La population haïtienne s’est de nouveau mobilisée cette semaine dans les rues de la capitale Port-au-Prince et d’autres villes du pays pour appeler le président Jovenel Moïse à démissionner. Des manifestations violentes ont éclaté vendredi.
Gangrenée par plusieurs scandales de corruption contre laquelle la jeunesse manifeste régulièrement depuis plus d’un an, Haïti s’enfonce toujours plus dans la crise politique et connaît une pénurie d’essence et de nourriture. Le pays ne dispose que d’un gouvernement démissionnaire depuis six mois et les élections locales et législatives prévues fin octobre n’auront pas lieu, faute de vote sur la loi électorale.
De nombreuses manifestations ont secoué Haïti pendant la semaine, la rue n’ayant pas été convaincue par la "trêve" surprise proposée par le président Jovenel Moïse dans une rare allocution diffusée à la télévision d’État dans la nuit de mardi à mercredi.
La population haïtienne s’est de nouveau mobilisée cette semaine dans les rues de la capitale Port-au-Prince et d’autres villes du pays pour appeler le président Jovenel Moïse à démissionner. Des manifestations violentes ont éclaté vendredi.
Gangrenée par plusieurs scandales de corruption contre laquelle la jeunesse manifeste régulièrement depuis plus d’un an, Haïti s’enfonce toujours plus dans la crise politique et connaît une pénurie d’essence et de nourriture. Le pays ne dispose que d’un gouvernement démissionnaire depuis six mois et les élections locales et législatives prévues fin octobre n’auront pas lieu, faute de vote sur la loi électorale.
De nombreuses manifestations ont secoué Haïti pendant la semaine, la rue n’ayant pas été convaincue par la "trêve" surprise proposée par le président Jovenel Moïse dans une rare allocution diffusée à la télévision d’État dans la nuit de mardi à mercredi.