Au minimum, les économistes reconnaissent une totale imprédictibilité de la situation mondiale... William De Vijlder, économiste en chef chez BNP Paribas, constate « une montée en flèche de l’incertitude des prévisions », avec des fourchettes « cinq fois plus larges qu’à la fin de 2018 ». « Nous devons admettre qu’il y a des limites à notre capacité à dire le futur », plaide l’économiste Branko Milanovic, citant la « nature incontrôlable » de la crise et son « étendue mondiale ».
D’autres disent : « Pour paraphraser le ministre de l’Économie et des Finances Bruno Le Maire, la seule certitude que nous avons est que « le pire est devant nous ». »
Au minimum, les économistes reconnaissent une totale imprédictibilité de la situation mondiale... William De Vijlder, économiste en chef chez BNP Paribas, constate « une montée en flèche de l’incertitude des prévisions », avec des fourchettes « cinq fois plus larges qu’à la fin de 2018 ». « Nous devons admettre qu’il y a des limites à notre capacité à dire le futur », plaide l’économiste Branko Milanovic, citant la « nature incontrôlable » de la crise et son « étendue mondiale ».
D’autres disent : « Pour paraphraser le ministre de l’Économie et des Finances Bruno Le Maire, la seule certitude que nous avons est que « le pire est devant nous ». »
https://www.lemonde.fr/economie/article/2020/06/08/la-crise-economique-provoquee-par-le-coronavirus-pourrait-etre-la-plus-vaste-depuis-cent-cinquante-ans_6042176_3234.html