Safran, un bel exemple de crash capitaliste qui n’est pas causé par la coronavirus
15 juin 2020, 09:24, par trabajadores unidos contra despidos
Au Mexique, les travailleurs n’ont pas peur de se battre contre les licenciements des patrons des firmes impérialistes comme General Motors, et contre les sales coups du gouvernements et des syndicats.
"Il y a un an, cependant, la colère contre la CTM (confédération des travailleurs mexicains) a éclaté en une révolte à grande échelle avec une vague de grèves sauvages de 70.000 ouvriers de maquiladoras à Matamoros qui ont marché vers la frontière américaine et ont appelé les travailleurs américains à se joindre à leur combat. Cela a été suivi par les actions courageuses des travailleurs de GM à Silao, s’organisant contre la CTM, qui ont directement demandé l’aide des travailleurs américains pour gagner leur réintégration."
Source WSWS à lireici.
Au Mexique, les travailleurs n’ont pas peur de se battre contre les licenciements des patrons des firmes impérialistes comme General Motors, et contre les sales coups du gouvernements et des syndicats.
"Il y a un an, cependant, la colère contre la CTM (confédération des travailleurs mexicains) a éclaté en une révolte à grande échelle avec une vague de grèves sauvages de 70.000 ouvriers de maquiladoras à Matamoros qui ont marché vers la frontière américaine et ont appelé les travailleurs américains à se joindre à leur combat. Cela a été suivi par les actions courageuses des travailleurs de GM à Silao, s’organisant contre la CTM, qui ont directement demandé l’aide des travailleurs américains pour gagner leur réintégration."
Source WSWS à lireici.