Qu’est-ce que la rupture de symétrie (ou brisure spontanée de symétrie) ?
12 mars 2011, 09:50, par Dominique MAREAU
Dans le cadre d’un condensat de Bose Einstein (BEC), cosmologique et primordial, on peut admettre que le nombre aléatoire N de bosons soit nettement plus grand que le nombre No idéal, propre à l’équilibre symétrique, 0(3), de ce condensat. Donc si N >> No alors il y a deux chaines de réactions parallèles :
1/ saturation => masquages des charges voisines alternées => perte de causalité => boson = 2 fermions => inflation de masse et déflation de célérité.
2/ mitose du BEC primordial en n BEC fils => accrétion fermions => galaxies/étoiles .
On montre que l’élémentarité ultime est sous forme d’un oscillateur 1D, aléatoire, boson comprenant deux particules virtuelles vibrant autour de leur point zéro. La probabilité + le principe de Huygens suffisent à expliquer la synchronisation d’un ensemble E autour de sa moyenne et créant ainsi les constantes que l’on connait.
L’aléa a une probabilité non nulle de créer des constantes tout en passant par un état de déséquilibre qui justement tend vers l’équilibre par la notion universelle de mitose.
Dans le cadre d’un condensat de Bose Einstein (BEC), cosmologique et primordial, on peut admettre que le nombre aléatoire N de bosons soit nettement plus grand que le nombre No idéal, propre à l’équilibre symétrique, 0(3), de ce condensat. Donc si N >> No alors il y a deux chaines de réactions parallèles :
1/ saturation => masquages des charges voisines alternées => perte de causalité => boson = 2 fermions => inflation de masse et déflation de célérité.
2/ mitose du BEC primordial en n BEC fils => accrétion fermions => galaxies/étoiles .
On montre que l’élémentarité ultime est sous forme d’un oscillateur 1D, aléatoire, boson comprenant deux particules virtuelles vibrant autour de leur point zéro. La probabilité + le principe de Huygens suffisent à expliquer la synchronisation d’un ensemble E autour de sa moyenne et créant ainsi les constantes que l’on connait.
L’aléa a une probabilité non nulle de créer des constantes tout en passant par un état de déséquilibre qui justement tend vers l’équilibre par la notion universelle de mitose.