Je ne croyois point qu’il y eût des grandeurs véritablement infinies ni véritablement infinitésimales, que ce n’étaient que des fictions, mais des fictions utiles pour abréger et pour parler universellement, comme les racines imaginaires dans l’Algèbre, telles que racine(-1).
— Leibniz, Gottfried W. ; Lettre à Monsieur Dangicourt
Je ne croyois point qu’il y eût des grandeurs véritablement infinies ni véritablement infinitésimales, que ce n’étaient que des fictions, mais des fictions utiles pour abréger et pour parler universellement, comme les racines imaginaires dans l’Algèbre, telles que racine(-1).
— Leibniz, Gottfried W. ; Lettre à Monsieur Dangicourt