En relisant l’introduction, avec laquelle je suis assez d’accord, je trouve cependant une affirmation qui me pose problème. Le contexte, je cite :
"....Pour qu’existent quelque chose, un objet ou interaction, il est nécessaire que s’écoule un temps non nul et une distance non nulle et cela même s’il s’agit d’une seule particule considérée comme ponctuelle......."
Je suis d’accord sur le principe du temps non nul mais je voudrais rappeler que le caractère "ponctuel" d’une particule n’est pas prouvé mais est, par convention, un des paramètres libres de la théorie quantique. Cette convention étant bien pratique car on ne peut guère observer ce qui se passe en dessous de 10^-18 m. Certes, on est sûr que le rayon "classique" ou électromagnétique (ro) ne correspond à rien mais rien ne permet d’affirmer que la particule soit ponctuelle.
En relisant l’introduction, avec laquelle je suis assez d’accord, je trouve cependant une affirmation qui me pose problème. Le contexte, je cite :
"....Pour qu’existent quelque chose, un objet ou interaction, il est nécessaire que s’écoule un temps non nul et une distance non nulle et cela même s’il s’agit d’une seule particule considérée comme ponctuelle......."
Je suis d’accord sur le principe du temps non nul mais je voudrais rappeler que le caractère "ponctuel" d’une particule n’est pas prouvé mais est, par convention, un des paramètres libres de la théorie quantique. Cette convention étant bien pratique car on ne peut guère observer ce qui se passe en dessous de 10^-18 m. Certes, on est sûr que le rayon "classique" ou électromagnétique (ro) ne correspond à rien mais rien ne permet d’affirmer que la particule soit ponctuelle.
Cordialement
Dominique