Cher lecteur, vous écrivez : « Et bien rien, car ces quarks sont aussi virtuels que la physique qui s’y rattache, car on y met des couleurs, sachant trop bien qu’à cette échelle les couleurs n’existent pas !!! »
Bien sûr, à cette échelle, les couleurs n’existent pas. D’ailleurs, à notre échelle non plus. Elles ne sont qu’une impression humaine. Un objet n’a pas de couleur. Il a seulement une série de niveaux d’énergie que ses molécules sont capables d’absorber et pas les autres. Les autres ont des fréquences qui, n’étant pas absorbées, sont renvoyées et c’est ce qu’on appelle à tort la couleur de l’objet !
Quant à la couleur des quarks, elle a ce nom du fait des lois de couleurs qui ressemblent aux lois de couleur des objets macroscopiques.
C’est ce que l’on appelle la chromodynamique quantique. Lire ici
Cher lecteur, vous écrivez : « Et bien rien, car ces quarks sont aussi virtuels que la physique qui s’y rattache, car on y met des couleurs, sachant trop bien qu’à cette échelle les couleurs n’existent pas !!! »
Bien sûr, à cette échelle, les couleurs n’existent pas. D’ailleurs, à notre échelle non plus. Elles ne sont qu’une impression humaine. Un objet n’a pas de couleur. Il a seulement une série de niveaux d’énergie que ses molécules sont capables d’absorber et pas les autres. Les autres ont des fréquences qui, n’étant pas absorbées, sont renvoyées et c’est ce qu’on appelle à tort la couleur de l’objet !
Quant à la couleur des quarks, elle a ce nom du fait des lois de couleurs qui ressemblent aux lois de couleur des objets macroscopiques.
C’est ce que l’on appelle la chromodynamique quantique. Lire ici