Pendant que les travailleurs étaient en grève, en lutte, en manifestation, en révolte sociale, les organisations syndicales qui prétendaient être du côté de ce combat négociaient dans le dos de la lutte et signaient des accords avec nos ennemis. La patronne de choc de la RATP, Catherine Guillouard, affirme dans Le Parisien du 28 janvier 2020 :
« Il n’y a pas eu une interruption du dialogue social pendant six semaines. C’est passé inaperçu, mais, en décembre et janvier, nous avons signé avec les organisations syndicales pas moins de sept accords, sur l’égalité hommes/femmes, le handicap, l’évolution du métier de contrôleur, etc. La grève n’a pas tout bloqué. »
Elle n’a pas bloqué la trahison syndicale. Négocier dans le dos de la lutte, c’est trahir !
Les syndicats soutiennent les luttes ouvrières comme la corde soutient le pendu !!!
Pendant que les travailleurs étaient en grève, en lutte, en manifestation, en révolte sociale, les organisations syndicales qui prétendaient être du côté de ce combat négociaient dans le dos de la lutte et signaient des accords avec nos ennemis. La patronne de choc de la RATP, Catherine Guillouard, affirme dans Le Parisien du 28 janvier 2020 :
« Il n’y a pas eu une interruption du dialogue social pendant six semaines. C’est passé inaperçu, mais, en décembre et janvier, nous avons signé avec les organisations syndicales pas moins de sept accords, sur l’égalité hommes/femmes, le handicap, l’évolution du métier de contrôleur, etc. La grève n’a pas tout bloqué. »
Elle n’a pas bloqué la trahison syndicale. Négocier dans le dos de la lutte, c’est trahir !
Les syndicats soutiennent les luttes ouvrières comme la corde soutient le pendu !!!