.
▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬
▬"Par exemple, l’électron ne suit pas une trajectoire, mais saute d’une position à une autre."
▬JFP : Ce n’est même pas l’électron qui saute d’une position à une autre mais des parties de lui-même, c’est pour cela qu’il ne faut pas voir l’électron comme une sphère, mais ayant une géométrie quelconque qui se déforme constamment. Bien sûr si c’est un électron libre ne dépendant plus de son noyau, ce dernier épouse la forme de sphère, mais toujours une sphère floue, car les limites sont constamment changées, par les particules virtuelles où se font des échanges, mais par le biais de la poussée du vide cosmologique
▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬
▬" Le nuage de polarisation qui entoure l’électron est constitué d’éléments d’un monde inférieur qui est le monde des particules virtuelles caractérisées par deux propriétés liées entre elles : pas de masse et pas d’espace-temps tel que nous le connaissons à notre échelle macroscopique ni tel qu’il existe (localement) dans l’environnement d’une masse."
▬JFP : Je dirais que tous types de particules à une masse, mais si les masses sont insignifiantes, elles ne peuvent pas être mesurées, et il en va aussi pour les photons. Tout type d’entité à une masse, et qui est intrinsèque à l’entité, mais ces masses ne peuvent pas être mesurées, car même avec notre technologie avancée, cela ne peut se faire. Je vais donc à l’opposé de la physique des particules, qui attribue des masses via un boson qui donne cette propriété de masse. Sur la notion du temps, que la physique quantique ne prend pas en compte, je suis aussi contre, car le temps existe au niveau des particules, comme celles dites virtuelles, mais ce temps est tellement bouleversé, qu’il ne correspond plus à ce que nous connaissons. D’ailleurs on nous dit que ces sauts quantiques sont quasi instantanés, et bien on peut mettre de côté ce quasi qui ne sert à rien, car dans le vide cosmologique l’instantané existe et est une réalité, mais sur des distances très courtes.
▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬
▬"Rappelons une fois de plus que les particules dites virtuelles sont tout aussi réelles que celles dites réelles mais sont situées à un autre niveau de réalité. Elles ne sont pas les seules puisque existent à un niveau encore inférieur le « virtuel de virtuel »"
▬JFP : Appeler le "virtuel de virtuel", n’a que peu d’intérêt, pour exprimer ce qui il y de plus bas en échelle, car à ce niveau subquantique, cela est simplement le vide cosmologique qui est sans rapport avec les entités virtuelles de différents niveaux.Ce vide cosmologique est sans rapport avec les entités virtuelles du quantique, mais ce vide cosmologique agit sur ces entités virtuelles du quantiques, comme sur les particules réelles. Toutes les animations de particules, les changements, l’énergie, des sauts quantiques des particules réelles au virtuelles, ne sont pas de l’énergie implicite de ces entités, mais cette énergie vient de ce vide cosmologique, car c’est lui qui anime tout.
▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬
▬"Quel est donc le support de ces ondes, quel est le milieu dont la vibration constitue la vibration lumineuse ?"
▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬
▬Pour trouver une forme générale de sa théorie, Planck a dû renoncer à l’hypothèse primitive des quanta d’énergie et lui substituer l’hypothèse des quanta d’action (produit d’une énergie par un temps ou d’une quantité de mouvement par une longueur)
▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬
▬La transmission instantanée d’information n’existe pas.
▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬
▬Un électron ne tourne pas autour du noyau atomique mais se situe en des points du nuage atomique, en sautant brutalement d’un point à un autre, dans un mouvement quasi instantané.
▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬
▬Pour la physique relativiste, l’existence du continuum d’espace temps courbé nécessite une densité d’énergie de 2x10-29 g/cm3 de densité d’énergie totale (total de la masse gravitationnelle et des autres formes d’énergie). Pour la physique quantique, l’énergie du vide, à lui seul du fait des fluctuations d’énergie des particules virtuelles, donne déjà 10 92 g/cm3 de densité d’énergie de l’univers.
▬JFP : L’erreur de la physique quantique, est que celle-ci teste des conditions proche de la matière, car elle ne sait pas faire autrement. Tester le virtuel sans matière est impossible, et donc elle cumule même les erreurs, car ces particules virtuelles sont polarisées, alors que le vide cosmologique ne l’est pas. Prendre ce qui se passe proche de la matière en évaluant un petit volume, et faire la multiplication est une erreur grossière, car le vide proche de la matière n’est pas celui hors matière. La matière et le virtuel forme un tout indissociable, et mesurer la partie non matière, est en fait mesurer une partie de la matière. Comme déjà dit la matière est floue, car toujours accompagnée de virtuel, qui est ce nuage polarisé, comme le sont les particules réelles. On additionne donc des forces électromagnétiques qui n’existent pas dans le vide sans matière, et qui est le vide cosmologique. De ne pas faire la distinction entre vide proche de la matière et celui qui ne l’est pas, est une grosse erreur, et il n’est pas étonnant que les énergies évaluées diffèrent totalement. Quand on calcule la force de gravitation, on utilise des masses, mais la plus grande force de gravitation est justement sans les masses, car ce que l’on calcule c’est la force amoindrie par les masses. La force de gravitation est une poussée, mais les masses réduisent cette poussée, et donc plus les champs sont déformés, plus les masses sont grandes, et inversement la poussée de la gravitation est réduite. Là encore, on ne sait pas calculer la force de gravitation sans les masses, car ce que l’on calcule c’est la déformation de cette force de gravitation par les masses. On prend donc le problème à l’envers, mais on ne sait pas faire autrement.
Amicalement.
JFP Jean-François Pouliquen
jfp.pouliquen@hotmail.fr

Un message, un commentaire ?

modération a priori

Ce forum est modéré a priori : votre contribution n’apparaîtra qu’après avoir été validée par un administrateur du site.

Qui êtes-vous ?
Votre message

Pour créer des paragraphes, laissez simplement des lignes vides.