9 août 2021, 09:37, par JFP Jean-François Pouliquen
Phrases retenues de Monsieur Einstein :
"L’introduction d’une telle constante implique un renoncement considérable à la simplicité logique de la théorie, renoncement qui ne me paraissait inévitable que tant qu’on n’avait aucune raison de douter de la nature essentiellement statique de l’espace." ▬JFP : Et bien nous, nous doutons d’un espace statique comme le dit Einstein, car nous considérons que l’espace est totalement dynamique, mais indétectable. Le vide quantique est sans rapport avec cet espace, car c’est justement cet espace, ce vide de l’espace qui active les particules réelles comme les particules virtuelles. C’est ce que on appelons l’éther d’un ancien temps, et qui est pour Einstein en fait l’espace-temps, ou pour nous le vide cosmologique. Le vide quantique est rattaché à la matière et ses constitutions, mais ce vide quantique n’épouse pas l’univers... ▬"Pour illustrer son attitude, Einstein a évoqué lors d’une des séances le simple exemple d’une particule (électron ou photon) pénétrant à travers un trou ou une fente étroite dans un diaphragme placé à une certaine distance devant une plaque photographique." ▬JFP : Tout ce qui suit à cette phrase est en réalité l’expérience des fentes de Young... ▬"Maintenant, selon la théorie de la relativité générale, une horloge, lorsqu’elle est déplacée dans la direction de la force gravitationnelle d’une quantité de Dq, changera sa vitesse de telle manière que sa lecture au cours d’un intervalle de temps T différera d’un montant DT donné par la relation" ▬JFP : Il y a sûrement confusion entre les deux relativités de Einstein, car dans cette phrase, on nous parle de sens de gravité par rapport à une masse et aussi de mouvement et donc de vitesse lié à la relativité restreinte.
Amicalement.
Phrases retenues de Monsieur Einstein :
"L’introduction d’une telle constante implique un renoncement considérable à la simplicité logique de la théorie, renoncement qui ne me paraissait inévitable que tant qu’on n’avait aucune raison de douter de la nature essentiellement statique de l’espace." ▬JFP : Et bien nous, nous doutons d’un espace statique comme le dit Einstein, car nous considérons que l’espace est totalement dynamique, mais indétectable. Le vide quantique est sans rapport avec cet espace, car c’est justement cet espace, ce vide de l’espace qui active les particules réelles comme les particules virtuelles. C’est ce que on appelons l’éther d’un ancien temps, et qui est pour Einstein en fait l’espace-temps, ou pour nous le vide cosmologique. Le vide quantique est rattaché à la matière et ses constitutions, mais ce vide quantique n’épouse pas l’univers... ▬"Pour illustrer son attitude, Einstein a évoqué lors d’une des séances le simple exemple d’une particule (électron ou photon) pénétrant à travers un trou ou une fente étroite dans un diaphragme placé à une certaine distance devant une plaque photographique." ▬JFP : Tout ce qui suit à cette phrase est en réalité l’expérience des fentes de Young... ▬"Maintenant, selon la théorie de la relativité générale, une horloge, lorsqu’elle est déplacée dans la direction de la force gravitationnelle d’une quantité de Dq, changera sa vitesse de telle manière que sa lecture au cours d’un intervalle de temps T différera d’un montant DT donné par la relation" ▬JFP : Il y a sûrement confusion entre les deux relativités de Einstein, car dans cette phrase, on nous parle de sens de gravité par rapport à une masse et aussi de mouvement et donc de vitesse lié à la relativité restreinte.
Amicalement.
JFP Jean-François Pouliquen jfp.pouliquen@hotmail.fr