Oui mais cette hypothèse est valable dans le champ des BEC constitués et des observables dans le niveau quantique étudié qui possède des constantes établies.
Elle est fausse dans le cadre d’une phase précédente, caractérisée par l’aléatoire généralisé. Le sens du mot discontinuité doit alors s’interpréter comme un tirage aléatoire dans un potentiel de valeurs continues. La pauvreté lexicale de ce domaine d’investigation est à la hauteur de sa non investigation.
L’hypothèse d’un quelconque déterminisme, du domaine de la théologie, n’a aucun intérêt en sciences.
De ce fait le potentiel de nombres continus est le seul gage d’un spectre non borné de valeurs impulsionnelles de début de cycle à partir du tirage aléatoire dans le flou probabiliste autour du zéro. Ensuite la discontinuité apparaît au gré de l’aléatoire, à chaque cycle.
En résumé, il faut distinguer la notion de "potentiel continu" de la notion de tirage aléatoire discontinu. L’ensemble 2 est un sous ensemble de 1.
Oui mais cette hypothèse est valable dans le champ des BEC constitués et des observables dans le niveau quantique étudié qui possède des constantes établies.
Elle est fausse dans le cadre d’une phase précédente, caractérisée par l’aléatoire généralisé. Le sens du mot discontinuité doit alors s’interpréter comme un tirage aléatoire dans un potentiel de valeurs continues. La pauvreté lexicale de ce domaine d’investigation est à la hauteur de sa non investigation.
L’hypothèse d’un quelconque déterminisme, du domaine de la théologie, n’a aucun intérêt en sciences.
De ce fait le potentiel de nombres continus est le seul gage d’un spectre non borné de valeurs impulsionnelles de début de cycle à partir du tirage aléatoire dans le flou probabiliste autour du zéro. Ensuite la discontinuité apparaît au gré de l’aléatoire, à chaque cycle.
En résumé, il faut distinguer la notion de "potentiel continu" de la notion de tirage aléatoire discontinu. L’ensemble 2 est un sous ensemble de 1.