Double hommage à la Commune de Paris : celui de ses ennemis et celui de ses partisans
10 janvier 2010, 08:36, par Robert Paris
Adolphe Thiers, assassin de la Commune, montrait bien son visage lors de la loi Falloux, déclarant : "Je demande que l’action du curé soit forte, beaucoup plus forte qu’elle ne l’est, parce que je compte beaucoup sur lui pour propager cette bonne philosophie qui apprend à l’homme qu’il est ici pour souffrir... D’ailleurs l’enseignement primaire ne doit pas être forcément à la portée de tous, j’irai même jusqu’à dire que l’instruction est, selon moi, un commencement d’aisance et que l’aisance n’est pas réservée à tous."
Adolphe Thiers, assassin de la Commune, montrait bien son visage lors de la loi Falloux, déclarant : "Je demande que l’action du curé soit forte, beaucoup plus forte qu’elle ne l’est, parce que je compte beaucoup sur lui pour propager cette bonne philosophie qui apprend à l’homme qu’il est ici pour souffrir... D’ailleurs l’enseignement primaire ne doit pas être forcément à la portée de tous, j’irai même jusqu’à dire que l’instruction est, selon moi, un commencement d’aisance et que l’aisance n’est pas réservée à tous."