Rien qu’aux Etats-Unis, il y a eu 3,3 millions de chômeurs de plus et le chômage de masse, la misère, le dénuement, le manque de nourriture et de soins frappent toute la planète. Cela ne va pas durer bien longtemps. Le système de domination mondiale vit ses derniers instants et les fait subir durement aux peuples. La réponse viendra !
Face à l’effondrement sanitaire, économique, social et politique : une seule solution, la révolution sociale !
Depuis le début de la pandémie et de la chute de l’économie, les classes possédantes ont digéré des milliers de milliards distribués par les Etats et les banques centrales, un argent qui aurait pu construire des hôpitaux, embaucher des personnels de santé, produire des matériels de protection et des médicaments, et cette distribution historique de fortunes aux marchés n’a pas pu freiner la chute des bourses et de tout le fonctionnement capitaliste. Les classes possédantes et leurs Etats sont incapables de faire face à la catastrophe, même si elles font semblant de tout faire et d’être indispensables pour nous sauver. Elles ne feront rien de plus en faveur des peuples et ne font que se préparer à nous réprimer violemment.
Bien sûr, dans l’immédiat, la peur suscitée par la chute générale de la société et par la vague immense de morts ne provoque que le repliement mais la colère monte… Les peuples sont bien conscients que c’est l’incapacité du système d’exploitation qui les livre ainsi à la mort et à la misère à court terme.
Rien qu’aux Etats-Unis, il y a eu 3,3 millions de chômeurs de plus et le chômage de masse, la misère, le dénuement, le manque de nourriture et de soins frappent toute la planète. Cela ne va pas durer bien longtemps. Le système de domination mondiale vit ses derniers instants et les fait subir durement aux peuples. La réponse viendra !
Face à l’effondrement sanitaire, économique, social et politique : une seule solution, la révolution sociale !
Depuis le début de la pandémie et de la chute de l’économie, les classes possédantes ont digéré des milliers de milliards distribués par les Etats et les banques centrales, un argent qui aurait pu construire des hôpitaux, embaucher des personnels de santé, produire des matériels de protection et des médicaments, et cette distribution historique de fortunes aux marchés n’a pas pu freiner la chute des bourses et de tout le fonctionnement capitaliste. Les classes possédantes et leurs Etats sont incapables de faire face à la catastrophe, même si elles font semblant de tout faire et d’être indispensables pour nous sauver. Elles ne feront rien de plus en faveur des peuples et ne font que se préparer à nous réprimer violemment.
Bien sûr, dans l’immédiat, la peur suscitée par la chute générale de la société et par la vague immense de morts ne provoque que le repliement mais la colère monte… Les peuples sont bien conscients que c’est l’incapacité du système d’exploitation qui les livre ainsi à la mort et à la misère à court terme.